J’ai séduit une fille trop bien pour moi
Avez-vous déjà rencontré une meuf « inaccessible » ? Le genre de princesse un peu hautaine parce qu’elle sait qu’elle est canon, le genre que les mecs ont l’air d’emmerder parce qu’obtenir d’eux ce qu’elle veut est trop facile pour elle, le genre qui ne fait aucun effort pour être sympathique. Alice appartient à cette catégorie. Elle est grande, brune aux yeux clairs avec des seins tout à fait charmants et des jambes… n’en parlons même pas, j’ai pas envie d’être responsable d’une vague de dépression sur le sud de la France ! Un ventre parfaitement plat, une bouche naturelle et magnifique ainsi qu’une peau d’une pureté sans nom. Le genre que, quand elle rentre dans une pièce, les mecs ferment leur gueule pour mieux la mater : elle est comme ces filles des magazines, sauf qu’elle n’est pas retouchée, ELLE.
Hafid l’avait rencontrée en faisant du SPU à la fac de lettres et nous avait tous conviés à un apéro tardif dans un de mes bars préférés de la vieille ville. Aux yeux de la bombasse, je n’étais donc qu’un aixois comme un autre (ni assez grand, ni assez beau, ni assez riche pour la séduire par mes seuls atouts passifs) : il fallait vraiment que j’essaie de changer ça.
J’ai essayé de l’inclure dans la conversation bicause elle se la jouait distante avec le groupe, et j’avoue qu’elle avait l’air moyennement intéressée par le coquinou que je suis (c’est un euphémisme) : « si les femmes sont plus attirées par le pouvoir, l’argent et le statut social alors pourquoi préfèreraient-elles coucher avec Guillaume Canet qu’avec François Hollande ?
– Parce qu’Hollande, il est gros et laid. » A-t-elle répondu d’un air détaché sans se pencher davantage sur la question. J’aurais dû m’y attendre… après tout, elle est trop belle pour se donner la peine réfléchir ou d’enrober sa réponse. Mon but n’étant que de déplacer la discussion sur elle, j’en ai profité pour commencer un aparté avec Alice. On a un peu parlé d’elle : elle veut devenir mannequin, 18 ans, nouvelle en ville, riche, en couple avec un gus de 26 ans.
Ce genre de nana est qualifié d’ « inaccessible » parce qu’elle n’est pas reliée à la réalité, du moins pas à la réalité de Monsieur et Madame Tout-le-monde. Une sorte de mur la sépare des problèmes du commun des mortels. Puis, faut dire qu’elle ne fait aucun effort pour combler le fossé : pas de sourires superflus, n’alimente pas la conversation d’elle-même, n’a pas spécialement de culture, d’ailleurs. Une seule chose à son actif : j’ai déjà tapé dans du lourd mais là, c’est un autre niveau. Là c’est le genre que si tu la touche tu es béni des dieux. Si je me la fais j’aurai le droit de m’auto-proclamer PUA à vie.
2 heures du mat’, Hafid et sa meuf nous ont proposé un after dans leur loft. OK, j’ai accepté et elle aussi (les autres gens présents au bar : on les a laissés rentrer chez eux). Une fois dans son antre, Hafidou m’a laissé seul un moment, avec sa copine et ma cible. J’sais pas trop ce qu’ont pris les filles mais elles ont dû picoler sévère parce qu’on en est rapidement venus à parler de massage à trois. J’ai donc introduit le fameux massage synchrone par deux personnes. Ma cible n’avait rien contre être la cobaye (faut dire que la nana du moment d’Hafid est une petite bombe pas tout à fait hétéro). On s’est mis au travail avec la compagne de mon pote.
De filles en aiguille, on s’est mis à lui tripoter les seins, à lui lécher les tétons, à la déshabiller de plus en plus. Avertissement : ce genre de bombe ne donne pas, elle reçoit. Faut dire pour sa défense qu’elle n’a pas grand-chose à faire de plus pour être une partenaire de qualité, grâce à sa plastique parfaite. Ce qui défie toute théorie du game…
Je lui ai ôté sa culotte trempée. Entretemps, Hafid nous a rejoints. Alors voilà, on faisait un plan à quatre dans leur désormais célèbre temple aixois de la débauche… Morale : ça a des bons côtés de vivre avec sa meuf quand elle est un peu échangiste.Les skins partys chez Hafid me manquent, by the way.
Sur le coup, j’étais là à pénétrer cet idéal féminin et j’me disais « putain mais j’y crois pas, elle est aveugle ou quoi ? Comment on a pu en arriver là ? » Après coups, Alice nous a gratifiés d’un « je n’avais encore jamais fait un truc comme ça…
– Ah et donc ?
– C’était cool ». Une réponse plus développée de sa part m’aurait étonné.
Au final, l’expérience était moyenne mais on s’en branle. C’était au moins une expérience digne de ce nom et putain j’en bande encore quand je repense à elle à poils. Ca m’excite de revoir ses mains sur mon corps, sa langue contre ma langue, sa bouche autour de mon sexe, sa crinière dans mon poing et ses fesses faisant des va-et-vient contre mon pubis.Ca m’excitait moins quand c’était pour Hafid, haha ! Il a fallu qu’on fasse un plan à quatre, plus qu’elles aient bu plusieurs bières au bar, plus qu’on soit deux players et une bisexuelle pour la convaincre de coucher avec…
NB : j’ai toujours rien fait avec la copine d’Hafid, je te respecte trop pour ça mon bro. Je sais qu’on est au-dessus de ça mais je ne veux pas risque notre amitié.
D’ailleurs, quand une nana me met un râteau ou quoi, je repense à certains canons avec qui j’ai eu une intimité (genre elle ou Marylou la sosie d’Audrey Hepburn) et je me dis « tu sais pas ce que tu rates toi ». Je n’insulte même plus la rabat-joie dans ma tête, parce que je suis conscient de ma valeur alors je m’en fous, c’est tout. Tant pis pour elle.
Et tant mieux pour la prochaine à qui je pourrai me consacrer à la place… <3
T’as refondu le site, c’est pas mal, plus moderne. Mais le menu vertical à gauche ça fait bizarre je trouve, on est plutôt habitué à trouver ce genre de trucs à droite.
Pour ce qui est de l’article, il est sympa, plutôt court par rapport à ce que tu fais d’habitude, mais c’est pas plus mal. J’avoue avoir du mal à imaginer une bombe de dix-huit ans, propre sur elle et dans sa tête comme tu la décris, qui se laisse embarquer dans un plan à quatre aussi facilement, mais bon…