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Le prizing sexuel est-il la clé de son…?

Le prizing sexuel est-il la clé de son…Assumer sa sexualité. Voilà le maître mot de mon game. Et ça fonctionne plutôt bien.

J’ai des envies, des désirs, des pulsions, des fantasmes. Et je les assume. C’est tout.

Le truc c’est que les femmes en ont aussi. Et le fait que je sois « pire que » ou « comme » elles, les rassure. Ca les met à l’aise. Elles ne se sentent pas jugées. C’est pour ça que ça fonctionne de montrer ses cartes en premier.

De plus, elles sentent une certaine confiance sexuelle émaner de moi, donc elles se disent « Tiens pour une fois ce sera sûrement un bon coup, lui. En plus, il se tape plein de belles filles, voudra-t-il de moi ? S’il me baise ça veut dire que je suis jolie ».

Je n’aime pas les routines, les techniques… je ne kiffe pas non plus le game qui repose sur une apparence physique qui demande un travail énorme ou sur un social proof poussé à l’extrême. J’aime le game simple, qui repose sur un état d’esprit. J’aime être un mâle alpha qui leur donne du plaisir et fait jouir les femmes comme des petites folles.

Mon conseil ? Je propose que vous rendiez vos interactions plus sexuelles. Je suggère que vous alliez plus vite droit dans sa ch… son lit. Je ne veux plus que vous soyez coincé dans des interactions trop polies, sociales… (putain qui a dit friendzone frustrante ?)

Le prizing sexuel fonctionne aussi si vous voulez simplement trouver une copine. En effet, à force de m’entraîner à bien baiser, ce sont les femmes qui en redemandent et certaines feraient le poirier pour que je devienne leur petit ami. Etre un bon coup permet de les retenir ! Y’a pas que les hommes qu’on peut tenir par ce qu’ils ont entre les jambes.

Je me vois comme un gars assez simple. Je ne paye pas de mine. Je ne cherche pas à convaincre la fille que je suis un bon coup pour qu’elle couche avec moi. Je ne cherche pas sa validation. Je lui offre une opportunité de vivre un truc hors du commun. Je la choisis, attention, il faut qu’elle ait du niveau et ait retenu mon attention. J’aime pas les connes non plus. J’aime les filles, minces, fermes, un peu musclées, avec des beaux cheveux longs, féminines, parfumées à l’amour et avec de la force de caractère.

Je veux la voir jouir. Je veux lui donner des orgasmes. Je le lui dis. La vérité nue… et si elle ne me croit (pas parce que la plupart des mecs sont des mauvais coups ou parce qu’elle est totalement inhibée sexuelle et pleine de blocages), tant pis pour elle. Je ne suis pas son psy. Par contre, j’essaie un peu de lui expliquer le concept de zone de confort et tout. Qu’elle comprenne où est son intérêt et pourquoi elle se sent stressée. Je vois si elle est sujette aux stratégies d’évitement aussi. On ne refait pas une personne. Donnons-lui une chance ou deux, trois maximum. Puis sinon, laissons-la dans sa merde. On ne peut pas ouvrir le champ des possibles à des gens qui ne sont pas réceptifs du tout.

Ainsi, la réaction de la meuf à ma proposition (emballée ou rejet) n’est pas personnelle. C’est son rapport au sexe qui est mis en jeu. Je ne suis absolument pas attaché au résultat même si les meufs qui se dégonflent m’énervent encore un peu. Je sais que j’en aurai d’autres.

Je ne prends pas non plus la grosse tête parce que j’ai baisé un petit canon après à peine 2 heures de conversation.

La différence entre la plupart des gus et moi, c’est que je ne me contente pas d’avoir des indicateurs d’intérêt, d’avoir « un coup hypothétique » avec une meuf. A la limite, je m’en fous de ça, tant qu’elle reste lorsque je lui fais du rentre-dedans, lorsque je me fais entreprenant. Je travaille en flux tendus.

Je ne cherche pas à lui plaire avant d’essayer de coucher avec elle. Ma démarche n’est pas prudente. Elle est courageuse ! Audacieuse, même. Et elle, l’est-elle ? J’aime les femmes audacieuses. Ca me fait bander. Et y’en a plus qu’on ne pourrait le penser en se fiant aux apparences.

Je ne m’attarde pas à essayer de la convaincre que je suis un type exceptionnel, ça, elle doit le sentir (ou bien elle s’en apercevra en levrette). J’suis pas persuadé qu’on ait besoin de séduire pendant des heures avant de mériter le droit d’essayer de coucher avec la fille (frame de meuf romantique à souhait). Je joue selon mes règles. Veut-elle jouer avec moi ? Aucune femme ne décidera de ma vie sexuelle. Si sa proposition ne me convient pas ou si elle me fait un petit peu trop chier avec ses doutes à la con, je la next.

Ca m’est arrivé de coucher avec des femmes juste parce que je les aies touchée de la bonne façon, que je les ai excitées. Elles m’ont avouées après que je n’étais pas trop leur genre mais qu’elles avaient pris leur pied.

Je dirais que contrairement à la stratégie de la plupart des mecs, on couche plus et plus vite en se déclarant amant plutôt que futur petit copain. Attention, je ne me tape pas que des salopes. J’ai même dépucelé des filles comme ça. J’ai eu des relations « sérieuses » qui ont débuté comme ça aussi. Parfois, les meufs veulent un bol d’air ou recherchent la simplicité. Ce ne sont pas des anges. Elles sont curieuses, la plupart aiment le sexe un peu hard que peu de mecs osent leur donner (la levrette c’est pas si répandu que ça).

Cependant, cela n’empêche pas de devoir (oui je dis bien que c’est un DEVOIR) gagner sa confiance. J’ai rarement couché avec une femme dès qu’elle a passé le pas de ma porte. On a la plupart du temps discuté avant, histoire qu’elle me teste (elle a raison mais faut pas que ça soit excessif non plus), se rassure (voit que je suis un gentil) et histoire de faire monter la tension sexuelle. Et puis, moi aussi j’ai besoin d’être séduit, ce n’est pas gagné d’avance pour elle parce qu’elle a une chatte et moi une bite (frame de base du mec prêt à tout pour tirer son coup, très répandu dans notre société). Même si sa chatte est mouillée et ma bite en érection.

C’est durant cette phase de mise en confiance qu’il est important de ne pas gâcher la tension sexuelle avec la nervosité, de rester simple humble et taquin. Votre communication et votre langage corporel doivent être bons (pas besoin d’être exceptionnels non plus). Vous devez oser par contre. Vous devez assumer en face d’elle !

Je parle souvent direct de cul. En fait, je commence la plupart des mes interactions en parlant de sexe. Et ensuite je me dévoile si j’en ai envie. C’est un choix stratégie et être clair sur mes intentions m’évite la friendzone. Je teste le rapport des femmes avec le sexe en premier lieu. S’il est mauvais (souvent dans la société actuelle) je ne m’emmerde pas avec elle car je sais d’expérience qu’il y a 99% de chances qu’elle me fasse chier. S’il est bon, nous pouvons avoir une conversation intéressante qui débouchera sûrement sur du bon sexe.

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Les femmes adorent le bon sexe, le truc c’est que beaucoup ne savent même pas ce que c’est. Trop peu de mecs sont capables d’en procurer. Faites monter son désir sexuel, mais par contre vous devrez assurer après. Sinon, ce serait ridicule. Le guide du bon coup est là pour ça, rassurez-vous !

L’isolation, l’ambiance, c’est important aussi. C’est pour ça que les rencards dans un bar me font chier. Ils n’aident pas à faire monter la tension sexuelle à fond. Puisqu’on sait qu’on devra de toute façon se déplacer avant de pouvoir baiser. Et que ça nous refroidira sûrement un peu. C’est quand même plus simple si on est assis sur un lit côte à côte. L’intimité aide à garder ça secret aussi.

J’vais vous mettre dans la position inverse pour vous expliquer mieux le prizing sexuel : vous discutez avec une meuf. Elle vous plaît moyen, genre une 6/10. Mais elle vous décrit assez subtilement comme elle suce, comment elle sait faire jouir certains mecs en moins de 4 minutes avec sa bouche, comment un gars lui a dit que son cul en levrette était le meilleur de Lyon. Lorsque vous commencerez à imaginer la scène, vous serez cuit. Elle aura éveillé votre désir sexuel. Et si elle vous propose ensuite d’aller chez vous, si vous êtes sûr que ce n’est pas un traquenard pour vous tuer ou vous détrousser, vous iriez sûrement la baiser. Elle gagne (vous aussi).

Le truc c’est que, nous, on essaie de leur faire la même chose. Ca marche pas mal aussi d’envoyer des nouvelles érotiques aux meufs pour leur décrire une séance de baise avec vous (speed seduction). Le truc c’est qu’il faut qu’elle se l’imagine, que ça la travaille, peut-être même qu’elle se touche en pensant à vous.

Idées :
– Vendez vos cunnis et vous baiserez plus ! Peu d’hommes sont capables de faire jouir une femme avec seulement leur langue (et/ou leurs doigts) mais je vous jure qu’elles adorent ça !
– Faites lui comprendre que vous n’êtes pas un amateur ni un mort de faim. Elle ne veut pas être frustrée après une pénétration de seulement deux minutes alors qu’elle croyait jouir comme une petite folle. Soulignez le fait que vous accordez beaucoup d’importance à la jouissance de votre partenaire, même après avoir fini.
– Montrez un peu de valeur et que vous n’êtes pas un pervers (humour, intelligence sociale, taquiner, etc.)

Ce qui est chaud c’est d’arriver à communiquer son savoir-faire au lit sans paraître se vanter ou quoi. Comme si c’était totalement normal. Et malheureusement il faut bien respecter les conventions sexuelles de base (on ne va pas parler de sodomie devant des inconnus, par exemple).

La discrétion est primordiale aussi. Une copine que je baisais dans une autre vie m’a dit que les meufs n’avaient pas trop peur de me chauffer, de m’envoyer des saloperies par texto ou quoi parce qu’elles savaient que je suis très respectueux et discret. Ca ne saute probablement pas aux yeux avec mon blog mais sachez qu’il est impossible de reconnaître une nana que je me suis faite ou quoi. Je fais très attention aux détails.

En effet, socialement, ça passe moyen pour une femme d’être entreprenante avec d’un mec lambda. Elles ne veulent avoir une mauvaise réputation dans leur bahut ou leur taf parce qu’elles se comporteraient comme des mecs (quelle injustice quand on y pense). Donc là encore, ne pas la juger. Et lui faire comprendre qu’on ne la jugera pas. Savoir qu’elle n’est pas jugée rend la fille plus confiante. Elles osent davantage dans ces conditions. Et puis, surtout, si on est un « inconnu » elles seront plus à même de se lâcher au lit. Et vous aussi. Ca fait un bien ouf ! C’est un scénario gagnant-gagnant.

N’agissez surtout pas comme un needy. Elle doit prendre conscience qu’elle a autant à y gagner que vous à coucher avec vous.

Je ne conseille à aucun homme d’attendre que la femme lui propose de baiser ou vienne le séduire. Ca ne marche pas si t’es pas Bradley Cooper ou le serveur beau gosse d’une boîte connue, je pense. Attention hein, je kifferais qu’elles viennent plus souvent me draguer en affichant leur envie de me baiser le soir-même. Mais pour ça, il faudrait que ça soit écrit sur mon front « coup exceptionnel ». Eh ouais… c’est pas trop le rôle d’une femme de faire notre travail à notre place. Elles s’habilleront sexy, feront des regards prolongés, ça oui, peut-être… mais pour la suite.

Les filles sont « le prix » car il y a plein de mecs aussi bien que nous (désolé) dehors. Mais des mecs bons au lit, ça ne court pas les rues. Devenons donc le prix, sexuellement parlant. Scénario classique : t’embrasses une meuf en boîte et une heure plus tard, elle embrasse un autre gars (ce qui ne veut pas dire qu’elle couchera avec quelqu’un ce soir-là : trop d’inhibitions et de pression sociale). Par contre, baise-la comme un Dieu et elle n’aura d’yeux que pour toi.

Y’aura plus d’histoire de résistance ou quoi, dans cette situation.

Proposez-lui d’abord du sexe sans conséquence, histoire de tester la connexion sexuelle entre vous. Cela facilitera vos fuckcloses. Et ensuite, rien ne vous empêchera de continuer à la voir. Mais elles ne veulent pas toutes un couple (et ça ne remet pas en cause que ce sont des filles bien c’est plutôt qu’elles réfléchissent et ne mettent pas la charrue avant les bœufs malgré la pression exercée sur elles par la société).

C’était ça, la morale de l’histoire.

A noter quand même que beaucoup refuseront le sexe sans conséquence ou quoi même si ça leur ferait du bien. Trop de peurs en elles. Trop de pression sociale autour d’elles. Trop d’imagination négative aussi sûrement. Trop de déceptions passées. La religion peut-être (bien que certaines se la prennent dans le cul) ? Trop trop trop de merdes pour qu’on soit tous heureux et épanouis (y’a pas que le sexe dans la vie gnagnagna diront les chieuses et je suis d’accord mais c’est important pour notre équilibre donc c’est pas étonnant qu’on soit tous aussi névrosés dans la société actuelle). Vous connaissez le refrain. Maintenant que vous connaissez les règles (j’parle pas du sang), à vous de jouer. Pour vous, pour elles.

Que le Dieu du game nous aide dans notre démarche de rééducation.

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3 commentaires sur “Le prizing sexuel est-il la clé de son…?”

  1. Si j’ai bien compris, pour faire rapidement FC il faut juste être sincère, spécialiser sans le cacher parler « crument » sexe et établir du confort avec ta « cible » ? Je suis au lycée, pour sexuer, faire des kinos je veux bien ! Mais bon je peux pas faire comme vous ! De un pour pratiquer je vois pas comment faire, de deux toucher une fille au lycée OK faut être astucieux et pas dépasser les bornes. Sinon très bon article ! Tu m’a éclairé sur ma recherche du meilleur moi

  2. Salut Amir, effectivement dans un environnement clos, comme au travail, c’est différent.
    On ne peut pas trop être bourrin.
    Laisser faire le temps et attendre le bon moment dans ce cas-là mais surtout draguer en dehors du taf ! 🙂
    Bon courage

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