Coucher avec une femme mariée
Le 8 décembre 2012,
Salut les amis, j’suis bien content d’être encore en vie pour pouvoir vous écrire. Je vais vous raconter pourquoi j’ai eu si peur…
J’avais rendez-vous à 22h avec la femme mariée de 35 ans dont je vous ai parlé tout à l’heure. C’était mal parti : elle m’a envoyé un SMS vers 19h « si on se voit vers 21h-21h30 ça te va ? » J’sortais de ma baise avec la précédente alors j’ai négocié un petit répit pour manger et tout « tkt prends ton temps, 22h à [tel bar] c’est bon ». Sauf que le moment venu, j’ai envoyé « t’en es où ? » et pas de réponse… 22h10, je l’ai appelée et… répondeur. J’ai décidé d’aller voir sur place vers 22h20. Arrivé à [tel bar], RAS à la terrasse chauffée, alors ben j’ai appelé Hafid pour avoir un conseil, il m’a proposé de venir jouer au poker avec lui et ses potes. Brillant, sauf que c’était même pas un strip-poker ! J’lui ai dit que j’allais quand même aller faire un tour à l’intérieur du saloon, pour être sûr que ma danseuse n’y poireautait pas comme une conne. No regret is my policy.
Une fois dedans, j’l’ai trouvée : j’l’ai reconnue tout de suite. Pas facile pourtant bicause elle n’a que 3 ou 4 photos sur Facebook. Cette nana m’a ajouté en ami parce qu’elle kiffe ce que j’écris sur FB (je raconte mes aventures et élabore des théories séductorielles abracadabrantes le tout sur le ton de l’humour). Le challenge est intéressant et original : elle a 35 ans, vit à l’autre bout de la France, est mariée.
Cette fille, ou plutôt cette femme, sirotait un verre de rosé dans une belle robe noire, très classe. Elle a un joli visage, des super jambes et un bon décolleté. En fait, elle est vraiment sexy. Pour contraster, j’ai pris un misérable jus de pomme parce que je ne bois plus d’alcool. Elle a payé ma conso (très bonne initiative ça mérite un cunni) et m’a dit qu’elle n’avait aucun doute sur le fait que j’allais venir même si j’étais en retard… elle aurait dû pourtant, vu que j’étais à deux doigts de rejoindre Hafid. Bref, j’me suis assis sur un tabouret, elle m’a fait du pied au bout d’un quart d’heure, puis a envoyé les mains et s’est rapprochée dangereusement de mes lèvres. Elle faisait monter la température mais se retirait toujours au dernier moment. C’était du push and pull version féminine… J’ai toujours pensé que les femmes avaient un don inné, plus fin et plus développé pour la séduction. Voilà qui me conforte dans ma théorie… Elle allait même jusqu’à tripoter mon visage, etc. Jamais vu ça, c’est pas les petites gamines d’ici qui iraient aussi franco. Perso, ça m’excite deux fois plus. Je lui donne toutes mes félicitations, il en faudrait davantage des comme elle.
A un moment, le vendeur de roses est passé alors j’ai demandé à ma princesse « tu veux m’offrir une fleur ?
– Non. » le vendeur était mort de rire, il m’a même tapé sur l’épaule. A côté de ça, franchement, des fois il y avait des blancs et elle me regardait comme si j’étais une putain de merveille ou j’sais pas quoi. Pour essayer de comprendre, j’lui ai demandé si elle se considérait comme une de mes groupies « A moitié.
– Pourquoi ?
– Parce que, moi, je suis venue te voir.
– Et alors ?
– J’suis sûr qu’il y en a plein qui aimeraient être à ma place. » Comme quoi, une certaine forme de notoriété est donc l’accomplissement ultime du développement personnel.
D’un naturel soupçonneux : j’avais peur que ce soit une serial killeuse qui aurait un pistolet dans son sac ou quoi. C’est vrai quoi, tout ça était trop beau pour être vrai. J’me suis même demandé à un moment si elle m’avait pas empoisonné avec de l’aconit dans mon jus de pomme à la manière de Hanna McKey. J’regarde vraiment trop Dexter. D’un autre côté, si je réfléchis bien : elle est inconnue ici, seule. Elle peut donc faire ce qu’elle veut et cela n’aura aucune conséquence sur sa vie. C’est le même principe qu’au Club Med. Aucune pression sociale = on se fait plaisir en mode carpe diem.
Vers minuit, elle a voulu sortir fumer : « tu veux aller boire un autre verre ailleurs ou lire mon dernier post sur FB ? (elle n’avait pas pu le lire parce qu’elle a été sur la route toute la sainte journée comme De Palmas)
– Lire chez toi ! » Donc nous voilà en route pour chez moi. Sur le chemin, j’ai répondu à quelques SMS pendant qu’elle me tenait la main (pas facile). J’l’ai interrogée « tu es vraiment très entreprenante comme fille.
– Oui mais j’te reverrai sûrement jamais c’est pour ça. »
Arrivée chez moi, elle a retiré ses talons, est passée de 180 à 170cm, ça change. J’l’ai chauffée dans ma chambre et ça marchait du feu de Dieu. Elle gémissait, avait la chair de poule, etc. J’lui faisais vraiment de l’effet, j’la rendais folle au sens strict du terme. C’est flatteur pour l’ego. Elle m’a jeté sur mon lit et m’a sucé « tu ouvres ton cadeau de Noël maintenant ?
– Tu m’avais bien dit qu’on ferait l’amour avant la fin du monde ». Sérieux, j’avais oublié que j’avais dit ça mais j’ai trouvé cette réplique mythique. Pendant qu’elle me prenait en bouche de manière délicieuse, j’me demandais encore à quel moment elle allait me tordre le cou ou autres. J’allais jouir alors j’lui ai dit d’arrêter. C’est vrai quoi, ça marque mal d’éjaculer avant de la pénétrer. J’l’ai léchée puis l’ai prise en missionnaire. C’était tellement bon, j’étais tellement chaud que je n’ai tenu que 5 minutes, putain. Alors j’l’ai re-léchée en attendant de re-bander. J’ai fait la technique où le pouce et la langue titillent le clito tandis que j’l’a doigte. Elle a joui, ouf, l’honneur est sauf. J’ai fini par durcir, alors j’l’ai re-prise en missionnaire, puis elle est montée sur moi (a joui 2 fois) et m’a réclamé la sacro-sainte levrette. J’ai pris mon pied à la levretter parce qu’elle a un super corps et puis surtout la situation était vraiment excitante.
Avant de retourner aux taxis, elle a lu le texte pour lequel elle était soi-disant venue. Elle m’a dit que j’allais lui manquer. Moi aussi, j’l’aimais bien. Quand je vois des filles comme ça, aussi simples, aussi directes, qui savent si bien ce qu’elles veulent… ça me donnerait presque envie de déménager à l’autre bout de la France.
Bon. Ca fait 2/3. Demain, il me reste: Chacha. C’est pas forcément le coup le plus difficile à amener mais encore faut-il qu’elle vienne à Aix (qu’elle ne se dégonfle pas). Elle m’a déjà sorti qu’elle avait « beaucoup de boulot » mais qu’elle allait « essayer de » s’organiser. Elle hésite. Je ne suis pas dupe, si une fille annule et ne fait pas de contre-proposition c’est que c’est mort.
J’croise les doigts. Bonne nuit. Que le Dieu du Game soit avec vous !