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Deux heures de drague de rue pour lever une meuf

Image : How I Met Your Mother

J’ai dragué deux heures dans la rue avant de lever cette meuf

Le 20 mars 2016,

Quoi de neuf ces derniers temps ? Beaucoup de choses.

Tout d’abord, j’ai démissionné de mon taf de merde parce que j’ai trouvé mieux payé… et le plus cool dans tout ça c’est que mon patron a bien fait la gueule quand je le lui ai annoncé (il devait penser que j’allais rester son esclave pendant 3 ans). Ensuite, j’ai recadré le gros blaireau qui me sert de frère. Enfin, j’ai fait une session SPU avec des potes durant laquelle j’ai pris un numéro. Ai-je couché avec la fille après, comme un chef ? La réponse dans ce post.

1/ Ma démission dans la face

Au début, j’avais formellement rédigé ma lettre de démission et préparé le recommandé que j’avais donné à la secrétaire pour qu’elle le poste depuis le cabinet. Sauf que comme mon ancien patron est un maniaque du contrôle, il a vu que j’avais écrit un recommandé à l’attention de son cabinet… donc il a décidé de l’ouvrir pour voir ce que c’était.

BOUM, ma lettre de démission dans la face… Oh putain ! Il a débarqué dans mon bureau comme une furie. Il m’a accusé d’avoir essayé d’envoyer un courrier perso avec l’argent du cabinet. Je lui ai simplement répondu « non c’est pro ça ». J’avais pris un RDV aussi avec lui auprès de la secrétaire pour lui expliquer les raisons de mon départ mais il était pressé et rouge de colère donc je suis allé directement dans son bureau.

Je lui ai dit que je l’avais entendu parler en mal de moi, ce qu’il a nié formellement… alors que je ne bluffais pas. Je lui ai dit que j’avais trouvé un poste payé 700€ de plus par mois, pour un nombre de dossiers divisé par deux et avec une pratique de commissariat aux comptes pour mon stage. Le tout dans un environnement classe avec même une fenêtre dans mon bureau, du PQ et de la lumière dans les chiottes.

Tout ce qu’il a trouvé à me répondre, c’est que ça ne se fait pas de partir en pleine période fiscale. « Non non fin avril c’est la fin de la période fiscale ». Il avait mis une clause abusive dans mon contrat de travail comme quoi on n’a pas le droit de démissionner entre décembre et avril et il pensait que j’allais me faire avoir. Ensuite, concernant le préavis, il m’a sorti que c’est deux mois mais j’ai regardé la convention collective et c’est un mois car il ne m’a jamais donné le statut de cadre… donc, ça aussi, je le lui ai mis dans le cul. Enfin, il a essayé de me faire m’engager à finir tous mes dossiers avant de partir. « Alors tu t’engages sur l’honneur à finir tous les bilans avant de partir ?
– Non, je ferai ce que je pourrai. »
Et c’est vrai, j’ai une certaine conscience professionnelle donc je ferai ce que je peux mais je n’ai pas envie de me faire avoir comme mon collègue qui est revenu travailler pour 0€ juste car l’autre con lui avait fait donner sa parole de finir ses bilans avant de partir et de lui donner son solde de tout compte.

Bref, il m’a culpabilisé aussi en disant que je lui devais beaucoup car je ne valais rien en arrivant. Puis, il m’a dit que je ne méritais pas un tel salaire et qu’ils ne me garderaient jamais là-bas. Mais le salaire en question, c’est juste la moyenne pour un expert comptable stagiaire. Il a voulu savoir où j’allais comme cabinet et je lui ai dit non. Il était putain d’énervé !!! Comme une meuf qui viendrait de se faire larguer, il m’a sorti « je n’aurais pas de mal à trouver quelqu’un pour te remplacer. Bon vent ! »

J’ai un peu culpabilisé après cette engueulade… et le soir chez moi, j’ai fait une énorme crise d’angoisse (je ne tenais plus debout et même allongé tout tournait comme si j’étais complètement bourré). Mais je l’ai analysée en tant que telle et j’me suis endormi assez sereinement. Quand j’en ai parlé à mon psy, il m’a dit qu’il y avait du progrès puisque je n’avais pas pensé directement à la mort. Il est assez content de ce travail de TCC et on a commencé le processus pour arrêter mes médicaments ISRS (je suis content car je pense qu’ils ne sont probablement pas pour rien dans le fait que je grossisse).

Je m’en voulais un peu après ça. Comme si j’étais vraiment un égoïste incompétent. Mais quelques jours après, en allant à la pharmacie, j’ai capté que je n’avais même pas de couverture maladie. Alors qu’elle est obligatoirement payée à 50% par l’employeur et à 50% dans la fiche de paye par le salarié dans le privé depuis le premier janvier 2016. J’ai demandé pourquoi au cabinet et on m’a dit « tu ne l’as pas demandée. » J’ai regardé le texte de loi et tous les salariés doivent l’avoir par défaut sauf s’ils signent une dispense. Vraiment, y’en a qui prennent tout le monde pour des cons !!! Donc je me barre sans aucun regret finalement.

2/ Mon connard de frère

Puisque mon père n’arrête pas de me parler de mon frère en me disant qu’il le fait souffrir et que ça me soule : j’ai décidé de lui envoyer un petit courrier bien senti à ce consanguin. Pourquoi faire un courrier ? Parce qu’il ne répond plus au téléphone et a interdit toute visite à sa famille. Bon, la première version était vraiment pleine d’insultes donc je l’ai envoyée à mes parents pour avoir leur avis et qu’ils l’adoucissent. Je reprends seulement dans ce courrier les faits et mets le mec face à ses contradictions. Puis, je lui dis ce que je pense de sa grognasse et de son attitude de merde envers ceux qui l’ont torché. Je ne l’ai même pas fait pour qu’il le lise, je l’ai fait pour moi, pour me soulager.

3/ Street Pick-Up

La semaine dernière, j’ai reçu la visite de ma maman. Puis, le samedi aprèm, elle est partie. Je suis donc allé faire du SPU pour me changer les idées. C’est la première session que je faisais à Lyon : je n’avais encore jamais trouvé le temps/la motivation depuis mon arrivée en septembre mais un de mes padawans a ken y’a quelques temps donc ça m’a inspiré !!!

C’était comme si le Dieu du Game me disait « tu dois aller draguer dans la rue, à l’ancienne, pour faire taire toutes les langues de putes qui disent pour se rassurer que tu n’es capable que de faire du online dating. » Ce qui est faux bien sûr, puisque j’ai certes plus de 50% de mes FC qui viennent d’Internet mais j’ai pas mal baisé en NPU et Social Circle à Aix et que je comptabilise quelques FC venant de la rue aussi.

On a fait des groupes de deux avec mes potes et j’abordais avec l’alsacien. Au bout d’une heure, on a vu un groupe de deux petites. Mon opener « on a traversé la rue pour venir vous parler ». S’en est suivi une discussion assez normale. Sauf que ma target me donnait 32 ans et que j’en ai seulement 27. Sinon, elle fait un master CCA donc ça l’a branchée que je lui dise que je fais de l’expertise comptable. Elle m’a donné son numéro pour « en reparler ».
Toute la semaine on s’est écrit entre 1 et 3 SMS par jour. Rien d’extraordinaire, juste de la discussion assez basique, sans trop de sexu. Et on a convenu de se revoir hier soir. Elle est à Saint Etienne toute la semaine pour les études et ne revient à Lyon que le week-end, c’est pour ça que ça a été aussi long ! On s’est donné rendez-vous au métro en bas de chez moi mais elle a voulu aller boire un verre en ville pour faire connaissance. Y’a qu’un bar PMU dans le quartier et en plus, ils fermaient à 20h, ces cons m’ont presque foiré mon coup. Donc on a marché jusqu’à Saxe-Gambetta pour y boire un verre de vin et le pisser dans la foulée.
Ensuite, elle m’a dit avoir faim. Elle a dû croire que j’allais lui payer le restau, la coquine !!! Je lui ai donc proposé de lui faire des pâtes chez moi. Elle était OK. Il faut dire que je l’ai pas mal charrié durant la semaine parce que chaque fois que je lui demandais ce qu’elle mangeait, elle me répondait « des pâtes à la tomate. » Arrivés chez moi, on a joué aux cartes, à plein de jeux différents, et on mangé ces fameuses pâtes (avec des légumes quand même). Jusqu’ici rien d’extraordinaire.

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Sauf que vers 23h, elle m’a annoncé qu’elle n’allait pas tarder à rentrer. Assis à côté d’elle, j’ai donc commencé à caresser son dos, sa cuisse. Sa réaction : je l’ai vue me tourner le dos, s’éloigner, etc. Je me suis donc levé pour me positionner derrière elle et lui ai embrassé le cou. Elle esquivait. Je l’ai retournée face à moi (les chaises pivotent dans mon salon) et on s’est kiss timidement.

Elle m’a fait une méchante Last Minute Resistance genre « je ne veux pas déroger à mes principes, arrête de me toucher ». J’ai creusé et elle m’a sorti « j’en ai envie mais je ne suis pas une fille comme ça donc on se reverra dans une semaine pour aller plus loin. » J’ai essayé de lui démontrer la débilité de son raisonnement, mais elle se braquait. « Carpe diem ! Si tu as deux orgasmes la semaine prochaine quand on se reverra, c’est cool. Mais ce soir on va être deux à être frustrés (scénario gagnant-gagnant) alors que tu aurais pu avoir EN PLUS deux orgasmes ce soir aussi ! Et la liberté de la femme dans tout ça ?! » En vrai, la semaine prochaine pour Pâques, je descends dans le sud chez mes parents alors je n’aurais pas pu la niquer.

Du coup, je suis passé à l’offensive corporelle. Je l’ai caressée et tout et je la bloquais contre moi. Je passais ma main sur ses seins, sur sa chatte, etc. Ca l’a rendue folle. A un moment, j’ai voulu passer sous sa culotte et elle a crié. Hurlé, même. « Oulah » me suis-je dit. Est-ce que je vais trop loin ? Je ne voudrais pas être considéré comme un violeur ni rien. Je l’ai alors laissée un peu tranquille tandis que l’heure du dernier métro approchait. Mais c’est là qu’elle m’a dit « tu as vraiment tout compris toi ». Je lui ai demandé de développer sa pensée et elle m’a avoué être excitée à fond mais qu’elle s’en voudrait de céder. J’ai interprété ça comme son inconscient qui me demandait de continuer pour qu’elle puisse surmonter son blocage. « J’ai jamais rien fait le premier soir et je peux me respecter grâce à ça donc laisse moi tranquille… oui j’ai envie de toi mais on le fera dans une semaine ». Pour le fun, j’ai commencé à lui décrire les orgasmes que je voulais lui donner, le cunni que j’avais envie de lui faire, comment ses jambes allaient trembler et tout.

J’ai réussi à faire durer la discussion et à la captiver jusqu’à ce que l’heure du dernier métro soit passée (je disais oui à tout, qu’elle pouvait partir quand elle voulait mais dans les faits je la tenais assez fermement quand même). Puis, je l’ai plaquée contre le lit sans la tenir vraiment… de façon à ce qu’elle puisse s’enfuir si elle le souhaitait. J’ai repassé ma main dans son string (persistance) et lui ai caressé le clito. Elle a joui au bout de quelques minutes. Elle m’a dit que ça faisait longtemps qu’elle n’avait rien fait. J’ai donc rentré mon autre main et ai commencé à la doigter. Elle a voulu fumer une cigarette post-orgasme et réfléchir.
Après, elle m’a dit avoir chaud donc je lui ai enlevé son pull. Elle s’est moins faite prier à partir de là : j’ai viré son jean et elle a ouvert le mien. Je n’en ai pas encore parlé mais elle est vraiment bandante cette fille (en deux mots elle est comme je les aime c’est-à-dire fine avec des formes). 1m63, 42kg, blonde avec des gros seins et une belle gueule. Son cul pas mal aussi, pas trop large. Habillée classe, elle est un peu péteuse car ses parents vivent à Masséna, le quartier le plus huppé de Lyon. Son seul vrai défaut, c’est qu’elle fume beaucoup !!! Bon et son anecdote c’est qu’elle a une sœur et deux frères qui ont été adoptés car ses parents ne pouvaient pas avoir d’enfants. Mais un jour, elle est née quand même. C’est un petit miracle de la nature!!!

Bon, trêve de romantisme, revenons au cul. J’ai capté qu’elle ne s’était pas épilée la chatte (y’avait quelques légères repousses). Elle a dit avoir fait exprès pour être sûre de ne pas coucher avec moi le premier soir. J’ai rigolé !!! Elle a voulu qu’on éteigne la lumière. J’ai dit « OK ». Et puis voilà, on s’est découvert un amour commun pour la levrette (ne dit-on pas qu’il n’y a qu’une seule race… celle que l’on se met en levrette ?). Elle a re-joui en cuillère. Puis après, je l’ai doigtée/caressée en position quatre pattes et elle a encore joui. « Toi alors, tu me vends du rêve ».

Je l’ai bourrinée pour mon propre plaisir après ça et j’ai joui fort. Elle a refumé (sans blague) et on a remis ça. Elle est montée sur moi et était sur le point de me faire la pénétrer sans capote car elle était prise dans son enthousiasme mais j’ai insisté pour en mettre une et on a basculé en missionnaire hardcore cette fois-ci (4ème orgasme). Elle s’est extasiée sur le fait que je tienne longtemps. Puis elle a conclu « je ne regrette pas du tout, tu t’es très très bien occupée de moi ». Après elle m’a complimenté « comment fais tu pour être aussi parfait ?
– oh je suis loin d’être parfait. »

Elle m’a raconté ce qu’elle avait pensé de moi lors de mon abordage « t’avais l’air sérieux avec tes lunettes et tout quand tu m’as abordée, je ne pensais pas que tu puisses être un si bon coup.
– Ben alors, pourquoi t’as accepté de me revoir ?
– Pour faire connaissance. » Women’s logic.
Le seul qui croyait qu’on allait coucher ensemble finalement, c’était donc moi… et ça a suffit.

Je l’ai raccompagnée à son taxi : elle n’avait pas de monnaie mais j’avais la flemme de la raccompagner à Masséna à pied surtout qu’il aurait fallu que je rentre tout seul après donc je lui ai filé 10€ pour la dépanner. De toute façon, c’était son anniversaire ce week-end donc ça sera mon cadeau pour elle (en plus des orgasmes).

En rentrant chez elle, elle m’a envoyé un petit texto pour me remercier d’avoir insisté et pour me dire qu’elle y repensera toute la semaine. Bref, elle s’est fait un petit kiffe pour son birthday. Elle m’a demandé de garder pour moi qu’elle avait dérogé à ses principes « mais on n’a aucun ami en commun…
– oui mais dans 4 ans on se retrouvera peut-être dans le monde du travail car je veux être expert-comptable aussi.
– Bah, je te pistonnerai 😉 »

J’étais tout excité vers 3 heures du matin d’avoir réussi mon coup (deux heures de SPU à Lyon et 1 FC… qui dit mieux ? En fait je pense que les différents fields se rejoignent une fois qu’on a pris le numéro de la meuf donc l’expérience dans l’un paye dans l’autre car la chance du débutant a ses limites quand même). Pour me calmer, j’ai maté Le cercle des poètes disparus. Je me suis endormi devant au bout de 45 minutes (même si c’était intéressant). Cette nuit, j’ai rêvé que le Lair de Lyon jouait au foot avec une pomme noisette et que je marquais un but. Métaphore ?

Que le Dieu du Game soit avec nous pour la suite de cette aventure nommée la vie!

PS : avant-hier je suis allé avec La Prof à sa cérémonie de remise des diplômes pour être titulaire de son poste. Et je l’ai niquée dans la salle 215 de la manufacture des tabacs. Avis aux étudiants qui y auront cours à l’avenir, vous penserez à moi.

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3 commentaires sur “Deux heures de drague de rue pour lever une meuf”

  1. Ce qui est sûr, c’est que ton patron un connard qui se croit tous permis parce ce que c’est lui le chef. Il est nuisif pour ces employés, il devrait faire faillite et fermé son cabinet, il se mettrait peut-être en question. Le fait qu’il a réussi à te faire culbabiliser et à te rendre mal, montre son niveau de pervers narcissique et de sa manipulation. Tu as bien fait d’avoir eu les couilles de démissionner. Beaucoup de gens n’oseraient pas car on leur met dans la tête que « trouver du boulot c’est difficile », tu l’as fait intelligemment, tu n’as pas démissionné tant que tu n’as pas trouvé un poste plus intéressant.

    Bravo pour ta session de SPU et ton FC. Au moins, tu as la persistance que je n’ai pas. J’aime coucher avec des filles qui sachent ce qu’elles veulent. Et non de faire des résistances avec leur principes à la con, ce que je préfère c’est « tant pis pour toi, tu ne sais pas ce que tu râtes », ceci étant dit j’essaye de mettre toutes mes chances de mon côté avant pour éviter la last minute resistance. Dans le sexe, je prends beaucoup en considération le côté psychologique des femmes, donc je fait en sorte qu’elle n’a pas envie de moi, mais plutôt qu’elle désir, pour cela j’ai pleins d’atouts dans ma manche, en général quand on se voit même si c’est pour la première fois. La fille a déjà dans l’idée de coucher avec moi. Donc la last minute resistance est quasi inexistante.

  2. Ah je croyais que tu avais déjà quitté ton poste. Voire que tu avais laissé la compta pour te consacrer exclusivement à une activité de coach.
    En fait j’ai du mal à comprendre comment tu arrives à concilier un job à plein temps, voire qui déborde, des conquêtes, l’entretien de tes relations plus fidèles, la création et le lancement de ta formation, les réponses à tous ceux qui peuvent te solliciter, la maintenance de ton site web et forum, etc.
    C’est le game qui t’a boosté à ce point ? car c’est une vie de fou furieux que tu sembles mener. Je suis impressionné.
    PS : Je crois presque imaginer ce qu’est la salle 215 de la Manu, car j’ai passé un peu de temps dans ce bâtiment 😉

  3. « Elle a dit avoir fait exprès pour être sûre de ne pas coucher avec moi le premier soir. »
    « – Ben alors, pourquoi t’as accepté de me revoir ? – Pour faire connaissance. »
    Le paradoxe feminin dans toute sa splendeur.

    Fais gaffe quand meme avec la resistance, c’est chaud. J’aurais abandonne je pense.

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