Le 23 juin 2017,
Putain, on est déjà le 23 juin : je suis très en retard sur mes field reports… Mettons-nous à jour sans plus attendre !
Mardi soir, donc le 20, je suis allé chez une nana de Tinder. Je l’avais branchée en mai sans conviction puis lui avais envoyé le message de la dernière chance qui l’avait émoustillée. Le fait de savoir que je voulais la baiser sans se prendre la tête lui plaisait beaucoup…
On a par contre eu du mal à trouver une date qui nous convenait à tous les deux car elle est surchargée de travail (encore une qui est dans la santé)… En effet, en ce moment, je ne me bouge pas trop le cul pour baiser des meufs parce que je dois faire tous mes montages au plus vite pour que la formation Cyprine sorte… et puis, la canicule ambiante ne me motive pas trop à baiser, je l’avoue. J’ai plutôt envie de rester au frais. Mais peu importe !
Là, je me suis motivé, en particulier parce que la nana avait l’air intelligente et métisse. Beaucoup de mes lecteurs m’ont demandé une fille de couleur dans cette formation donc j’y suis allé.
Finalement, j’ai passé une bonne soirée. La fille est vraiment fine et musclée, très bien foutue. Elle a de la conversation et a bien pris son pied comme une folle. Le seul truc que je n’ai pas trop aimé, c’est qu’elle a essayé deux ou trois fois de m’attraper la gorge pour me soumettre durant le sexe… alors, j’ai dû lui rappeler qui est le patron.
A la fin, elle m’a dit qu’on ne l’avait jamais mise dans un tel état et elle se demandait si elle n’était jusqu’à présent tombée que sur des mauvais coups. J’ai répondu « sans nul doute » en me sentant très flatté. Le lendemain, elle m’a relancé sur Facebook en me disant « merci » (je vous montrerai le message en cachant son nom dans la formation). J’étais hyper content de lui avoir fait cet effet ! Mon nom en apache pourrait être « tsunami de culottes ».
Sinon, j’ai trouvé une combine pas mal pour être au frais, se baigner et voir des meufs en maillot : je vais aux aquabiker dans ma salle de sport. Les séances sont comprises dans mon abonnement donc j’aurais tort de m’en priver. Les meufs qui y vont ont l’air d’avoir aussi chaud que moi donc se dénudent et il y a peu de jeunes mâles qui osent s’aventurer dans cet univers d’amazones : ce qui fait monter ma valeur de queutard.
Sinon, anecdote : durant la fête de la musique avec mon wing, on a branché une nana qui se revendiquait soumise de haut niveau. Elle nous a dit aimer se faire frapper, insulter, cracher dessus, etc.
Elle a dit qu’elle nous trouvait à son goût mais qu’elle ne voulait pas baiser avec nous parce qu’elle sortait d’une relation longue. Néanmoins, elle restait et nous complimentait genre
« t’as des beaux yeux de pervers toi et c’est par ce genre d’homme que nous, les femmes, aimons nous faire prendre ». Alors mon pote a demandé « t’aimerais qu’on te viole ?
– C’est pas une réponse que je donnerais en pleine rue mais tu te doutes bien de la réponse…»
Sauf que c’était trop pour nous. On s’est demandé si ce n’était pas une embuscade ou si la meuf ne nous trollait pas. De toute façon, on n’allait pas forcer une nana à baiser avec nous même si elle dit qu’elle adore le BDSM. Selon moi, si elle voulait un truc de ce genre, il aurait fallu que l’on se mette explicitement d’accord mais ça aurait cassé la magie. C’est donc une voie sans issue et trop dangereuse pour un Pick-Up Artist en ces temps dangereux de féminisme extrême.
Avant de la laisser partir, elle nous a demandé d’aborder d’autres filles devant elles : on l’a fait et, bien sûr, ces dernières se sont montrées hautaines. La grosse cochonne a commenté
« en fait, je comprends maintenant pourquoi certaines se font insulter… elles sont ridicules à jouer les princesses comme ça quand un mec leur pose une simple question. » Ca donne à réfléchir.
Avant de conclure, il faut que je vous raconte que mon wing a aussi abordé des meufs en mode « ça te ferait plaisir de m’embrasser ? » et est tombé sur une qui a répondu « j’aimerais bien mais je suis pas assez bourrée… » avant de se laisser faire quand il s’est avancé vers elle. C’est ouf quand même d’avoir besoin de se bourrer la gueule pour s’autoriser à faire ce qu’on a envie de faire au fond. Quelle pression elles subissent, ces pauvres meufs !
Après, elle lui a demandé « tu as embrassé combien de filles ce soir ?
– Cinquante. » Et elle l’a cru, cette conne, alors qu’elle était en fait sa première. C’est marrant comme certaines vont penser qu’il est impossible d’embrasser une seule fille avec cette technique tandis que d’autres vont s’imaginer que toutes les meufs disent oui. Comme quoi, on voit vraiment tous la vie à travers nos propres filtres… mais c’est ça qui fait la diversité des filles et l’intérêt du Game.
Que le Dieu du Game soit avec vous !
Extrait du journal de la formation Cyprine