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Démantèlement d’idées fausses sur les PUA

Démantèlement d'idées fausses sur les PUA

Un de mes lecteurs a partagé mon dernier article sur un groupe Facebook… voici les commentaires qu’il a pu lire sous cette publication.

Démantèlement d'idées fausses sur les PUA

Démantèlement d'idées fausses sur les PUA

Il a reçu toutes ces insultes au bout de trois minutes seulement, ce qui démontre bien que les gens n’ont même pas lu l’article avant de s’exprimer. Il ont vu le mot « PUA » et le titre « Pourquoi les femmes n’abordent-elles pas en France? » : ça a suffit à déclencher une immense vague de haine.

Pourtant, l’article n’est pas agressif. C’est simplement « la vérité qui dérange », encore une fois, comme dans l’ebook. Comme partout sur mon blog. Par contre, il est structuré et argumenté. Cependant, on remarque qu’il n’y a aucun contre-argument sur l’article en lui-même dans les com’s.

Au bout de cinq minutes, les admins ont supprimé le post. Et après, on essaie de nous faire croire que l’on vit dans une pays libre, vive la liberté d’expression… Vive le politiquement correct, ouais ! Et cerise sur le gâteau : ils ont failli bannir mon lecteur du groupe simplement parce qu’il avait partagé ces idées.

Le problème ? Ca fait chier les meufs qu’on leur donne notre point de vue, qu’on montre à quel point elles font les princesses, qu’on remette en question certains de leurs privilèges, bref qu’on les bouscule un peu (même si on fait ça pour le bien commun). Ca les fait chier aussi parce qu’on risque de devenir plus exigeants et donc elles seront obligées de faire plus d’efforts. L’autre partie du problème, ce sont les mecs (sans couilles) qui soutiennent les meufs sans même savoir de quoi on parle, juste pour se faire bien voir d’elles ou du moins pour passer pour des mecs « biens »… mais dans quel but ? Niquer les meufs bien sûr. C’est tellement ridicule et lâche, quand on y pense. Vu l’attitude des gens en général face aux PUA je comprends que vous hésitiez à liker et partager mes articles, mais bon, il ne faudrait pas laisser leur connerie gagner  quand même !!!

J’écris aujourd’hui pour vous expliquer pourquoi les gens ont tort de haïr les PUA (ils ne savent même pas exactement de quoi ils parlent) et je vais démanteler pas mal de d’idées fausses sur les PUA à la fin de mon texte.

 

A/ Dix qualités plus que rares que l’on trouve chez les PUA

Accrochez vos ceintures !

 

1/ Nous sommes des hommes qui « ont des couilles »

Les couilles d’aller sur le terrain et d’affronter nos peurs au lieu de rester bêtement à notre place comme des soumis pour subir bien sagement le destin que les autres ont prévu pour nous. Nous avons de l’ambition et de faisons preuve de combativité, nous sortons du moule. C’est ça qui fait chier !!! La plupart des mecs sont dans le déni, parce que ça leur évite de faire des efforts, de se bouger le cul, etc. Bref, ce sont des moutons. Certains ont peur du loup, moi c’est clairement le troupeau qui me fait peur parfois… Il me suffit d’allumer la télé pour observer ce phénomène.

 

2/ Nous sommes des hommes avec des valeurs

Les PUA ne sont probablement ni pires ni meilleurs que les autres personnes, au fond. Mais nous suivons un code d’honneur. Et nous respectons les femmes : on est plus féministes que la moyenne car on pense à leur droit au sexe. On est plus respectueux que la moyenne aussi car on ne les insulte pas ni rien dans la rue. Enfin, une femme qui s’amuse n’est pas pour nous « une salope ».

Il y aussi notamment une certaine solidarité au sein de la communauté des PUA. Par exemple, en ce moment même, un de mes padawans est dans mon appart alors que je suis allé passer le week-end chez mes parents. En effet, il s’est subitement retrouvé à la rue et il n’avait d’autre solution. Nous sommes dans un esprit d’entraide, de partage, et pas seulement de nos connaissances. La solidarité se perd… la vraie, je veux dire, pas celle qui ne repose pas que sur des mots.

Quand je suis arrivé à Lyon, il y a 9 mois, je ne connaissais personne mais j’ai tout de suite été accueilli dans un LAIR et m’y suis fait plein de potes et j’ai aussi rencontré pas mal de filles grâces au pickup. Cela fait donc de nous des mecs sociables !!!

 

3/ Ca nous intéresse sincèrement de comprendre les gens

Franchement, depuis que je suis au collège, je souhaite comprendre les femmes. Mais avant, je m’y prenais mal : je demandais directement à mes copines (avec qui je ne couchais pas) ce qu’elles aimaient ou pas et pourquoi. Et aucune ne savait réellement m’expliquer. Puis elles se tapaient des mecs loin, très loin de ce qu’elles décrivaient.

Je n’ai commencé à décoller que lorsque j’ai découvert la communauté de la séduction. Et ces mecs qui échangent sur le sujet le font par amour des femmes… POUR eux mais aussi POUR les femmes.

On lit beaucoup, on se cultive, et on est obligés de s’intéresser à la psychologie humaine en général pour progresser et comprendre les dynamiques sociales. Donc on s’intéresse à l’humanité en général, pas seulement aux femmes, même si elles sont le point de départ d’un long chemin que nous parcourrons..

 

4/ Nous sommes des hommes qui nous cultivons

On lit beaucoup. Sur beaucoup de sujets différents. On essaie de comprendre comment ces choses fonctionnent, de réfléchir par nous-mêmes et on accepte de se remettre en question. Cela démontre une certaines forme d’intelligence. Tout les gens ne sont pas capables de se remettre en question, loin de là !

On fait beaucoup de développement personnel et on s’améliore dans beaucoup de domaines par ricochet car la séduction est un multi-disciplinaire. On devient enfin plus philosophes dans la vie de tous les jours et plus performants dans tous les domaines de la vie (par exemple on communique mieux au travail donc on a des meilleurs postes).

 

5/ On est plus ouverts d’esprit que la moyenne

Forcément, se cultiver, ça ouvre l’esprit. Mais pour cela, il faut être curieux et accepter d’essayer des choses. On a donc un esprit un peu aventurier, explorateur (on ne veut pas mourir idiots, on veut savoir ce qu’il y a de l’autre côté du mur de verre)… Ceux qui ne l’ont pas et refusent de le développer n’iront en général pas très loin dans la communauté.

On propose une autre vision de la réalité, en gros, on est des créatifs. On ne gobbe pas bêtement le discours de la pensée unique sans le passer par notre filtre pour voir quand on se fout de notre gueule.

 

OCCASION !
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6/ On est plus positifs que beaucoup d’autres

En affrontant nos peur et en démantelant nos croyances limitantes, on se retrouve réellement face à nous-mêmes. On apprend donc à se connaître. Le game est un moyen de s’accepter.

A force de se confronter au regard des autres, des femmes surtout, mais aussi des critiques en général, on apprend à devenir plus fort, à davantage s’assumer. Et, contrairement à la plupart des gens, on ne fera pas peser sur eux le poids de nos propres insécurités. On est donc moins chiants : on est moins frustrés que la moyenne et donc plus positifs. Même si l’avenir qui se dessine n’est pas forcément beau, on sait que l’on est capables d’apprécier les petits plaisir de la vie et on ne s’en prive pas ! Carpe diem !

 

7/ On inspire des jeunes plein d’avenir

J’ai des lecteurs qui m’ont écrit pour me dire qu’ils avaient décollé grâce à mon blog. Et ça ne leur a pas seulement permis de lever des filles, ça leur a surtout donné envie de prendre leur vie entière en main.

Il y a beaucoup de mecs mignons et intelligents qui ne savent juste pas approcher… devrait-on les laisser souffrir ? En les débloquant on les rend heureux, mais on rend aussi heureuses les filles qu’ils rencontrent.

 

8/ On est plus honnêtes que la moyenne

On est davantage au contact de notre instinct, de notre nature profond : on se prend moins la tête avec les conventions sociales débiles, ce qui nous permet d’être plus francs.

On est pas du genre à tourner mille ans autour du pot, à embrouiller la fille ou quoi : on révèle nos intentions rapidement. On s’en fout, on peut se le permettre, car on agit de façon à se donner le choix. On provoque donc notre chance.

Après, c’est évidemment possible que l’honnêteté dérange et que la plupart des gens préfèrent l’hypocrisie ambiante. Mais je pense comme Kurt Kobain qu’ « Il vaut mieux être détesté pour ce que tu es, qu’aimé pour ce que tu n’es pas. »

 

9/ Nous faisons preuve d’empathie

On écoute et on essaie de comprendre l’autre. C’est la base du game. Y’a pas de manipulations ou quoi dans ce que l’on fait, contrairement aux idées reçues.

Au contraire : quand tu t’es bien bien fait humilier (par des nanas dans le cas présent car elles ne sont pas tendres avec nous), ça te rend normalement plus humble, plus humain. Enfin, en tout cas, ce fut mon cas. J’ai pu surmonter pas mal de mes névroses et tout grâce au game, donc je n’ai pas eu envie de faire souffrir avec ce nouveau pouvoir que j’ai acquis, je cherche plutôt à faire le bien autour de moi.

L’empathie et l’expérience que nous acquérons, se manifestent notamment dans le fait de ne pas être égoïste au lit. En gros, les PUA baisent bien. Ca fait pas mal chier les autres mecs, ça, qui au lieu de travailler sur eux-mêmes pour faire pareil préfèrent critiquer sur des forums le samedi soir.

 

10/ Nous nous affirmons plus que les autres

Beaucoup des gens ont tendance à vivre à travers l’autre (par exemple l’être aimé) ou à travers les autres (le regard et le jugement des autres) alors que c’est super important de savoir penser à soi, par soi-même, parfois. De faire des choses pour soi, pour son enrichissement personnel. C’est ce que nous faisons, tout en restant modestes, car on a compris qu’il n’y a pas besoin d’être un Dieu pour coucher avec plein des filles.

Ca fait chier pas mal de monde parce que, contrairement aux idées reçues, on a pas besoin d’avoir un gros compte en banque et de payer des bouteilles pour lever des poules. Mais penser le contraire arrange les mecs pour justifier qu’ils sont nuls « j’ai pas d’argent je peux rien faire » et arrange aussi les meufs vénales (pas toutes heureusement mais y’en a pas mal parmi les petits cerveaux).

Le game est une des formes de développement personnel les moins coûteuses et les plus efficaces qui existe. Ca a sûrement permis d’éviter pas mal de suicides. Pas comme les psychologues bienpensants qui pompent le fric de leurs patients en attendant une guérison miracle… et qui leur font la morale quand ils commencent à draguer dans la rue (c’est hors des conventions sociales). « C’est de la manipulation » ou « tu es une merde pour séduire il suffit d’être naturel ». Ces discours convenus et faux, venant de professionnels, montre bien à quel point la société est inculte et obscurantiste. De plus, on peut penser que ça les fait chier qu’on puisse se remotiver pour pas cher alors qu’eux prennent 50€ de l’heure pour ne rien faire. Certes, le pickup peut créer quelques névroses (les mecs qui connaissent tout par cœur et coupent les cheveux en quatre à fond) mais à terme on surmonte nos obstacles et on en guérit plus qu’on en crée.

Quand je lis des soi-disant « coachs en séduction » prétendre que les PUA ça n’existe pas (pour justifier leur incompétence), j’ai envie de me jeter tout nu du quatrième étage en criant des obscénités. Et si tout le monde arrêtait un peu de se tirer dans les pattes dans ce petit monde, ce serait pas cool, non ? Bien sûr que les PUA, ça existe… on n’est pas E.T.

Le game c’est 80% d’inner game, des skills de communications et du culot.

 

B/ Démantèlement d’idées fausses sur les PUA

Nous serions des hommes qui donnent des conseils de drague pour permettre à nos semblables de coucher avec n’importe quelle femme. Mais putain, je l’ai déjà dit 1000 fois, y’a pas de formule magique : seulement des approches multiples et du développement personnel.

Dans nos conseils, jamais le consentement de la femme ne serait au centre de la question. C’est vraiment absurde de dire ça : on s’améliore personnellement afin de plaire à plus de femmes dans le but qu’elles soient consentantes bien sûr. Un PUA n’est pas un violeur…

Le pickup, ce n’est pas naturel. Ah bon et la société dans laquelle on vit, elle est naturelle ? Il faut s’adapter, c’est tout. Grâce au game, on apprend à se rapprocher de son instinct tout en restant civilisés. Comme l’a écrit Snipe : un bon player ne pense jamais à la technique quand il aborde une fille. Il ne se dit pas « j’utilise telle technique pour obtenir tel résultat ». Le bon player, celui qui maîtrise son art oublie la technique, et il devient, ce qu’on appelle dans la jargon PUA… un Natural. »

En gros, on s’approprie les notions, c’est tout. Puis, elles font partie de nous, à terme. On devient enfin nous-mêmes : mais le vrai « nous-même », pas celui qui est étouffé par la pression sociale et toutes ces conneries.

Un Natural c’est un mec alpha qui a du succès avec les filles sans s’être jamais posé de questions. Un PUA lui est donc supérieur puisqu’il « maîtrise » le processus de A à Z, lui. Cependant, à terme, on gagne à revenir un Natural, même si notre game perd de son piquant : en ne contrôlant pas tout, on a certes un peu moins de résultats mais au moins on est plus authentiques et on ne se prend pas trop la tête. Le but du pickup c’est de redevenir nous-mêmes mais un « nous-même alpha » qui a du succès avec les femmes et dans sa vie en général, cette fois. Pas le nous-même qui subit. On devient un homme plus fort, pour nous et pour elles.

Nous ne sommes pas des salopards ni des bœufs consanguins comme certains aimeraient le croire. Mais ça, ils ne le sauront jamais, car les abrutis ne liront jamais ce texte jusqu’à la fin. Et vous ?

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7 commentaires sur “Démantèlement d’idées fausses sur les PUA”

  1. Facebook n’est pas adapté ici. Les internautes réagissent, parfois violemment, à des propos qui les troublent.
    Espérons que dans un deuxième temps, les idées associées au game fassent leur chemin et suscitent quelques étincelles de réflexion.
    Philippe

  2. Bonjour,
    Je tombe par hasard sur ton blog, et je me suis permis de « lire » les deux premiers articles, auxquels je réagis tout de suite :

    L’article sur « Pourquoi les femmes n’abordent-elles pas en France ? »
    Commencer par une photo de jeune femme en tenu très légère, si ce n’est pas de la provocation c’est de l’inconscience. Pourquoi ne pas mettre une photo d’une femme face à un homme ? Enfin, c’est un choix mais celui-ci est très mauvais…
    Dans le premier paragraphe, je cite « elles n’ont qu’à dire oui ou non », euh… C’est faux ? Elles doivent aussi te supporter. Tu leur as demandé leur avis avant de les aborder dans la rue ? Ce n’est pas parce qu’elles sont dans un lieu public qu’elles n’ont pas envies d’être tranquilles.
    Dans le second paragraphe « pas capables de faire le quart des efforts », c’est subjectif, qu’en sais-tu ? Tu connais toutes les femmes de France pour en juger ? Et ensuite tu parles de critique, mais tu te rends compte que ce que tu as dit correspond à dire « Ne critique pas ce film ! Tu n’es pas capable d’en réaliser un, tu la ferme ou sinon tu en fais au moins autant. » On n’avance pas avec ce genre de pensée…
    Dans le troisième paragraphe « elles ressentiraient l’anxiété d’approche », tu ne vois pas ton égoïsme ? Tu ne t’es pas dit que pendant que tu es anxieux, elle est peut-être en panique d’avoir affaire à un harceleur ou quelqu’un d’instable. Toi tu as de la chance, il est peu probable que tu ressentes ça un jour même si les femmes abordent autant que le font les hommes, mais tu ne te rends pas compte de cette chance. Pour toi, elle n’en fout pas une et toi tu te plie en quatre pour essayer d’entamer un dialogue qu’elle ne veut peut-être pas du tout.
    Dans le quatrième paragraphe « les meufs n’abordent pas en France », sérieusement, les meufs, tu ne vas pas dire que t’es pas provocateur là ? Et encore une fois tu généralises, statistiquement les femmes abordent moins que les hommes, mais elles abordent, désolé de défaire ton mythe. Par contre, leurs réponses ne sont pas toujours intelligentes, celle que tu cites est tout à fait stupide je suis d’accord.
    Voilà, je me suis arrêté avant ton « 1/ » parce que j’ai déjà vu des choses beaucoup trop dérangeantes, alors, ne dis pas que je n’ai pas tout lu si j’ai déjà trouvé autant de choses qui ne vont pas (mais alors pas du tout) dans ton article.
    Tu critiques les gens qui n’ont pas lu l’article et qui ont juste réagis en lisant « PUA », mais ne pas te poser la question de pourquoi ça les dérange à ce point n’est pas plus intelligent que ce qu’ils ont fait.
    Maintenant je critique cet article :
    Il n’était pas agressif ? C’est la vérité qui dérange ? Tu as fait quelque chose de structuré et argumenté ?
    Pour l’agression j’ai déjà fait les remarques au-dessus. Mais tu n’argumentes rien du tout, tu ne fais que dire des choses comme si elles étaient la vérité universelle et ça aussi c’est très dérangeant.
    Tu parles de liberté, alors que tu bafoues celles des femmes à se balader seules dans un lieu public. Et tu sais quoi ? La liberté d’expression, comme toutes les libertés, vient avec ses privilèges, ses devoirs et ses responsabilités. Il serait temps de les appliquer non ? Ta liberté s’arrête où celle des autres commence, ça te parle pas un peu ?
    Là encore je m’arrête rapidement, avant le paragraphe « Le problème ? » parce que pour faire avancer les choses il faudrait que tu acceptes cette critique, et que tu sois ouvert à la conversation, là je lirai ce que tu me répondras, et je lirai l’intégralité de ces deux articles, mais si tu n’es pas disposé à en discuter, tu m’aurais donné du crédit et la raison, et on fera notre vie chacun de notre côté.

  3. Une photo d’une femme en petite tenue : c’est vraiment de l’inconscience, tu as raison !!! J’en cherche donc une avec un voile pour le prochain article.
    Je me permets de vous reprendre : ce choix « n’est » pas très mauvais, il te « semble » très mauvais.

    J’ai jamais dit qu’on allait être des gros relous qui allaient les faire chier pendant 1h…
    En quoi on bafoue leur liberté à se balader seule ?

    C’est vrai que je vois tellement souvent des femmes voir un gars qui leur plaît et se dire « hééé je vais aller lui demander son numéro ».
    Les femmes abordent souvent !!! Je dois juste pas vivre au bon endroit ou alors trèèès repoussant.

    Je ne connais pas toutes les femmes non mais j’ai contrairement à toi des heures de terrain sur le field. Je sais comment ça se passe en vrai. Pas à travers des idées préconçues. Je respecte les femmes et ne souhaite pas les emmerder, mais je ne souhaite pas non plus qu’elles ne se sentent pas attirantes, car c’est ce qui arriverait si plus un mec ne les abordait : elles douteraient de plaire.

    Parfois je me fais aborder par des grands mecs costauds qui veulent effectivement m’agresser. Je t’assure que ce n’est pas du tout le même type d’approches dont on parle là. Et que, oui, je peux me sentir en danger parfois.

    En fait tu prônes une société autiste où personne ne ferait un pas vers l’autre car ça serait « le/la déranger » et que donc il vaut mieux qu’on reste tous chacun dans notre coin.

    Je termine en disant qu’il est absurde de commenter des textes que l’on a même pas pris la peine de lire intégralement.

  4. Une belle réponse de bien mauvaise foi et totalement fermé d’esprit, comme je m’en doutais.
    Ce n’est pas simplement un mauvais choix pour moi, demande à ceux qui ont critiqué sans lire ton article ce qu’il pense de ce choix.
    Oh, tu n’as jamais dit que vous alliez être des gros relous… Manque de bol, ce n’est pas VOUS qui décidez si VOUS ÊTES des gros relous à leurs yeux, cela dépend UNIQUEMENT de leur opinion. Mais désolé, mais si tu regardes un peu sur Internet le retour de femmes qui se sont faites accoster dans la rue (cherche avec harceler ;)) tu verras que beaucoup le prennent comme du harcèlement. Ne cherche pas, c’est leur avis.
    Et la liberté de se balader seule, ce n’est pas compliqué, si elle marche seule dans la rue, que tu l’arrête pour l’aborder, vous êtes deux, et tu ne lui as pas demandé si elle voulait bien rencontrer quelqu’un dans la rue. 1 + 1 ça fait toujours 2 non ?

    « C’est vrai que je vois tellement souvent des femmes voir un gars […] » tu n’es pas omniprésent donc tu ne peux pas en juger ? C’est quoi cette réponse de collégien… Les femmes abordent moins, c’est statistique, mais dire qu’elles n’abordent pas c’est juste faux. Moi je me suis fait aborder trois ou quatre fois à Paris l’année dernière, tu vas pleurer ?

    « Contrairement à toi », pardon ? Tu n’en sais rien tu ne me connais pas, encore une réponse de collégien… Tu ne sais pas comment cela se passe en vrai, car tu n’as abordé quasiment qu’un ou deux genre de femmes, et donc TU as des idées préconçues de PUA. Si tu ne souhaites pas les emmerder, écoute ce que je t’ai dit, certaines n’aiment pas être abordées, elles le prennent comme du harcèlement, d’autres sont contentes, le problème c’est qu’il faudrait savoir AVANT que l’action soit accomplie si elle était ouverte à se faire aborder ou non, parce que si c’est non, alors tu n’auras pas respecté cette femme. CQFD.
    Elles n’ont pas besoin d’être abordées pour sentir qu’elles plaisent, tu parles encore avec une idée préconçue, il y en a plein qui vivent en sachant qu’elle plaise ou non et en sont contentes, d’autres qui s’en moquent, et d’autres qui sont celles auxquelles tu penses qui veulent qu’on leur rappelle. Tu en as oublié au moins deux tiers des femmes, ce n’est pas du respect de la femme. C’est du respect d’une catégorie de femme qui t’apporte du grain à moudre.

    Petit extrait d’un article que je t’invite à lire pour te rendre compte que tu n’as pas la pensée unique :
    Peut-être que tu ne penses pas à mal Jérémy, quand tu tentes un compliment sur l’apparence, mais lorsque tu croises mon chemin, selon l’heure de la journée, je suis déjà passée devant X publicités de lingerie dans les arrêts de bus, Y affiches en 4×3 dans le métro où une femme (forcément dénudée) servait de présentoir à un objet quelconque. Je me suis déjà faite siffler ou interpeller Z fois.

    Alors même si ton intention, au moment où tu m’abordes, est de me faire un compliment, je n’arrive pas, je n’arrive plus à percevoir ce qu’il y a de positif dans le fait de me ramener, une nouvelle fois, à mon apparence.
    Suite de l’article :
    Ou cet article vraiment bien fait :
    Et ce ne sont pas les témoignages qui manquent.
    Tu parles de te sentir en danger « parfois », pour un grand nombre de femmes c’est tous les jours et plusieurs fois par jour, tu ne te rends juste pas compte de ça.

    Je prône le respect de l’individu indépendamment de son sexe. Je fais des pas des inconnu(e)s, mais dans un cadre bien défini et où je suis sûr de ne pas passer pour un harceleur : dans/devant un bar par exemple. C’est très propice à l’échange. Mais si je risque de me tromper et d’aborder une femme qui voulait simplement se rendre au parc truc ou à l’exposition machin, j’aurai dérangé cette personne, et potentiellement je l’aurai effrayé. Il s’agit de prudence ! Et d’arrêter d’être égoïste et de se dire que c’est nous qui faisons tout le boulot parce qu’on surmonte un peu de timidité.

    C’est absurde ? Comme de répondre à côté de ne pas répondre à certaines critique ? En attendant moi j’ai fait une critique plutôt correcte et en retour j’ai des réponses d’un collégien. Là tu as de l’absurdité. Et je ne vois pas en quoi c’est mal puisque je t’expliquais ce qui n’allait pas dans ton début d’article, et dont le contenu qui suit n’est à mon avis pas du tout différent. Donc avant de dire n’importe quoi sans réfléchir VRAIMENT à ce qui est dit, on arrête de vouloir se défendre comme un avocat et on essaye de raisonner comme un être intelligent, comme un être humain.

  5. Non mais si tu m’envoies des articles écrits par des féministes enragées qui prétendent parler pour toutes les femmes, ce n’est pas recevable non plus.

    Quand on l’aborde dans la rue et qu’elle continue de marcher ou quoi, on ne la colle pas et elle est toujours toute seule. Y’a des intéractions qui durent 10 secondes. Ca dépend si elle est réceptive ou pas.

    Trois ou quatre fois à Paris ? En un an ? Et attends, c’était pour demander l’heure non ?

    J’ai abordé tellement de femmes que je ne vois pas comment j’aurais pu n’aborder que deux catégories de femmes.

    Donc il faudrait ne plus aborder, même celles à qui ça plaît, parce qu’il y en a qui ont écrit sur Internet qu’elles n’aimaient pas ça ?

    Pour moi c’est pas un manque, ça le devient quand on est vulgaire, lourd, collant, etc.

    Ce qui me plaît c’est que tu me critiques mais en faisant d’énormes généralités et en parlant au nom de toutes les femmes.

    Ah et on ne siffle pas les femmes et les openers sur l’apparence sont proscrits. Faut lire un peu…

    Tous ces arguments je les connais par coeur et les juge non recevables pour les raisons suscitées.

    Pour moi tu es converti à la bienpensance, tu devrais me laisse dans ma mauvaise foi et ma fermeture d’esprit.

  6. Pour mademoizelle je veux bien, mais dans le huffingtonpost désolé, on y parle avec des féministes plus sérieux, et je t’ai cité ces deux-là car ils sortent rapidement sur Internet, à toi de faire la recherche plus approfondi pour vraiment comprendre ces personnes. En revanche c’est bien, tu admets que ce que tu disais n’était pas recevable.
    Non, ça c’est quand TOI tu abordes peut-être, mais ce n’est pas le cas de tous, et parfois, elles-mêmes ne continuent pas de marcher par crainte (ce sont leurs confessions, pas mes fantasmes). Donc non ce n’est pas toujours aussi simple (bien un des point sur lequel je porte ton attention, tu simplifie beaucoup trop et à ton avantage).
    Je ne sais pas, on dit qu’un garçon a de beaux yeux pour demander l’heure ?
    Il ne s’agit pas juste de ce qui est écrit sur Internet déjà, les plaintes aux centres de police tu sais il y en a, et la façon dont tu le dis rabaisse ce qui se dit sur Internet, y compris donc ce que tu y écris tu t’en rends compte ? Ensuite, je n’ai pas dit qu’il ne fallait plus aborder, puisque je continue de le faire. Je dis qu’il faut être vigilent au ressenti d’autrui, et pas juste dire qu’il faut réussir à dépasser sa timidité (entre autre chose à prendre en compte). Donc le contexte dans lequel on aborde (dans la rue en fin d’après-midi autour de Charles-de-Gaulle ce n’est pas vraiment propice puisque beaucoup de gens y vont pour le boulot (ce n’est qu’un exemple, je ne dis pas que tu le fais là-bas).
    Je t’ai expliqué dès le premier commentaire que je parlais des séducteurs en général et des problèmes de communication que tu as ici, car tu parles d’un type particulier de femmes, dans un contexte particulier, mais ça ne se voit pas, et tu jettes la pierre aux commentaires sur Facebook pour quelque chose que tu n’as pas fait correctement : être transparent et pédagogue. Donc oui je fais des généralités, et surtout, je ne parle pas au nom de toutes les femmes, je parle en prenant en compte les avis des plusieurs femmes (celles qui apprécient, celles qui s’en foutent, celles qui n’aiment pas, celles qui en ont peur, etc.)
    Je sais très bien que les PUA ne siffle pas, comme je disais ce n’est pas mon propos.
    Je t’ai expliqué que certains points que tu mettais en avant, je les connais et les accepte, toi tu les connais « ces arguments » par cœur mais tu n’y réfléchis pas vraiment visiblement, enfin, c’est sûr c’est plus facile que de remettre en question les points que j’affiche, de les détourner, ou de faire exprès de parler d’un autre propos que je ne visais pas.
    Inutile de me traiter de bien-pensant en faisant preuve de fermeture d’esprit ou de mauvaise foi, encore moins quand on s’expose avec ces deux qualités.

  7. Donc si j’ai bien compris, tu critiques la drague de rue mais pas les PUA ?
    Dans ce cas OK oui y’a beaucoup de cassos irrespectueux.
    Mais ce n’est pas une raison pour laquelle on devrait détester les PUA.
    Voilà le sens de mon propos.
    C’est tout !

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