J’ai baisé une meuf en médecine
Le 30 décembre 2012,
2012 : c’est bientôt fini… Et voici probablement mon dernier message avant les douze coups en levrette du nouvel an. Ralentir sur l’alcool, arrêter les drogues et les MST ont été mes résolutions de 2012. Je les ai tenues, j’en suis fier et je compte continuer dan s cette voie. Par ailleurs, j’crois bien que j’ai trouvé une chouette fille (tout vient à point à qui sait attendre)… Enfin, faut pas s’avancer sur ces choses-là ni rien, mais j’le sens bien et mon blair ne se trompe que très rarement… Bon. J’vais maintenant vous raconter ma semaine parce que je suis quand même là pour ça à la base.
Mercredi, grosse flemme alors j’ai annulé un rendez-vous « baise-assurée » avec une nana que je travaille depuis un mois. Je la kiffe vraiment cette fille, on a une connexion particulière. Elle m’avait envoyé « j’ai mes règles mais si tu veux me voir quand même je serai en ville cet aprèm » et moi j’dormais à moitié alors j’ai oublié de répondre. Résultat de cause à effet papillon : j’me suis fait insulter par texto alors j’l’ai appelée pour lui expliquer qu’elle me réveillait pendant ma sieste et tout mais que c’était un malentendu et qu’on pouvait bien sûr se voir le soir-même. Rendez-vous fixé à 17h que j’ai finalement décalé à 18h puis à 19h45 parce que je faisais la crèche, putain, ça prend du temps ces conneries de décorations quand on n’a pas les yeux en face des trous. On est donc allé au ciné, j’ai payé pour me faire pardonner et elle a choisi le film. J’me souvenais pas qu’elle était si mignonne, sinon j’me serais bougé le cul plus promptement.
C’est la meuf de médecine (mais pas celle de la soirée), grande, blonde, riche, bien foutue, yeux verts, franc-maçon, et drôle : celle qui m’a sucé parce que j’avais renversé une crêpe au sucre sur mon pantalon. On est allé voir « Populaire » avec l’ami Duris que j’kiffe alors j’avais le sourire aux lèvres en sortant. J’lui ai proposé de faire des crêpes parce que j’avais envie d’en manger du coup pendant que la pâte reposait : on s’est chauffés dans la cuisine (sur la plaque électrique c’est chaud, dans un four c’est bouillant)… J’lui ai dit que j’avais trop envie d’elle malgré sa rivière qui coule rouge, alors elle m’a gentiment proposé de la sodomiser. Pas mon truc ! Lors du second round, elle m’a baratiné que ce n’était que le début de ses règles et qu’on pouvait le faire finalement (comme quoi, quand on veut, on peut). Effectivement, la capote n’avait qu’une légère teinte rosée. Puis, on a mangé pour reprendre des forces et on a rebaisé. Je kiffe cette fille parce qu’en levrette, elle se tripote le clito toute seule et prend grave son pied : si j’ai bien compté, elle a eu deux orgasmes mercredi soir et deux le lendemain. Parce que, ouais, je lui ai proposé de rester dormir… et je ne propose pas ça à tout le monde ! Loin de là ! Au moment de se coucher, elle a remarqué la trace de sang laissée par Mary la dernière fois, alors j’ai baratiné que c’était de la confiture parce que je mange souvent sur mon lit (non j’ai pas changé les draps depuis – devenir plus soigneux sera une de mes résolutions de 2013).
J’lui ai proposé de dormir chez moi parce qu’elle est géniale. Je m’explique : depuis qu’elle m’avait sucé, on avait entretenu une relation uniquement téléphonique à cause de ses examens. Mais je pensais souvent à elle. Loin des yeux, loin du cœur, c’est vrai… Sauf que quand je l’ai revue, tout m’est revenu en mémoire et on a pu aller plus loin. On a approfondi notre relation, si j’puis dire. On a fait plein de trucs coquins assez marrants : elle a enduit mon corps de chantilly et m’a léché entièrement, j’ai fait de même (il faut toujours rendre la politesse). On a joué avec des menottes qu’elle avait, c’était marrant aussi. Quand j’entre dans sa bouche, ses pipes sont magiques surtout qu’elle suce à genoux, et quand je la lèche ça a bon goût (rare), bref : elle est très ouverte et n’a peur de rien. Une de ces perles rares que j’ne veux pas laisser filer… Un moi au féminin ! Du coup, on a opté pour une relation privilégiée : je suis le seul et elle est la seule avec qui on le fait sans capote. C’est pas juste un plan cul, loin de là, c’est vraiment LA fille avec qui je suis en « relation ouverte ». Qui dit mieux ?
Le lendemain, on s’est levés à 15h et on a fait l’amour. Puis on a regardé « Looper » que j’avais téléchargé en VOSTFR. J’bandais sur Emily Blunt alors j’ai baisé Marie (c’est la loi de la chatte la plus proche). Petit bémol, pendant qu’on matait le film, elle envoyait des SMS à un certain « Thibaut M »… J’ai préféré faire semblant de ne rien voir plutôt que de me montrer désagréable ou jaloux. Après tout, il la charbonne alors que j’la nique (c’est la loi de la bite la plus proche).
Jeudi soir, exténué par trop de sodomie, j’ai proposé au coach en séduction rencontré à la soirée médecine de venir faire la soirée à Aix. Devant le bar, on a parlé à des meufs dont une était bien pétée et il m’a fait plaisir en pratiquant le « cash game » (la drague façon Fabrice X) c’est-à-dire qu’il lui a dit « tu as de jolies lèvres » qu’elle a répondu « t’as qu’à les tester » et qu’il l’a kiss direct. Puis, elle est partie rejoindre « son belge », je cite. Ensuite, on est allés dans les petites boîtes d’Aix mais rien à faire. J’ai dansé deux fois avec des poules sauf qu’au bout de 5 minutes, elles se sont barrées. J’ai rien compris, j’devais puer de la gueule parce que j’avais mangé un chawarma avant de venir. Enfin bon, j’sais pas, j’me suis dit que c’est comme ça, y a des soirs avec et des soirs sans… Par contre, sur le chemin du retour, j’ai trouvé 10€ par terre et j’ai reçu un message de Marie de médecine qui m’a proposé de passer une semaine avec elle… « challenge accepted » ! Du coup voilà, dès lundi 31, ben je pars une semaine avec elle dans la maison de ses parents, dans un bled dont j’ai oublié le nom mais où y’a de la neige.
Sinon, j’l’avais pas raconté mais le jour de la fin du monde : une ex (je raconterai son histoire un autre jour) est venue récupérer ses affaires mais a oublié ses plaques, j’ai fait un « instant date » avec une nana qui m’a regardé à la gare routière et j’suis sorti solo dans un before festif où j’ai croisé des potes que j’n’avais pas vus depuis longtemps. Certains avaient pris de la MDMA et planaient, ils comprenaient rien alors je leur faisais chanter le « gnagnam style » en coréen. L’un d’eux m’a smacké dès qu’il m’a vu, j’ai rien compris, j’étais sur le cul alors j’ai crié « kissclose » en levant les bras. C’était un bisou d’amitié entre drogués mais bon… La seule fois que j’avais embrassé un gars auparavant c’était pour convaincre des filles de faire un truc à quatre. Bref, après l’apéro, on est encore sortis dans les petites boîtes du centre, entre moustaches, c’était le moulon, alors ça m’a gavé. J’ai tenté l’approche « ça te dit de baiser avant la fin du monde ? » J’dis pas que j’aurais pas pu choper parce que j’ai quand même ouvert des groupes et remarqué une ou deux opportunités, mais j’l’ai pas fait, j’sais pas pourquoi, j’crois qu’il m’a manqué un peu de « mojo » ou alors j’pensais à Marie ! Pour tout vous dire, en ce moment c’est plus trop la fête du slip, j’crois que j’ai pas mal donné et que j’dois me ressourcer. En plus, je n’ai plus aucun plan frais sous la main, et vous le savez, j’aime la nouveauté… Pour l’anecdote, j’ai revu un pote que j’avais pas capté depuis plus d’un an : il m’a dit qu’il était devenu bi et qu’il baisait à foison grâce à un site d’échangisme. A méditer.
Hier, samedi, j’ai recontacté la nana de l’ « instant date », ça a l’air de prendre, sans être la folie… Enfin, j’suis sorti avec Arnaud et Hafid, j’ai abordé une fille dans les chiottes d’un barmais plus tard en boîte il n’y avait rien à faire. Par exemple, j’ai abordé une meuf et elle m’a refroidi cash « c’est pas mieux de danser avec un mec ?
– Non, moi, je préfère les animaux » (ce qu’elle ne sait pas c’est que je suis une bête au lit). Maintenant, quand une meuf me met un râteau ou quoi, j’m’en balek parce que j’ai cette petite voix dans ma tête qui me dit « tu sais pas ce que tu rates, chère petite chatte, tant pis pour toi ». Puis je repense à une des bombes j’ai suis tirées, par exemple le sosie d’Audrey Hepburn. C’est pour ces petites victoires que je game.
Bref, encore une soirée brocouille, avec seulement ma main gauche pour me raccompagner… ça fait quand même trois, mine de rien alors j’me fais une petite remise en question dans ma tête. J’pense que j’vais stopper les sorties un moment. Allez, c’était la frustration sexuelle nocturne. Bonne nuit les petits. (je sais que je vais vous manquer).
Je vous aime « four four four » comme disent les « kikoolols ». Que le Dieu du Game soit avec vous !