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Qui se ressemble, s’assemble-t-il vraiment ? L’homogamie

Qui se ressemble, s’assemble-t-il vraiment  L’homogamieEst-ce que l’on choisit à 100% la fille auprès de laquelle on se réveille tous les matins, ou la fille que l’on a quittée en courant sitôt que la sacro-sainte purée fut expulsée ? J’entends par là, a-t-on du début à la fin, été le véritable décisionnaire de cette relation ? Est-elle ma copine, ma femme, ou mon coup d’un soir parce que je l’ai choisie elle parmi TOUTES les autres?

Vous allez penser (à moins que vous ne soyez victime d’une vodka-martini-GHB (rigolez pas, ça peut vous arriver) ou d’un mariage arrangé (diantre je ne l’espère pas, quoi qu’il en soit va falloir que j’arrête de mettre des parenthèses dans les parenthèses parce que ça devient compliqué à suivre)) que OUI, vous l’avez abordée parce qu’elle vous semblait bien bonne, vous l’avez séduite, et vous l’avez honorée dans votre lit king size. Et tout ça c’était votre décision.

En fait ça l’était bel et bien. Le seul bémol ici, c’est que certains d’entre vous l’ont choisie certes, mais parmi un panel de femme restreint. Si toutes les options ne sont pas à votre disposition, peut-on alors parler d’un véritable choix ? Ce dont je vais parler ici, c’est d’homogamie.

L’homogamie c’est, en plus d’un mot compliqué supplémentaire dans votre vocabulaire fleuri, un concept qui raconte, en gros, que l’on recherche un partenaire qui nous ressemble sur le plan social. Souvent malgré nous, parce qu’on ne pense pas à regarder ailleurs. On peut aussi parler d’homogamie phénotypique (les grands se marient avec des grands, les nains avec des nains, les blonds avec des blonds) mais je trouve cette histoire de qui se ressemble physiquement s’assemble un peu naze, et pas franchement intéressante. Alors je ne vais traiter que de l’homogamie sociale.

Avant, les gens se mariaient par nécessité, pour échanger des terres ou des titres, de l’argent ou des privilèges, pas besoin d’être un grand spécialiste de l’histoire pour le savoir, une simple lecture d’une pièce de Molière vous le montrera : avant, on ne décidait pas. « Le mariage met chacun dans son ordre » constatait La Bruyère. Le concept de mariage d’amour date a priori (je le sors pas de mon chapeau, mais d’un rapport d’étude d’une étudiante en sociologie) du XIXème siècle, époque durant laquelle naquit une forme de littérature romantique. Les mentalités changèrent, les régimes aussi, de nouvelles libertés apparurent et la notion de coup de foudre réapparut (elle existait  dans la littérature courtoise, tout le monde a entendu parler de Tristan et Iseut, mais on ne nous cachait pas qu’ils ont mal fini. 300 ans plus tard, la planète entière subit les films avec Julia Roberts). Hors des contes de fées, on commence à parler de rencontres dues au Destin ou au hasard, Monsieur Martin peut maintenant demander Madame Dupont en mariage parce qu’il la trouve à son goût, et ce sans avoir un couteau sous la gorge. Aujourd’hui, on peut même s’inscrire et faire ses courses sur Adopteunmec et le concept de coup d’un soir est admis.

En réalité, et même si l’on doit se méfier des chiffres, quelques études statistiques révèlent certaines combinaisons possibles entre certains individus. Il est peu probable qu’un acteur fréquente une employée de La Poste ; à l’opposé de cette éventualité, on se rend compte que la majorité des acteurs sortent avec… des actrices, ou des personnes travaillant dans le showbizz du moins. Remarquer et comprendre ce phénomène, c’est se rendre compte alors qu’il n’y a que très peu de place pour la coïncidence, le hasard ou la destinée lors d’une rencontre. Ce que constatait La  Bruyère est toujours vrai, sauf pour les femmes d’une grande beauté, comme de son temps certaines favorites.

Au moment de la séduction, l’homme et la femme défendent donc leurs intérêts sociaux. Le « capital » féminin spécifique repose encore, quoi qu’on en dise, beaucoup sur le physique et le caractère, quand le capital masculin se base plutôt sur l’excellence sociale. C’est en partie pour ça que les hommes de pouvoir ou les fortunés sont toujours accompagnés par, si je puis dire, de vraies bombasses sexuallasses. C’est sur cette théorie des « capitaux » que s’appuient quelques techniques bien connues en séduction comme faire des démonstrations de haute valeur pour augmenter son capital social, balancer des cassages « negs » pour faire baisser celui de la meuf… Lorsque les « capitaux » se valent, l’hétérogamie est possible. Il est riche et elle est pauvre ? Si ses seins sont bien fermes et que son sourire est Colgate, ça roule.

Si cette vision semble un peu trop dogmatique (et c’est vrai que j’ai tendance à un peu simplifier les choses), elle est pourtant vérifiable dans la vie de tous les jours. Cette théorie explique pourquoi un homme très intelligent séduit (excellence sociale) quand une femme dotée de cette qualité ne séduit pas autant (l’intellect n’étant pas un critère de référence pour nous les mecs, eh ouais). Note : Les couples incluant deux protagonistes aux capitaux trop différents craquent souvent sous la pression sociale.

Le choix d’un semblable s’explique également par une proximité des contextes (écoles, quartiers, bars) où la probabilité de rencontrer quelqu’un de sa tranche sociale est élevée. Un étudiant sortira avant tout dans un bar plein d’étudiants, question de cohérence, il souhaite rencontrer une population qui appartient à sa réalité, des gens dont la valeur sera proche de la sienne. Un cadre choisira plutôt des lounges ou des bars à l’ambiance plus « salon », fréquentés par des cadres. Les étrangers en vacances, les expatriés, les étudiants en Erasmus, ont tous tendance à aller dans des endroits où ils sont susceptibles de rencontrer des gens venus de leurs pays, c’est ce petit côté communautaire qui conduit à l’ouverture de French ou d’Irish pubs à l’étranger. La preuve de ce phénomène de regroupement, c’est que vous savez que pour chopper de la MILF, il faudra aller à tel bar, et que pour chopper de l’étudiante scandinave, ce sera plutôt dans tel autre…

Les professions intermédiaires et supérieures ont tendance à se rencontrer sur leurs lieux d’études ou de travail. Je parle ici des avocats, des instituteurs, des cadres, des commerciaux. Quant aux employés ou aux ouvriers, ils semblent trouver l’amour dans des lieux plus publics (supermarché, parc, bal…) Attention, ce ne sont que des tendances générales. Dans les pays froids ou les régions pluvieuses, les gens font énormément de soirées en appartement entre amis, même si ce phénomène est moins prononcé en France qu’ailleurs, il existe, et c’est généralement dans ce genre de réceptions qu’il est facile de chopper. Combien de couples disent lorsqu’on leur demande comment ils se sont rencontrés : « Oh bin c’est un ami commun qui blablablabla… » ? Beaucoup. Ici encore, homogamie il y aura, puisque la majorité de vos amis appartiennent à votre classe sociale.

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Rien d’absolu dans ce qui suit. Il y a (comme toujours en séduction) des contre-exemples, j’écris juste sur des généralités. Est-ce que vous pensez que les racailles wesh-wesh de Marseille niquent ? Ouais, ils tirent des filles. Sauf qu’ils se font des meufs qui font partie de leurs réalités, des meufs qui aiment les hommes en survêt’ faisant des doigts d’honneur. A partir du moment où les différences sociales/culturelles sont trop marquées, c’est pour la bite une véritable barrière pas tellement perméable posée sur les vagins. Ce sont juste des meufs qui ne vivent pas dans la même réalité : testez voir un survêt’ Lacoste et elles commenceront à vous considérer, c’est pas des blagues. Pour des kékéttes de Marseille, si tu portes pas des TN et un jogging, c’est mort. C’est pas le même délire, c’est tout. J’imagine que vous n’avez pas non plus envie de dépenser un max de temps et d’énergie pour arriver à vos fins avec ce genre de filles…

Donc soit vous changez de style vestimentaire et entrez dans leur monde, soit vous changez de cible. C’est la vie. Ce que j’essaye de dire là, c’est que votre apparence et votre style de vie déterminent quel type de nana vous allez vous faire. C’est à mon avis un point que certains mecs ne prennent pas en compte. Ceux qui sont plus dans le style gothique se feront des bonnasses, mais ce seront des bombes de style gothique elles aussi. Parfois j’ai l’impression que certains veulent se faire des filles qui n’ont rien à voir avec eux, si quelques-uns se lèvent des mannequins c’est parce qu’ils ont le style (et le train de vie aussi) qui va avec, pigé ? Et ça ce sont des trucs sur lesquels vous et vous seul avez de l’influence. Il faut prendre conscience de qui vous êtes et de ce que vous voulez pour augmenter vos chances d’atteindre votre objectif.

Avoir de l’allure et un peu de classe ce n’est pas compliqué, de simples détails font la différence. Un style vestimentaire trop différent vous place à ses yeux d’emblée dans une classe sociale différente. Après ce que vous venez de lire, vous comprenez pourquoi montrer une différence sociale ne vous aidera pas… je désamorce par avance les chieurs qui me répondront qu’on peut chopper en portant un short vert fluo et une chemise rose, ou qu’ils ont déjà branché des filles en sortant de l’entraînement et donc en jogging, oui et moi aussi, mais rien n’est absolu, on cherche juste ici à s’améliorer et à se corriger pour optimiser nos chances. Alors, optimisez les vôtres pour ne pas être un Jean-Claude Dusse.

Les individus ont tendance à s’assembler en fonction de leurs ressemblances sociales. L’homme comme la femme s’évertue pendant la phase de séduction, à étaler son capital social, si les capitals capitaux correspondent totalement ou à peu près, cela augmente énormément les chances d’établir une relation. Montrez le capital le plus élevé possible.

Avoir un capital trop haut ne vous empêchera pas de séduire une fille au capital un peu plus bas, mais l’inverse n’est pas vrai. Ou en tout cas, l’inverse est plus compliqué. Varier les lieux de chasse permet de rencontrer un éventail de filles large (pas les filles, l’éventail), restez ouvert à la possibilité d’une rencontre intéressante n’importe quand et n’importe où, peu importe le cadre ou le moment, votre futur plan cul peut se cacher là où vous vous y attendez le moins. Faire de la drague de rue est également l’un des meilleurs moyens de rencontrer des filles de tous horizons.

Il était une fois un jeune padawan qui avait tenu à peu près ce langage        « oui moi je me fais pas chier à faire de la rue ou je n’sais quoi, je couche seulement avec des filles de mon cercle social »… mis à part le fait que la rue n’a rien de chiant, s’en tenir à ce genre de comportement le fait passer à côté d’une multitude de filles géniales.

Augmentez votre capital par du développement personnel, en ayant un style vestimentaire agréable ou au moins correct, en étant en forme physiquement (et mentalement), en étant passionné et cultivé. En d’autres termes, à défaut d’être The Alpha, ne soyez pas un lambda : placez-vous au-dessus de la masse pour élargir votre champ de vision et donc vos choix en matière de femmes. Avoir le choix dans les poupounes qui partageront potentiellement votre vie, c’est ça le truc. Et notez pour finir que toutes les femmes ne sont pas bonnes à séduire.

Extrait de : Communication, séduction et manipulation

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