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Le piège de la phase de confort

Le piège de la phase de confortA un moment ou à un autre de votre pick-up, il va falloir créer du confort (ou rapport) avec votre target. C’est un passage obligé !

Il va donc s’agir de vous dévoiler un peu, de lui laisser entrevoir des éléments rassurants à votre sujet pour être plus qu’inconnu téméraire à ses yeux. Vous allez aussi devoir vous intéresser un peu à elle, montrer que vous n’êtes pas un clown ni un narcissique.

Le but n’est pas de faire une phase d’attraction en étant un mystérieux badboy qui la fait mouiller puis de switcher en mode « confort » pour devenir aussi chiant qu’un feuilleton sur FR3. Non! Il vaut mieux, bien sûr, établir une proximité avec sa cible sans devenir ennuyeux. (Qui a dit CHIANT ?)

Rester dans le factuel, c’est le niveau zéro du game.

L’interrogatoire est la pire des approches « Tu fais quoi dans la vie ? Tu viens d’où ? Tu viens souvent ici ? Tu écoutes quoi comme musique ? Tu aimes la double-pénétration ? » Entre mec insipide et dangereux gus intrusif, son cœur balancerait ! Intéressez-vous plutôt à ses émotions qu’aux faits. Par exemple « Quelle serait la chanson qui serait la BO de ta vie aujourd’hui ? »

Y’a des sujets que je conseille d’éviter (mais bon chacun fait comme il veut et puis dans des contexte particulier comme dans un rassemblement politique c’est spécial) : la politique, l’argent, la religion, tous ces trucs là. Ca peut rapidement déraper et ça j’aide pas à sexualiser ni à être playful !

C’est passionnant tout ça mais vous ne voulez pas disserter sur un sujet, vous voulez faire avancer une interaction avec une meuf qui vous plaît ! Faut choisir ses priorités dans la vie ! Evitez aussi de parler de ce qui peut vous faire passer pour un mec dangereux : il est judicieux, au contraire, de créer un climat de confiance. Elle a déjà assez de raisons de se méfier de vous ! Sale queutard ! 😉 Non, je rigole, mais parlez plutôt des choses qui font de vous un être humain : vos rêves, vos ambitions, vos envies, vos goûts, vos fantasmes, vos souvenirs, votre taf, etc.

Racontez des anecdotes du quotidien, des trucs humoristiques. Mais ne racontez pas vos anecdotes comme vous feriez une déposition au commissariat de police ! Donnez du rythme, faites des flash-back, etc. Faut éviter au maximum d’être chiant… mais faut pas être trop bizarre non plus. Un peu de classique et un peu d’originalité !

Je trouve la frime vulgaire. Et trop répandue chez les mecs ! N’oubliez pas ce qu’on dit « un riche n’a pas besoin de dire qu’il est riche ».

Evitez de parler sur un ton monocorde, évitez d’y aller à fond la caisse. En prenant le temps quand vous parlez, vous sub-communiquez que vous n’avez pas peur qu’elle parte avant que vous ayez fini votre phrase. Donc, c’est cool…

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Assumez et assurez vos eye contacts quand vous parlez !

Ne vous perdez pas dans des détails, dans le factuel, insistez sur les émotions. Parlez de votre état d’esprit au moment où vous avez vécu l’anecdote. Faites-lui visualiser l’histoire !

Evitez les adjectifs lambda. Remplacez-les par des synonymes originaux, des métaphores, des images marrantes ou des comparaisons surprenantes. N’oubliez pas que « femme qui rit à moitié dans votre lit ». Les anecdotes pourraient être à propos de ce que vous avez vu dans la soirée, de personnes chtarbées que vous avez rencontrées, ou de gens cool. De situations vécues, des gens autour de vous, etc. Vos passions aussi : moi, j’aime écrire, mais pourquoi ?

Exercice 1 : identifier 5 thèmes qui vous définissent, selon vous. Essayez de dire pourquoi.

Exercice 2 : écrivez en commentaire, ou chez vous sur word, le story telling d’un événement qui vous a marqué et faites-nous vivre la scène. De quoi parler ? De ce qui vous a marqué. La vie est un film en avance rapide mais parfois on fait pause sur des moments, ou bien on a souvent envie de les revoir en pensées. Voilà votre réserve d’inspiration, vivante et précise.

Quand vous racontez quelque chose à une meuf, c’est mieux si elle fait de l’écoute active : son imagination tourne alors à plein régime ! Elle vit l’histoire avec vous ! Elle veut connaître la suite ! Elle est demandeuse… c’est bien le but.

Vous pouvez poser des questions pour l’impliquer, genre « tu vois ce que tu ressentais quand on te mettait les flotteurs à la piscine alors que tes copains en avaient plus ?
– ah ouiiiiii hahaha
– ben voilà, je me suis senti comme ça. Du coup, je n’aime plus aller à la piscine. »

C’est mieux bien sûr si l’histoire racontée lui permet de s’identifier à la situation. Attention : on ne fait pas de narcissisme mais la conversation doit plutôt être un moment de partage. On peut, avec délicatesse, lui apporter aussi un éclairage différent sur ses propres histoires à elle…

Rebondir sur une anecdote sur ce qu’elle dit, permet enfin de trouver des bons sujet de conversation !

A vous de jouer !

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