Présentation de l’auteur de Diary of a French PUA 2
Salut à tous, bienvenue sur mon journal en ligne. J’ai déjà raconté ma vie sexuelle dans Diary of a French PUA donc je pense que ça serait répétitif de recommencer bêtement. D’ailleurs, certains disaient que c’était pas mon meilleur ebook, alors heureusement que ce n’est plus le seul. Cette fois, j’ai donc décidé qu’il y aurait un thème à mes élucubrations laborieuses : la drague sur internet. Ici, je vais donc surtout parler des filles que je baise grâce à Internet (et peut-être même de celles que j’aurais préféré ne pas baiser). Vous allez voir ce qu’on peut faire avec une simple connexion Internet !
C’est d’ailleurs pour ça que j’ai écrit un manuel de drague en ligne (rien de fou, un chef d’œuvre de plus) pour compléter ce journal. En effet, je me suis dit que l’association des deux serait commerciale à souhait, que je pourrais ENFIN vivre de mon blog voire devenir tellement riche que je ne saurais plus quoi faire de ma putain de thune. Et enfin, suite illogique des choses, j’achèterai un cabriolet rouge super kitsch afin de parader sur le cours Mirabeau (sorte de champs Elysées dans ma ville) et me faire sucer sans effort par toutes les magnifiques névrosées superficielles désirant devenir apprenti mannequins… c’est beau de rêver et de faire partager ses délires psychotropes avec de pauvres lecteurs qui se sont perdus sur ce blog en pensant que c’était un truc porno.
Plus sérieusement maintenant. Pour ceux qui ne me connaissent pas, si je prétends être un Pick Up Artist aujourd’hui (ce n’est pas une nouvelle marque de bagnoles, ça veut juste dire « artiste de la séduction »), ce n’est pas seulement parce que j’ai couché avec plus de femmes que la plupart des gens. C’est surtout parce que je me suis amusé à le faire dans des situations originales. Mais depuis l’an dernier, j’ai encore amélioré mon jeu : en suivant un séminaire de Brad P le PUA#1 dans le monde, les dernières questions que j’avais sur la science de la séduction ont trouvées leurs réponses. Je suis contraint à la séduction comme un jeune gay branché le serait à la fellation mais ne me confondez pas avec Hank Moody ni Charles Bukowski : j’ai arrêté de boire. Sinon, j’habite à Aix, une ville où la moindre place de parking coûte 20€ / demi-heure donc, ouais, je suis un peu fauché. C’est dans le sud, au soleil (je vis avec Jenifer).
Pas la peine que je commence à vous raconter des conneries freudiennes sur mon enfance ni rien… on va faire court. Sachez simplement que je suis né le… merde j’ai oublié ma date de naissance, c’était y’a trop longtemps! Que mon métier c’est de donner du plaisir et d’apprendre aux autres à le faire. Et non, n’en déplaise à mon psychanalyste, je n’ai pas envie de galocher ma mère… plutôt de lui mettre des tartes dans la gueule parfois. Mais je suis un gentil garçon alors je me retiens, comme Gainsbourg. Ceci dit, si aujourd’hui, je digresse souvent en dérapages incontrôlés, l’éducation que j’ai reçue n’y est sans doute pas pour rien (c’est ma meilleure excuse). Mon principal hobbies, c’est d’être un garçon de faussement mauvaise compagnie. Et physiquement, je suis à Johnny Depp ce que Valérie Damidod est à Cameron Diaz.
J’aime revendiquer le statut de génie incompris mais puisque j’ai juré de ne pas vous raconter de salades ici, je dois reconnaître que je suis sérieusement névrosé. Mais dans le bon sens du terme… s’il y en a un. Gardez ce paragraphe en tête pendant votre lecture, au moins vous ne serez pas surpris quand vous lirez que j’ai fini par sérieusement péter un plomb cette année… certains pensent que c’est à cause de l’agression par 4 drogués que j’ai subie l’an dernier. Un viol par des femmes bisexuelles ne m’aurait sans doute pas autant traumatisé!
J’ai toujours été un putain d’hypocondriaque. Cette peur irrationnelle de la maladie ne m’empêchait pourtant pas de baiser régulièrement sans capote jusqu’à il y a peu. C’est pourquoi, je passais pas mal de temps au centre de dépistage. Mais, comme vous l’avez peut-être lu dans mon premier ebook, je fais de gros efforts et cela fait plusieurs mois que ça ne m’est plus arrivé. Maintenant, j’ai une copine, « une relation ouverte » qui s’appelle Virginie.
Frustré par le dénouement insupportable de la saison 8 de Dexter et par le fait de ne pas pouvoir partir en Australie (parce que je dois repasser mon master que j’ai raté pour 0.75 points), je vais devoir me défouler en traumatisant à mon tour certaines aixoises un peu coincées, par exemple en leur faisant découvrir les joies de la levrette avec fessée. Je vais aussi partir en chasse de mes congénères aixoises typiques : suicidaires, oisives, riches, saoules tous les samedis soir et avec encore un peu de farine sur le bout du nez. Des seins et un cul aussi fermes que la politique immigrationniste de François Hollande, notre chair dictateur président.
J’espère qu’à l’idée que vous suivez mes aventures sur la toile, je vais me mettre un bon coup de pied là où je pense pour ne pas sombrer dans la dépression. De plus, la possibilité de relire mes aventures va logiquement m’aider à être de plus en plus efficace : on apprend de ses erreurs. En cela, on va pouvoir qualifier mes fornications… d’intellectuelles. En gros, vous êtes en train de lire de la littérature moderne… mais très moderne alors !!!
En ces temps politiquement corrects, je prends (avec un malin plaisir) le risque de susciter les sarcasmes convenus de la critique aixoise. Je serais fort déçu si vous n’étiez pas au minimum un peu choqué après avoir lu certaines mes aventures les plus osées. Je serais également déçu si je ne recevais aucun message sur FB parfumé à la cyprine de mes lectrices et contenant un combo dédiboobs/duckface en pièce jointe. L’appel est lancé ! Je serai déçu enfin si aucune de mes lectrices ne se jetait sur moi dans la rue en poussant des cris hystériques tout en se mettant le soutien-gorge sur la tête. Enfin bref… je m’attends à ce qu’un grand nombre de personne n’aiment pas ce que j’écris, puisqu’en France on apprécie surtout la bien-pensance et les mensonges… y’a qu’à voir au cinéma où on voudrait nous faire croire que Manu Payet est tout à fait crédible dans le rôle du mec qui se tape deux bombes sans faire aucun autre effort que de leur sortir un game de merde.
Les petites amies de mes lecteurs ne m’aimeront pas car elles penseront que je pousse leur homme à la dépravation. Les petits amis de mes lecteurs seront jaloux parce que leur meuf pensera à moi pendant l’orgasme. Je vise donc essentiellement un public de célibataires ouverts d’esprit. Si vous pensez que je suis un super connard, ben, je vous emmerde… sinon, je suis ravi de vous compter parmi mes lecteurs. Si vous êtes sages, un jour je publierai peut-être une photo de mon triple sexe légendaire (oui, c’est à cause des accidents nucléaires).
Bon, j’arrête les conneries autobiographiques qui vous font perdre votre temps. En plus, vous n’êtes sans doute pas sûr de savoir si j’écris les conneries qui me passent par la tête pour troller mes propres lecteurs ou si je suis sérieux. Allez, elle est déjà trop longue cette introduction, j’ai mal aux doigts à force de taper. Vous allez devoir trouver la réponse tout seul !
Rendez-vous dans le prochain post pour la première aventure de 2014 !
Que le Dieu du Game soit avec nous !