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Comment et pourquoi sexualiser ?

Des amis, seulement des amis

Beaucoup de malheureux sont travaillés par des questions du type « Est-ce que je lui plais ? Est-ce qu’il y a moyen avec elle ? Pourquoi ne me suce-t-elle pas la bite goulument ? »

Y’en a qui vont jusqu’à se torturer en cherchant des significations cachées à ce que disent les femmes. « A-t-elle voulu me faire passer un message en parlant de sa dernière relation ? » ; « Que diable trouve-t-elle à ce mec dont elle parle souvent ? Sortent-ils ensemble ? » ; « Qu’a-t-elle voulu dire quand elle a dit que j’étais mignon ? »

De nombreux garçons, face à tant de questions, ont pris leur courage à deux mains et ont demandé à l’élue de leur cœur « veux-tu sortir avec moi ? » Ils ont alors reçu comme réponse : « Non. Je préfère qu’on reste amis ».

Ca les a brisés.

 

Un mauvais souvenir

Dans Les particules élémentaires, Houellebecq raconte l’histoire d’un mec qui n’a pas osé embrasser la plus belle fille de sa classe, avec qui il traînait tout le temps. La nana lui plaisait énormément, et cela semblait réciproque. Mais, un beau jour, la donzelle en a eu marre de son inaction et ils se sont perdus de vue. Toute sa vie durant, le personnage s’est alors demandé ce qui se serait passé s’il avait osé tenter quelque chose. Cette expérience traumatisante a impacté sa vie toute entière et s’en est suivie une vie sentimentale de merde. La phrase suivante du bouquin m’a marqué : « Quand j’avais dix-sept ans jamais je n’aurais imaginé que la vie soit si restreinte, que les possibilités soient si brèves ».

Ça me rappelle une sale expérience que j’ai moi-même vécue… il y a longtemps, très longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine.

J’avais poké une fille sur Facebook et il s’était avéré que l’on avait une amie en commun. Nous avons longtemps parlé en ligne (j’avais l’impression de flirter), puis nous nous sommes rencontrés à l’occasion d’une soirée, en présence de l’amie commune (que j’aurais volontiers pécho aussi).

Après cette soirée, elle a continué à me parler sur le t’chat, j’ai donc pensé qu’elle était intéressée et lui ai proposé de se revoir : elle m’a invité à la fête foraine, un après-midi, avec ses amies. Puis, nous nous sommes fréquentés de façon platonique.

Mais un soir béni, je l’avais invitée à une soirée que j’avais organisée pour fêter je-ne-sais-plus-quoi et nous sommes allés en boîte. Sur le dancefloor, elle collait son cul contre ma bite au rythme de la musique. J’ai essayé de lui dire un truc à l’oreille mais elle s’est reculée d’un mètre en faisant des grands gestes et en criant « NON ». Elle avait cru que j’avais essayé de l’embrasser.

Une heure plus tard, elle embrassait à bouche-que-veux-tu un mec que je ne connaissais pas mais qu’un de mes potes avait ramené à la soirée. Notre amie commune embrassait aussi un inconnu sur la piste de danse. Voyant cela, et n’ayant pas les capacités pour me trouver une meuf, je me suis énervé et suis rentré chez moi en maronnant comme un salopard.

Mais les deux nanas devaient dormir chez moi parce qu’elles habitaient à l’extérieur de la ville. Alors, vers 5h, elles ont sonné à la porte, pleines d’espoir. Je n’ai pas ouvert et leur ai dit d’aller se faire foutre. Ce jour-là, j’ai décidé que je devais maîtriser le game pour ne plus vivre de situations aussi fâcheuses. Ce jour-là, je me suis réconcilié avec mes couilles.

Motivé par la rage de l’humiliation, j’ai commencé à me (re)construire. Deux ans plus tard, j’ai recroisé cette sale conne, dans un bar. Elle était avec son mec, un gars sans virilité apparente. J’ai profité de notre ancienne « amitié » pour l’isoler, puis lui ai raconté des saloperies pendant une heure avant de lui rouler une grosse pelle, à sa grande surprise. Elle n’a fait aucun mouvement de recul. Après ça, je suis allé le dire à son mec et j’me suis barré. Eh ouais, fallait pas me faire chier !

Tout ça pour dire qu’être l’ami des femmes, c’est de la merde (à moins évidemment de réellement vouloir être ami avec l’une d’entre elles). Je sais à quel point cela peut faire souffrir. C’est pour cela que j’écris aujourd’hui cet ebook : je souhaite libérer les hommes se trouvant dans cette situation mi-figue mi-raisin.

 

La friendzone et le manque de sexualisation

Le terme « friendzone » est progressivement devenu un nom, un anglicisme bien pratique, parfois décliné en verbe. Le concept possède même sa propre page Wikipédia. A en croire cette encyclopédie, il s’agit d’une «situation sociale où une personne désire avoir une relation amoureuse ou sexuelle avec une personne qui ne souhaite entretenir qu’une relation amicale.»

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Sauf que dans la vraie vie, la situation est un poil plus complexe que ça.

Certains y voient « une manière de décrire ce moment difficile où on réalise que la personne qui nous plaisait n’est absolument pas intéressée ».

Pour d’autres, c’est l’aveu de l’échec d’un homme qui aurait tenté de séduire une femme ou de coucher avec elle.

Les femmes sont tentées d’y voir un « moyen employé par les hommes pour justifier leur sentiment d’ayant-droit sur les femmes. Ils imaginent que s’ils sont gentils avec une femme, ces dernières sont obligées de témoigner d’un certain intérêt pour eux. »

Certaines suggèrent que ce terme implique un sentiment de victimisation et d’injustice et est «plein d’agression et de ressentiment. [Qu’on] l’utilise souvent pour dire « elle m’a fait du tort et m’a injustement rejeté» ».

Les hommes associent donc ce terme à l’échec et au désenchantement. Les femmes à l’animosité et l’antagonisme.

Quand les mecs parlent de leurs expériences, tous évoquent plus ou moins un sentiment de déception similaire à celui que j’ai éprouvé dans l’histoire que je viens de vous raconter. Cependant, tous ne réagissent pas de manière constructive.

Un a avoué sur Internet qu’il savait que son amie avait un petit copain, mais qu’il continuait de traîner avec elle parce qu’elle était « très jolie et qu’il n’avait aucune estime de lui-même ». Un soir, il s’est dit qu’il était temps de jouer cartes sur table et de lui avouer ses sentiments. La fille lui a alors répondu qu’elle était flattée, mais qu’elle n’éprouvait pas ce type de sentiment à son égard. « Elle m’a quand même invité chez elle. On a dormi dans le même lit, mais il ne s’est rien passé. Dès que je repense à cette soirée, j’ai envie de gueuler sur mon moi du passé : Rentre chez toi ! Respecte-toi, un peu ! »

Du côté des femmes qui ont imposé la friendzone à un ami, elles racontent des expériences qui suivent à peu près le schéma décrit : amies avec un homme jusqu’au jour où celui-ci admet éprouver une attirance pour elles – souvent sans crier gare (le mec pensait pourtant sûrement avoir sexualisé). Et lorsqu’elles expriment leur refus d’aller plus loin, la situation s’envenime : leur ami s’énerve souvent contre elles pour leur avoir envoyé des signaux contradictoires, ou leur dit qu’il ne veut plus jamais les voir.

Anecdote intéressante : Une bisexuelle m’a confié qu’elle avait souvent eu des expériences liées à la friendzone avec ses amis garçons, mais jamais avec ses amies lesbiennes et bisexuelles. Un pote gay m’a également dit fièrement qu’il n’avait jamais été friendzoné : « Tous mes amis gays sont des ex, ou presque. »

Quasiment toutes les personnes à qui j’en ai parlé estiment néanmoins que l’amitié hommes-femmes peut exister. Mais alors, comment tombe-t-on dans la friendzone ?

C’est la conséquence d’un manque de sexualisation. Pour avoir une aventure avec une femme, il faut qu’elle vous désire physiquement. Qu’elle ait une attirance sexuelle pour vous. Et cela ne dépend pas que de votre physique ! Pas besoin d’être un mannequin ultra-bronzé et musclé pour séduire une femme. Par contre, votre comportement et vos attitudes vis-à-vis d’elle sont déterminants (le fait que vous soyez prêt à faire tout ce qu’elles veulent juste pour goûter leur chatte est, par exemple, un mauvais état d’esprit).

Nous allons voir en détails dans cet ebook comment et pourquoi sexualiser. Cela aidera mes lecteurs assidus à ne plus se trouver naïvement relégués dans la friendzone.

Extrait de : Friendzone & Sexualisation

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