Sortir avec deux sœurs, c’est possible ?
Ce texte est un bonus à mon Diary of a French PUA 2
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Deux sœurs dans le même lit, mission impossible ? Même pour Tom Cruise ? Nous allons voir ça…
La jeune hédoniste
Toute mouillée, Pauline (une des deux sœurs) sortait de la piscine de ses parents. Si vous voulez mon avis, elles ont un père richissime qui a profité de son statut social pour épouser une bonnasse… Bonnasse qui lui a fait deux filles mannequins puis a divorcé parce qu’il n’était jamais à la maison, touchant ainsi une belle pension dont elle jouit en ce moment-même au soleil avec un jeune gigolo. Résultats : deux canons un peu fragiles dans leur tête, plus ou moins livrées à elles-mêmes tentant de combler un vide en adoptant chacune une approche extrême de la sexualité pour essayer d’intéresser un peu papounet (même négativement)… Sans succès. Par chance, nos chemins se sont croisés au moment où elle m’a contacté via mon blog avec une phrase de drague de merde que si c’est toi qui la sors les meufs ne te regardent même pas avant de t’envoyer chier, so « who’s your daddy » ?
Mon air s’est rempli d’une forte odeur de chlore quand elle s’est soudain collée à moi. Plus je passais mes mains sur ses épaules nues, sur son ventre musclé par son entraînement cardio et sur ses hanches de jeune femme, plus on avait envie l’un de l’autre. J’adore les filles comme elle, qui profitent de leurs 20 ans en vivant intensément et librement l’instant présent. Pas de jugement, juste du plaisir. C’est mon credo également. Je l’ai donc guidée jusqu’à sa chambre (pas facile en étant bouche à bouche, en plus elle fermait les yeux). Je l’ai violemment jetée sur son lit, et ça l’a faite marrer : un rire taquin mais féminin et juvénile chatouillait mes oreilles tandis que je descendais embrasser son bas de maillot. Elle est restée allongée, me fixant, comme réclamant la suite… prochain épisode dont elle connaissait déjà le dénouement.
Ce que cette jolie blonde attendait de moi, au fond, je n’en sais rien. Peut-être cherchait-elle une forme d’acceptation ? Après tout, j’étais à ses yeux, son « bel écrivain préféré » (je cite)… Peut-être cherchait-elle de la maturité ? Pourquoi les meufs cherchent ça alors que c’est juste un piège dans lequel les adultes essaient de nous précipiter afin qu’on devienne un jour, aussi malheureux qu’eux ? Peut-être était-elle simplement libertine, et ne voulait que donner, prendre et jouir. Dans tous les cas, ça revenait au même pour moi. De toute façon, c’est le genre de réponses que je n’obtiendrai jamais, malheureusement.
L’ex – nonne
Alexandra transpirait, se cambrait et se mordait la lèvre inférieure. C’était sexy et sauvage, mélange explosif me direz-vous… Bref, c’était vraiment excitant de la regarder faire. Un mélange explosif qui a rempli mon tube à essai de savant fou. Ceci dit, il a fallu un bon moment de préliminaires pour la chauffer à ce point alors je n’étais pas peu fier. Elle est montée à califourchon sur moi, tremblant un petit peu. Toute crispée, elle s’agrippait aux draps, comme si elle avait peur de perdre l’équilibre. Oh, je ne suis pas un taureau à la féria de Nîmes (même si j’suis monté pareil ou presque) !!!
Un petit ticket de métro tout mignon dissimulait sa nudité… qu’elle n’avait pas encore apprivoisée. Elle m’a demandé d’être « doux » : je suppose que c’est ce qu’une fille souhaite toujours lors de sa première fois (j’imagine mal un « défonce moi, j’suis pucelle (ou vierge comme l’huile d’olive»). Elle avait repoussé jusqu’ici ses divers prétendants puisque ne voyait en eux que des chasseurs de primes tel Boba Fett cherchant la récompense après avoir tringlé la Princesse Leia avec son sabre laser (mais mon personnage préféré reste quand même Chewbacca). Tout devait donc être parfait, elle devrait pouvoir y repenser sur son lit de mort et se dire que c’était vraiment parfait. Je me devais d’être à la hauteur, comme Emmanuel Moire. Je devais prouver que j’étais un bon choix. LE BON CHOIX. Ça m’a mis une pression de ouf, mais ça s’est bien passé finalement. Faut dire, je commence à savoir faire.
C’est également une expérience qui m’a marqué sur le plan de la compréhension de l’autre : j’me souviens qu’elle a cherché son propre regard dans le miroir de sa chambre au moment où elle me faisait entrer en elle. Ça se passait entre sa chatte et sa tête, alors j’ai fermé les yeux et les ai laissées faire, n’étant finalement qu’un homme-objet à cet instant précis.
Laquelle choisir ? Pourquoi choisir ?
Pauline a couché avec 32 mecs : je n’étais pas grand-chose à ses yeux, tandis que j’étais toute l’histoire sexuelle d’Alexandra. Je ne devais pas lui briser le cœur… Je ne devais pas lui proposer un plan à 3 avec sa sœur. Damned, ça me tentait bien pourtant ! Elle est bien tombée quand même, elle a choisi un Jules avec une conscience… Conscience qui m’ordonna de ne pas salir, à ses yeux, la réputation des hommes (d’autres s’en chargeront ça je n’en doute pas mais la première impression est importante). Laissant ainsi la place nette au prochain séducteur qui croiserait sa route. Et oui, on est censés être solidaires, nous les hommes. Je dis bien « censés » car certains me font honte et ne sont pas solidaire en retour avec moi. Bref, y a pas que la solidarité féminine qui est biaisée, hein !
Du coup, je n’ai pas vraiment eu le choix, c’est la nympho hédoniste qui a souffert. Mais ce soir-là, tandis que j’endormais avec sa sœur, Pauline s’envoya un ex… Un sale dealeur, un gros connard, mais je n’avais rien à dire… Elle a choisi de me punir, de punir sa sœur, de punir papa et de se punir elle-même. D’une pierre quatre coups, en plus je crois que le gus s’appelait Pierre (non j’rigole). Y a rien de pire qu’une fille au cœur brisé qui cherche à se venger. Ça va baiser tous azimuts dans cette chambre mais si elle détruit le lit, je ne veux pas être tenu responsable.
Tous aux abris.
wow. Magnifique d’empathie, de sincérité et de compréhension.
Ils datent de quand tes bonus ?