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Dangers de la drague sur Internet : alerte rouge

Dangers de la drague sur Internet : alerte rougeL’identité numérique en cause

Les utilisateurs de sites de rencontres s’exposent à une série d’escroqueries qui font d’ailleurs l’objet de pétitions.

 

Mensonges sur les profils déclarés

Des travaux ont été menés sur la véracité des profils déclarés sur les sites de rencontres. Ces études ont par exemple trouvé des différences selon le genre des personnes, les hommes mentant plus sur leur taille et les femmes sur leur poids.

 

Romance scam

Un problème très répandu pour ce qui concerne l’authenticité des utilisateurs inscrits réside dans les cas multiples de Romance Scam (aussi appelé « prisonnière espagnole ») : une forme d’arnaque pour laquelle des groupes d’Africains se font passer pour des hommes d’affaires en envoyant des belles promesses d’amour à des femmes d’âge mûr sur les sites de rencontres. Ils leur demandent ensuite de leur envoyer de l’argent pour un cas d’urgence purement inventé. Suivant la déclaration officielle des dégâts que le FBI publia pour l’année 2011, les déclarations des citoyens américains s’élevaient à plus de 50 millions de dollars. À l’échelle internationale, les dommages sont chaque année estimés à plus de 100 millions d’euros.

 

Chantage à la webcam

Votre interlocutrice se présente comme une personne s’intéressant à vous, gagne votre confiance. Par inconscience, vous acceptez d’activer votre webcam et entrez dans une conversation plus intime. Le piège se referme : l’escroc en a profité pour vous enregistrer et détient alors des images susceptibles de porter atteinte à votre vie privée. Le chantage commence : on vous menace de diffuser la vidéo si vous ne versez pas une importante somme d’argent.

 

Des sites infiltrés par la prostitution

Certains sites de rencontres, notamment érotiques, sont infiltrés par la prostitution.

 

Animatrices de sites de rencontres

Certains sites de rencontres reposent au moins en partie sur un modèle économique tout particulier : ils embauchent des « animatrices » (aussi appelées « hôtesses ») qui, par la création d’un faux profil, sont chargées de susciter l’intérêt suffisamment pour faire souscrire à un abonnement et pour qu’il soit prolongé, ou encore que de nombreux appels à des numéros surtaxés (ou des cliques vers des virus) soient effectués. Ces arnaques sont dénoncées par un bon nombre de victimes sur des forums.

 

Communication mensongère : mensonge sur le nombre d’inscrits

Bon nombre d’« inscrits » sont souvent d’anciens membres inactifs, à qui le site a pris soin de ne pas demander la désinscription. Le nombre d’inscrits revendiqué par les sites eux-mêmes est d’ailleurs trahi par le nombre de visiteurs uniques fourni par l’agence indépendante de mesure d’audience Alexa Internet.

 

Mensonge sur la parité hommes/femmes

Bien que la plupart des sites de rencontres prétendent disposer d’autant de membres féminins que masculins, on observe qu’il y a parfois deux à trois fois plus d’hommes que de femmes.

 

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Carence en matière d’informations légales : mentions légales absentes

Certains sites de rencontres ne respectent pas leurs obligations légales de fournir comme informations la raison sociale (avec l’identifiant SIRET en France, SNN aux États-Unis, NINO au Royaume-Uni etc.), l’adresse postale ainsi que le numéro de téléphone ou le mail.

Les conditions générales d’utilisation ne sont pas toujours transposées dans la législation dont dépend l’utilisateur.

Il est par ailleurs recommandé d’aller uniquement sur les sites réputés afin d’éviter les escroqueries à la carte bancaire réalisées par hameçonnage.

 

Un droit de rétractation difficilement applicable

La loi française permet, en matière de vente à distance, de se rétracter dans les sept jours qui suivent la souscription. Cela est soumis à la non-utilisation du service, une condition difficile voire impossible à remplir pour un internaute qui accède dès son inscription aux profils des autres membres.

 

Résiliation et tacite reconduction de l’abonnement

Le code de la consommation prévoit la reconduction tacite de l’abonnement lorsqu’il touche à sa fin. C’est donc au consommateur de faire expressément la demande de résiliation et, qui plus est, dans le respect d’un délai de préavis allant de deux à sept jours selon les conditions générales d’utilisation. Les sites de rencontres n’avertissent pas toujours leurs clients de ces modalités de résiliation. D’après 60 Millions de consommateurs, il faut désactiver le renouvellement automatique dans l’espace attribué au compte utilisateur. Certains sites basés à l’étranger, comme eDarling ou Be2, ont fait l’objet de réclamations auprès du Centre européen des consommateurs.

 

Vos données personnelles malmenées : risque de perméabilité entre sites de rencontres et réseaux sociaux

Les sites de rencontres, comme les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Google+ ou LinkedIn, souhaitent s’intégrer et s’imposer sur la Toile. Pour ce faire, ils développent l’interopérabilité afin de créer des passerelles entre eux et d’autres sites disposant d’une base de données clients propice au développement commercial. Un site de rencontres comme Badoo ou Zoosk va alors faire partie des nombreuses sollicitations sur lesquelles un internaute peut cliquer par inadvertance quand il visite son compte Facebook. C’est ainsi qu’un bon nombre de personnes se sont retrouvées malgré elles inscrites et référencées sur des sites de rencontres. Cela a pu nuire à l’e-réputation de certaines d’entre elles, comme un prêtre qui a dû renoncer à sa paroisse. La désinscription n’est pas aisée, et même après, vous pouvez continuer à y être référencé. Plusieurs plaintes contre Badoo ont été déposées auprès de la CNIL.

 

Perméabilité entre sites de rencontres

Des Canadiens qui s’étaient inscrits sur love2meet.com se sont retrouvés inscrits sur d’autres sites de rencontres appartenant à la même société Global Personals. Cette dernière n’est d’ailleurs pas forcément propriétaire des sites, mais y vend simplement ses services.

 

Fuites d’informations personnelles

En 2013, l’éditeur australien de sites de rencontre Cupid Media a laissé s’échapper les données personnelles de ses 42 millions d’utilisateurs.

Extrait de : Secrets pour séduire sur Internet

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