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L’essentiel du pick-up

L’essentiel du pick-upLe pickup (la science de la drague) est domaine trop axé sur « l’Humain » pour qu’en puisse en dégager des vérités absolues. En effet, aucune attitude ne fonctionne partout, tout le temps.

Snipe explique bien comment ça se fait et pourquoi c’est tant mieux dans notre podcast.

On ne peut cependant pas en déduire que cette discipline est totalement soumise à la subjectivité de chacun et de chacune : tout n’est pas non plus qu’une question de contexte. En effet, il y a des traits qui sont, statistiquement, plus séduisants que d’autres. Dit autrement : il y a des caractéristiques qui permettent davantage de baiser que d’autres… peut-être pas une fille en particulier et à coup sûr mais, en moyenne, on peut notablement améliorer notre vie sociale, amoureuse et sexuelle grâce au game. Et ça, c’est un fait observable que l’on peut quantifier.

La plastique

Si j’étais Ben Affleck, je n’aurais pas besoin de me montrer drôle ni charmant pour tirer un coup. Les meufs se jetteraient sur mon sexe dès qu’elles m’apercevraient de l’autre de côté de la rue. Pas toutes les meufs bien sûr, mais pas mal de nanas quand même. Elles manqueraient ainsi de se faire écraser et je serais responsable de plusieurs accidents de la route. Je préfère être responsable d’accidents de petite culotte.

C’est pas parce que Ben Affleck est mignon que je dis ça, c’est surtout parce qu’il est connu et reconnu comme un mec baisable (présélection).

Je ne suis pas au goût de toutes les meufs (comme tout le monde d’ailleurs). Certaines que j’ai rencontrées me trouvaient moche et n’ont pas voulu baiser avec moi. D’autres me trouvaient moche mais j’les ai levrettées quand même. La différence entre celles que j’ai baisées et celles que je n’ai pas baisées ? Je ne la connais pas. Un charisme ou une attitude a sans doute séduites celles avec qui j’ai couchées. Ceci dit, y’en a qui me trouvaient beau gosse, mais j’n’ai pas couché avec pour autant.

Y’a vraiment trop de paramètres à prendre en compte et certains dépendent de la nana : genre, si elle a peur parce qu’elle n’est jamais sortie de sa zone de confort, si elle n’a pas d’expérience au lit et flippe, si elle sait que vous êtes un queutard et a peur de la comparaison avec les autres filles avec qui vous avez couché. Dans ce cas, il y aura conflit entre elle et elle-même, et à part la rassurer, vous ne pouvez rien faire. Or, essayer de la convaincre ne suffira pas toujours, elle se braquera même parfois.

Le physique n’est donc pas primordial mais ça aide, ne soyons pas hypocrites. Votre style vestimentaire est à soigner. C’est toujours plus facile quand on est un peu élégant. Même si j’ai souvent la flemme de me changer avant de sortir, que je ne prends pas soin de moi tous les jours et que je baise quand même… ne me prenez pas pour modèle sur ce point.

Boulot et culture

Avec un bon boulot et un avenir, c’est encore mieux. Quand à la culture, si on ne vise pas les cagoles des quartiers nord de Marseille, c’est mieux d’écrire sans faute d’orthographe (pour draguer sur Internet ou par SMS) et d’en avoir une petite (de culture, hein). Mais pas la peine de l’étaler comme de la confiture.

Le pouvoir aussi attire pas mal. Plus t’as d’influence, plus t’auras de facilités à avoir des bonnasses dans ton lit. J’suis sûr que Norman baise pas mal grâce à sa popularité sur Youtube, même si ça se voit que c’est un putain d’AFC et que sans ça il serait encore puceau. Chacun sa technique, l’important c’est que ça fonctionne !

La légèreté

Un regard silencieux vaut mieux qu’un long discours nerveux. C’est le concept de la tension sexuelle à ne pas briser développé dans ce livre. Pour savoir comment éviter les gestes nerveux et l’importance d’être ou d’avoir l’air à l’aise, c’est plutôt cet ebook que je vous conseille.

Les filles (comme les mecs) n’aiment pas être emmerdées. Moi en tout cas, j’aime bien ce qui est frais, qui sort de l’ordinaire qui me détourne l’espace d’un instant des corvées du quotidien. Par exemple, un plan à trois !!!

Être léger, c’est une attitude qui mène au succès. Droit au but, comme l’OM. Ne pas en faire trop, ne pas faire trop chier (ne pas trop parler, ne pas être trop cassant, désobligeant, envahissant, attentionné). Les gens se prennent bien assez la tête comme ça, parfois même (souvent) là où y’a pas la place… donc, soyons cool, et ne nous entourons-nous pas volontairement de sources de problèmes (même si elles sont bonnes).

Pour séduire, évitons donc de jouer les relous frimeurs sauf si c’est du second degré (encore faudrait-il qu’elle le comprenne). Misons plutôt sur l’écoute, l’empathie, l’audace, la taquinerie et l’écoute active.

Ne nous interdisons pas non plus certains clichés : l’évidence mène souvent à l’originalité. En improvisation, on conseille de partir d’un truc banal pour broder. Vouloir être 100% original du début à la fin de l’interaction c’est prendre le risque de ne rien trouver à dire mais également celui de passer pour un weirdo. Pour se permettre de briser une convention sociale, encore faut-il la maîtriser avant.

Montrer un peu d’intérêt quand même

J’sais bien que pas mal d’auteurs recommandent de ne jamais montrer son intérêt en premier. Mais ignorer une meuf toute la soirée parce qu’on est un pseudo-mâle-alpha-H2G qui n’aborde pas et ne tente pas sa chance à moins d’être sûr à 100%… est une mauvaise idée.

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Ne la traquez pas comme un mec en chien, mais intéressez-vous un peu à elle et à sa vie. Adaptez-vous à elle, calibrez (on ne pas faire danser une meuf paralytique) et kinottez.

Faites-lui des compliments, lorsque c’est sincère.

Parler de cul

Sexualiser c’est à double-tranchant. Faut le faire, mais bien ! Ne pas passer pour un porc pervers est un art, déjouer ses shit-tests (elle voudra voir si on est un pervers ou un mec en chien) est parfois délicat. Ne pas être trop vulgaire, ne pas se montrer irrespectueux, ne pas s’énerver même si c’est la centième fois qu’on entend le même shit-test « ça marcher ça avec les filles d’habitude ? ».

C’est une question d’intelligence sociale. Y’a des moments et des endroits pour parler de cul… même si j’aime bien faire n’importe quoi et que c’est drôle, là encore, ne me prenez pas comme modèle ! Mais ouais, quand c’est bien fait, elle trempe sa petite culotte. Elle ne l’admettra peut-être pas, elle ne baisera peut-être pas avec vous, mais y’a des chances que ça lui fasse quelque chose quand même.

Y’a une erreur assez commune aussi c’est de demander de but-en-blanc de venir baiser chez vous. Certes, vous lui lécheriez la chatte comme un Dieu et elle kifferait sa race mais elle dira sûrement non quand même. J’ai remarqué que ça marche plutôt mieux lorsque je les invite pour un massage, pour un verre de vin ou pour voir un film (même si on sait tous les deux ce qu’il va se passer car on aura bien parlé de cul avant et elle aura été réceptive).

Bref, y’a des meufs qui aiment bien baiser et parler de cul comme les mecs, d’autres font semblant d’être choquées puis iront parler de cul avec leurs copines. Je pense qu’une meuf normalement constituée, ça la stimule un minimum quand même de parler de levrette et de fessée.

Respectez-vous

Ne tolérez pas plus d’un flake (qui a flaké flakera). Ne tolérez pas d’être la roue de secours d’une meuf. Ne relancez pas sans cesse les meufs qui vous ont déjà remballé. Cette attitude revient à brasser de l’air. Quand j’ai pas de plan, j’apprécie la tranquillité. Faut vraiment être plein d’illusions pour croire que si elle a dit non 9 fois elle dira oui la 10ème.

Ca c’était pour les meufs dans vos contacts. Maintenant, pour ce qui est d’un rejet IRL, apprenez s’il vous plaît à différencier un vrai rejet d’une simple résistance. Et en conséquence, abandonnez ou persévérez !

Etre bien dans sa tête

Vous savez que j’ai été déprimé donc je connais bien ce sujet : être bien dans sa tête, c’est super important. Si on n’est pas bien dans notre vie, on ne sera pas bon avec les filles. Quand ça ne va pas, on choppe moins. Quand ça va super bien, ça marche quasiment tout seul. Y’a des jours avec et des jours sans.

Les nanas aussi, y’a des périodes où elles sont plus ou moins réceptives. Prenez la même situation, les mêmes acteurs : le résultat peut varier du tout au tout d’une semaine sur l’autre. On ne peut pas trop jouer sur la disponibilité de l’autre (émotive ou physique). Toutes les meufs que l’on croise dans la rue n’ont pas forcément envie de se faire pécho. Alors faisons notre part, essayons, nous, de rester disponibles. C’est tout ce que l’on peut faire.

Conclusion

Un sourire, une punchline, une jolie chemise, ne pas accorder d’importance aux rejets car on a compris que 95% des meufs (des gens aussi) sont cons et avoir un local… c’est largement suffisant en soi.

Pour le reste… on devient ce que l’on est au fond. On apprend à s’exprimer sans avoir trop peur du regard des autres, on ose davantage, on s’affirme plus, etc. Bref, on sort du moule. Tout le monde ne souhaite pas devenir un queutard et je respecte ça. Mais encore faut-il avoir le choix et la possibilité de l’être avant de dire que l’on ne veut pas l’être. Sinon, ça s’appelle de la mauvaise foi.

Bon, y’aurait énormément d’autres choses à dire mais le but ici était de publier une synthèse de ce qui fonctionne. Dans le doute, faites simple.

Je vous souhaite une bonne contribution au plaisir féminin !

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