Elle faisait de la pole dance

Je me suis fait une danseuse de pole dance

Le 19 février 2016,

Hier, pour la première fois en 2016, j’ai séché l’entraînement à la piscine. Mon excuse de naze : j’ai eu la visite de mes parents, et comme je ne pouvais les voir que le soir après le boulot, je me suis couché tard toute la semaine. J’étais vraiment fatigué vers 19h, alors je me suis endormi en lisant le Picsou que j’ai eu pour mon anniversaire. J’ai choisi de me ménager, surtout que je savais que je recevrais sans doute la visite d’une pitchoune à 21h.

Ponctuelle, cette dernière m’a écrit un texto à 21h03 « je suis en bas ». Elle s’appelle Mélanie… je les collectionne sérieux, c’est au moins la 3ème ou la 4ème Mélanie que je m’envoie depuis que je suis chez les gones (le pays du 69). Celle-ci est vendeuse dans une droguerie, ça m’a bien fait marrer ça… au rayon cuisine. Son patron doit être un peu macho !

J’ai matché avec cette jolie petite brune de 24 ans sur Tinder, le 16 janvier, donc y’a plus d’un mois (ça a traîné). Elle avait une photo super sexy où elle était au bord de la mer, sur la plage, en robe de soirée avec ses talons à la main. J’ai open avec « Ça sent le lendemain de soirée sur la plage lol. » Elle n’était pas très bavarde, alors, pour la mettre à l’aise j’ai rajouté « Ben je ne sais pas si c est la photo ou toi mais y a quelque chose de canon ! 😉 »

Cette nana aurait rendu fous tous les needies de la communauté : elle répondait tous les 3/4 jours et refusait de me parler de ses sous-vêtements quand je tentais une sexu directe. Mais malgré ça, elle était cool, et y’avait un certain feeling entre elle et moi qui passait à travers nos téléphones respectifs. Ce qui m’a fait le plus bander c’est quand elle m’a dit qu’elle faisait de la pole dance. Je l’ai immédiatement imaginée jouer avec cette putain de barre phallique entre ses cuisses et ça m’a séduit. J’ai enfin pu sexualiser en lui proposant un massage aux huiles essentielles pour se détendre après le sport. Elle a dit que ça l’intéressait…

Ce fut alors assez facile d’obtenir le date : le 1er février, j’ai envoyé « tu veux toujours qu’on se voit ? » sous-entendant qu’elle voulait qu’on se voie avant alors que rien ne me le prouvait. Elle a répondu « oui », tout simplement. Mais le truc c’est qu’on a eu du mal à trouver un créneau, donc on a basculé de l’appli vers les SMS. Elle ne répondait guère plus vite pour autant. Enfin parfois, elle répondait du tac au tac, parfois elle répondait le surlendemain.

La semaine dernière, elle était indisponible. Alors, pour ne pas lui mettre la pression, j’ai répondu « on n’est plus à une semaine près, en plus tu te seras plus entraînée pour la pole dance comme ça… tu préfères jeudi ou vendredi prochain ? » Pour continuer de me chauffer encore plus, elle m’a dit être hôtesse au stade pour le match de Lyon, dimanche dernier. Puis, elle a choisi le jeudi. Donc hier…

Bon, quand elle est arrivée, je ne savais pas trop si elle avait capté que j’allais la ken ou si elle était totalement ingénue. Sur quel pied danser ? La question ne se pose pas, je n’aime pas danser. On n’avait pas trop parlé de cul en fait, la seule vraie sexu que j’avais mise dans mon interaction c’était « t’as choisi les sous-vêtements que tu vas mettre ce soir (c’est un détail important) ?
– j’y ai pas réfléchi encore ». Ceci dit, elle avait mis des bas, des bottes, bref elle était bien apprêtée. Je lui ai proposé de boire un truc elle a dit « ce que t’as ça ira très bien. » Ca changeait de la chieuse que j’ai reçue la semaine dernière, celle-là était gracieuse. J’ai servi un jus de fruit sur la table de ma cuisine mais elle s’est assise sur le lit. Hmm, j’ai aimé ce côté direct ! Elle a dit qu’elle trouvait Léo (ma peluche) mignon. Un point pour elle !

Je me suis donc posé à côté de ce joli brin de brune, laissant mine de rien mon genou collé au sien. Le contact ne l’indisposait pas et on a parlé, comme ça, en mode socialisation pendant genre une demi-heure. Puis j’ai fait passer l’interaction sur le plan de la sensualité en lui caressant le bras, la cuisse, le ventre… et le visage enfin. Puis, elle m’a embrassé d’elle-même. Elle n’a pas su endurer plus de tension sexuelle que moi : pour la peine, elle a donc enduré mes coups de rein.

On s’est déshabillés (mais poliment). Je la doigtais, elle me branlait (elle branle bien). Une fois en sous-vêtements, je suis descendu la lécher. Quand ça devenait trop bon pour elle, elle me suppliait « arrête » et tout mais moi je n’arrêtais pas. Je ne suis pas né de la dernière pluie. Elle est montée très haut. A un moment j’ai eu un doute et elle ne réagissait plus alors je lui ai demandé « t’as joui ?
– de quoi ?
– t’as eu ton orgasme ?
– heu je sais pas mais t’es très doué ». J’ai donc appris qu’elle n’avait encore jamais connu l’orgasme.

J’ai continué pour voir si elle remonterait dans le plaisir, et ce fut le cas. Elle n’avait donc pas encore joui avec moi. Quand elle a enfin exulté, à force de coups de langue sur son clito et de doigts sur son point G : je l’ai bien senti, cette fois c’était net, les secousses parcouraient son corps et tout… puis, elle est restée inerte pendant quelques minutes avant de me dire « je ne t’ai rien fait encore mais tu m’as crevée… » Je lui ai montré la flaque qu’elle a laissée sur mes draps neufs, et elle a eu du mal à le croire.

Elle a entrepris de me sucer pour me remercier. Elle avait un peu culpabilisé de ne rien me faire et de prendre autant son pied. Mais franchement : autant elle branlait bien, autant je ne sentais pas grand-chose quand elle me suçait. Et quand elle léchait mon gland avec sa petite langue, ça me faisait un peu mal tellement j’étais excité. Célibataire depuis seulement un an, elle n’a pas dû accumuler beaucoup d’heures de route, ou alors sur des routes pas très sinueuses.

Je l’ai finalement prise en missionnaire, même si je n’aurais pas été contre une petite levrette vu qu’elle a un bon petit cul ferme. La capote m’a permis de tenir un peu plus d’un quart d’heure malgré mon excitation. Je l’ai prévenue que je ne tiendrais pas longtemps dans mon état et elle a répondu gentiment « c’est pas le temps qui compte
– un peu quand même. » Le seul bémol (à part qu’elle ne suce pas comme une princesse) c’est qu’elle a voulu garder son soutien-gorge tout le long (ce petit complexe lui donnait un côté touchant). Mais j’aimais franchement bien la pénétrer en l’embrassant, ça avait un côté doux même si je l’ai baisée fort à un moment. Elle embrasse bien, sa petite langue taquinait bien la mienne… Ah la vache, rien que d’y repenser, je bande comme un taureau !

Ensuite, elle s’est mise d’elle-même dans mes bras, allongée à côté de moi, on a un peu parlé mais c’était déjà l’heure du dernier métro. Elle m’a testé avant de partir pour savoir si j’étais un de ces « romantiques » qui voulait absolument se mettre en couple après avoir couché avec une fille et fut rassurée quand je lui ai dit que je ne me prenais pas la tête. Je l’ai raccompagnée jusqu’à l’ascenseur, à poils, dans le couloir de mon immeuble et ça l’a bien faite marrer. Au fait, ses sous-vêtements étaient bleu turquoise, et ça allait grave bien sur sa peau matte de méditerranéenne.

Elle a beaucoup de charme avec ses grands yeux verts, cette petite, je suis content de l’avoir niquée. Tout comme la belle blonde de la semaine dernière, d’ailleurs. D’ailleurs elle, j’ai préféré la laisser dans le royaume des bons souvenirs (avec beaucoup d’autres. Merci, le Game) plutôt que de la relancer et peut-être gâcher un peu la magie de ce merveilleux moment gravé dans ma mémoire. Merci, le Game !

Quant à ce soir, un quadruple choix s’offre à moi :
– sortir avec mes potes ;
– dormir seul ;
– passer la soirée avec La Prof ;
– aller à la soirée où m’a invité la jolie artiste que j’ai ken en décembre (celle qui avait dessiné Léo). Elle reçoit une de ses amies en ce moment, notamment celle avec qui elle a fait un plan à trois pour le nouvel an et m’invite chez elle pour « discuter ». Le problème c’est qu’autant je suis fan des yeux de Natacha, autant sa copine a l’air bof-bof sur les photos (ceci dit, on n’est pas obligé de niquer pour passer une bonne soirée même si ça y contribuerait). Et comme il ne me reste qu’un FC à faire avant d’atteindre l’objectif que je m’étais fixé, vais-je attendre une fille ou une situation extraordinaire quitte à attendre longtemps ou bien continuer comme si de rien jusqu’à avoir fini… ?

En gros, faut-il un beau final ou un to be continued ?

A votre avis, Dieu du Game ?