Chopper des filles durant une soirée médecine
Le 13 décembre 2012,
Ca fait quelques années que j’entends une amie me répéter « Les soirées médecines c’est d’la balle, c’est l’orgie. En fait à Aix, c’est trop BCBG, vous vous amusez pas vraiment. » Elle remettait ainsi en cause plusieurs années de débauche aixoise (débauche soft) alors j’préférais ignorer ses remarques (le déni). Seulement, hier, j’ai eu l’occas’ de tester et j’dois avouer que ce fut une soirée mémorable.
1er truc mémorable : on est sortis d’Aix avec Hafid. Il a conduit et on est arrivés vivants. J’dis pas que j’ai pas eu peur ni rien mais heureusement que j’textotais Chacha pour me changer les idées. Chacha avait pensé que c’était le bon soir pour se décider « c’est bon j’n’ai plus envie d’être sage » alors j’lui ai proposé de venir chez moi un peu pour rigoler et elle a dit « oui. (j’étais dans la merde)
– Ben en fait non, j’suis sur Marseille ce soir. » Fuck. Bon c’pas grave, j’me disais qu’on allait s’éclater quand même. En fait, à bien y repenser, on était vraiment dans un bon état d’esprit. Ca a dû jouer sur le fait kon na kiffey nautr souarey !
2ème truc mémorable : Hafid a fait un créneau et l’a réussi DU PREMIER COUP ! Garés sur le Vieux-Port à 5 minutes de la boîte, sans frais de parking. Ca commençait bien !
3ème truc mémorable : Une fois dans la boîte, Hafidou a déposé ses affaires au vestiaire, incroyable ! C’est la première fois que j’le vois faire ça, d’habitude il dit que c’est trop cher… Puis, on a pris des consos ! J’avoue que 10 euros les 6 verres ça ne laisse personne indifférent. Autant dire qu’à ce prix-là, tout le monde était alcoolisé assez rapidement. Putain, j’avais pas touché d’alcool depuis 1 mois parce que je m’étais résolu à avoir une vie saine mais j’ai craqué. Sinon, la boîte était grande, y’avait plusieurs centaines de personnes. Bilan : Marseille change vraiment d’Aix au niveau des tarifs, de la taille du club, et de la mentalité des filles (elles sont pas trop drôles en général). Quand j’suis entré, j’ai tout de suite su que j’allais aimer et vouloir revenir… Un tel niveau de perdition est un véritable appel à la dépravation. Des filles dansaient en soutien-gorge sur le podium, la tension sexuelle était omniprésente, des mecs se baladaient torse nu aussi. Il faisait super chaud, ça a dû contribuer au fait qu’on transpirait et que tout le monde était en folie ! En fait c’était très libéré, très ouvert, parfait pour des hédonistes comme nous. J’connaissais les compétitions de « chope » en soirée, mais là j’ai remballé mes idées fleur bleue. Sérieux, avec le nombre de nanas au m² et leur état d’ébriété, je ne voyais qu’un océan de possibilités.
4ème truc mémorable : J’ai parlé à un gars qui est coach en séduction (nous l’appellerons le Coach), il rentre dans le tas et drague tout ce qui bouge… c’est beau <3. On a abordé des filles ensemble, souvent lui la belle et moi la moche d’ailleurs, faudra que j’pense à me faire payer. Bon le premier coup, la mienne ne devait pas faire plus d’1m50 et elle était pas trop drôle, j’dansais avec ma cuisse entre ses jambes mais j’étais bien soulagé quand il m’a dit qu’on se cassait d’ici parce que la sienne était fermée. Sérieux j’étais pas venu à la soirée médecine pour emballer une naine mais plutôt pour faire une piqûre à une infirmière !!! Après, j’ai parlé à une fille qui m’a dit « ta gueule ». J’l’ai vite calmée et elle m’a offert un verre. Aussi une nana est tombée sur moi, j’l’ai rattrapée, j’lui ai dit qu’elle m’en devait une parce que je lui avais sauvé la vie et tout mais elle m’a mis un râteau ! Biatch ! Un autre truc naze aussi : une connasse n’arrêtait pas de me zieuter sur la piste alors j’lui ai fait le signe de la tête « viens » et elle m’a regardé genre « qu’est-ce qu’il veut ce con ?! ». J’ai fait des blagues également ; mais j’m’en souviens plus trop à cause de l’alcool. J’me souviens par contre que j’ai fait s’embrasser deux nanas parce qu’elles se prétendaient lesbiennes. Parfois les filles s’amusent à faire croire ça aux mecs qui les draguent, pour les exciter sans rien leur donner en retour, alors je rentre dans leur jeu et les pousse à bout. Une minorité seulement de ces filles sont vraiment lesbiennes. What else ? Encore un souvenir me revient, j’ai dragué une meuf puis quand j’ai senti qu’elle allait craquer, j’me suis barré. Elle me plaisait pas trop mais bon elle m’avait parlé alors voilà. C’était drôle quand même.
5ème truc mémorable : J’ai fait un KissClose mythique en moins de 15 secondes. J’ai croisé une fille aux abords de la piste, elle avait l’air un peu perdue (peut-être venait-elle de vomir à la réflexion). « C’est moi que tu cherches ?
– Peut-être.
– Bon ben on fait quoi maintenant ?
– Ce que tu veux. » Là, j’l’ai emballée et elle s’est mise à danser super chaudement ! Elle a entretenu ma trique jusqu’à 4h du matin. Ses autres qualités : elle m’a montré sa poitrine et m’a offert un verre. C’était une première année nommée Amandine. J’me souviens aussi lui avoir plus ou moins enlevé son t-shirt sur la piste, avoir passé ma main dans son soutien-gorge et lui avoir sorti un sein devant tout le monde puis elle m’a mis une claque (j’l’avais méritée). A ce moment, j’ai cru qu’elle allait se barrer et me laisser en plan mais elle s’est remise à m’embrasser de plus belle. Elle mordait : c’était à la fois excitant et énervant. J’suis irrité maintenant, j’ai des petites plaies sur la lèvre inférieure. Mais elle est bien foutue : bonne poitrine ni grosse ni petite, ventre plat et ferme, belles fesses, elle savait danser et descendait super bas. A un moment, elle m’a dit « j’suis super extensible.
– Cool, tu me montres ?
– Pas ici, y a trop de monde. » Elle était fun en tout cas, on a bien rigolé. J’regrette pas et j’ai envie de remettre ça. J’ai pas pris son numéro ni son FB d’une parce que je suis con, de deux parce que je n’y ai pas pensé et de trois parce que « ce qui se passe à Marseille reste à Marseille ». Elle m’a sorti qu’elle aurait deviné que j’étais pas en médecine ni de Marseille bicause chez eux, « on n’emballe pas les meufs comme ça ici », je cite. J’ai pris ça comme un compliment. Je suis un original… comme Klaus.
6ème truc mémorable : Entre temps, j’ai croisé Hafidou qui m’a dit qu’il avait niqué une nana dans sa voiture garée sur le vieux port. En rentrant, on s’est aperçus qu’il avait déclenché les warnings sans faire exprès et les avait laissés toute la nuit ! C’est aussi pour ça que j’te kiffe, mon pote.
7ème truc mémorable : J’ai fait un « epic fail » avec Amandine. Genre ça devait bien faire 4h que ça devenait de plus en plus chaud entre nous mais Hafid-is-good m’a dit sur le coup de 4h30 qu’on devait partir, parce que le lendemain il devait se lever à 9h pour accueillir des ouvriers (il ne s’est pas réveillé finalement mais c’est une autre histoire). La meuf était dég’ (elle me l’a dit en tout cas) mais on n’a pas baisé pour autant. « J’suis en P1 et j’ai un lit en 90.
– Ca veut dire que tu m’invites chez toi ?
– Non.
– Alors tu viens chez moi ?
– OK, t’habites où ?
– A Aix (je lui avais déjà dit pourtant zebbi).
– Non, c’est mort. (la logistique c’est important)
– Bon ben, alors tu ne me laisses pas le choix. » Et j’suis parti. Sur le retour, j’avais des regrets et tout. Surtout de ne pas lui avoir proposé de la niquer dans la voiture parce qu’Hafid m’agitait la clé sous le nez mais j’avais pas saisi le message : j’étais trop dans la conversation avec la petite. A la réflexion, j’ai fait ce que j’ai pu, c’est sa faute. Si elle préfère dormir seule avec ses pensées, j’y peux rien. En plus, elle m’a dit que j’avais pas d’abdos, que mon prénom c’était de la merde, et qu’elle avait vomi avant de rentrer dans la boîte, mais que je ne le sentais pas parce que j’étais aussi torché qu’elle.
8ème truc mémorable : Une fois chez moi, j’me suis branlé. Deux fois. J’en ai mis partout (la giga-dose).
9ème truc mémorable : J’ai dû nettoyer mes chaussures parce qu’elles collaient et étaient recouverte du « jus de soirée » (un mélange de vodka et autres alcools qui tapissaient le sol de la boîte).
10ème truc mémorable : Flash-back, les stands d’alcools offraient des verres aux filles qui montraient leurs seins et aux mecs qui sortaient leur bite (pas trop équitable). Vivent les carabins.
J’ai hésité donc entre investir dans Amandine ou me diversifier en chopant plusieurs nanas (y avait du choix en magasin). J’sais pas si j’ai pris la bonne ou la mauvaise décision, ni sur quels critères se baser pour me prononcer… A priori la mauvaise, puisque j’ai finalement pas pu coucher avec (mais le Coach non plus n’a pas baisé ce soir-là). L’idée ici c’est de chauffer une fille réceptive, et d’essayer de savoir le plus vite possible si on peut coucher avec… si c’est non, recommencer sur une autre cible. En tout cas c’était une méchante soirée, je me suis bien amusé. Bon plan.
J’vais me pieuter. Que le Dieu du Game soit avec vous !