J’ai tenté la technique du Naked Man de Barney Stinson dans How I Met Your Mother…
Le 18 avril 2015,
Je n’ai pas fait de blague le 1er avril cette année. Pas d’humeur. Pas d’humour. Sorry.
Primo (ouais j’me la pète en parlant latin), j’suis un peu « vnr » là parce que je branchais une petite anglaise Erasmus et que je me suis heurté à un mur composé de mauvaise foi et de balais dans le cul. La meuf m’a chauffé sur Tinder pendant près d’une semaine puis m’a proposé « on se voit ce soir ?
– OK à quelle heure et on se retrouve où ? » Devinez quoi ? Le soir venu, plus de réponse… Habitué à ce genre de situation j’ai zappé en me disant qu’elle s’est chié dessus comme tant d’autres avant elle. Mais trois jours plus tard, elle m’a recontacté et on a recommencé à flirter. Elle m’a demandé mon FB mais ensuite… de nouveau plus de réponse. J’ai un peu insisté et elle a fini par me lâcher la raison de ce silence soudain : elle n’a pas lu mais je suis forcément un enculé car j’écris sur la séduction. Vivent les idées reçues et les stéréotypes ! Bref, j’ai négocié machin et on est repartis du bon pied. Elle s’est remise à être chaude et on a flirté pendant quelques jours de plus puis d’un coup alors que ça redevenait concret (on devait se voir) elle m’a planté un poignard dans le dos « arrête de me harceler » puis m’a bloqué. Le mot est fort quand même! « Harceler » ! Je considère pour ma part que le harcèlement c’est d’insister quand la meuf a dit non. Insister alors qu’elle continue de flirter avec moi me paraît normal, au contraire. Mon erreur ici a été de lui donner une deuxième chance après son premier faux-plan. Apparemment quand on est une caguette, on le reste pour la vie !!! J’le vois souvent ça des meufs qui sont chaudes dans l’absolu (normal) mais qui dès que ça devient concret succombe à leur anxiété parce que c’est plus facile et ne vivent pas un truc extraordinaire (elles regardent la télé à la place) alors elles rationnalisent n’importe comment et de préférence en rejetant la faute sur oim ! Mais je continue de leur tendre la main car certaines sont récupérables (je ne me prends pas pour un héros loin de là c’est juste mon point de vue et mon expérience).
Deuzio (secundo), j’ai revu une copine qui m’a bien épaulé pendant ma dépression. Une fille que je connais depuis le lycée mais je n’avais jamais vue en elle une nana sexuelle. Pourquoi ? Déjà parce que je la connais depuis une époque où elle s’habillait comme un sac (désolé) et était coiffée comme une petite fille et tout… donc pas trop trop sexy. Puis elle sortait avec un de mes potes… donc éthiquement intouchable.
Dans l’intervalle, le pote en question l’a trompée maintes fois lors d’un Erasmus en Ecosse, et elle se disait encore amoureuse blablabla. Le manège émotionnel habituel de la nana victime de l’idée qu’elle se fait de l’amour. Il ne me semble pas qu’elle ait eu d’autre amant depuis lui (1 an quand même) ou alors elle ne m’en a pas parlé (avec les meufs, tout est possible). Bref, elle disait que le sexe ne l’intéressait pas car elle était encore amoureuse (excuse pratique pour ne pas avoir à sortir de sa zone de confort). Moi je lui disais de se taper un gus pour tourner la page.
Puisqu’elle m’a aidé à surmonter ma dépression et que j’ai en ce moment des érections du tonnerre, j’ai décidé de faire joujou avec son taux d’adrénaline un peu. J’étais bien décidé à lui faire vivre des émotions. Je l’ai invitée à manger chez moi, rien de fou jusque là, on le fait parfois. Sauf que quand elle est arrivée, je lui ai dit « désolé j’ai pas encore pris de douche tiens prends l’ordi attends-moi là (sur le lit) j’en ai pour deux minutes ». Je pense pas que ça l’a surprise car je suis un mec toujours à l’arrache. Quand je suis à l’heure c’est que je tourne pas rond!
Bref je suis effectivement allé prendre une douche mais je suis ressorti avec la serviette autour de la taille sans m’habiller. Je me suis allongé à côté d’elle sur le lit. Au bout d’un moment elle a osé demander « qu’est-ce que tu fais ?
– je bande, regarde (c’était vrai que cette situation m’excitait un peu) »
Ca passe ou ça casse.
J’ai commencé à lui caresser le bras, puis la nuque et les jambes du bout des doigts… au début, elle a buggé : elle ne bougeait pas. Je l’ai embrassée dans le cou puis suis remonté sur sa bouche et elle m’a évité. J’ai souri, on a parlé un peu : ses objections étaient toujours les mêmes « c’est un connard mais je suis encore amoureuse de lui, je préfère les hommes grands t’es pas trop mon genre, etc. » je lui ai présenté mon point de vue et lui ai dit que ça renforcerait notre amitié (c’est vrai – c’est toujours mieux selon moi d’avoir couché avec nos amies comme ça on n’est pas jaloux des mecs qui se la tapent après à condition de ne pas devenir accro à elle c’est-à-dire d’avoir d’autres options). Et puis j’suis peut-être pas trop son genre, je veux bien le croire : certaines me trouvent mignon, d’autres moyen et d’autres même moches (lesquelles ont raison ? probablement toutes) : c’est son droit. Mais je peux dans tous les cas quand même lui offrir une très bonne partie de jambes en l’air!
Bref, après maintes négociations et un pied dans la porte (un bisou sur la bouche), elle m’a laissé lui faire un cunni. La déshabiller fut exquis, je l’avoue. Moi qui suis habitué à m’envoyer des meufs sans les connaître vraiment après seulement quelques heures voire quelques minutes de discussions… j’avoue que c’est pas mal aussi de la désirer depuis un moment même si c’était du désir modéré. Ca m’a rappelé le début de mon Game où je m’investissais beaucoup plus dans mes interactions. Des sensations qui furent agréables à retrouver !
Après le cunni, elle m’a imploré de la prendre. C’est souvent comme ça ! Je l’ai fait puis on a mangé. On a recouché ensemble un peu plus tard dans l’après-midi et cette fois elle m’a sucé et a joui bien comme il faut. C’est fou comme des nanas qui ont l’air un peu coincées peuvent se révéler si coquines dans l’intimité.
Pour moi cette aventure se rapproche du « naked man » de maître Barney Stinson. Bon, big up et hommage à lui ainsi qu’à la chèvre qu’il sodomise dans sa salle de bain lorsqu’il n’a pas réussi à lever de nana ni de transexuel !
Tertio, j’ai revue Pantalon rouge aussi. On a joué à un strip jeu de cartes et j’ai perdu. J’ai dû la lécher jusqu’à l’orgasme. Ensuite, on a baisé dans 3 ou 4 positions. Ca m’a fait plaisir de la revoir. Elle est toujours aussi canon. Le soir-même elle m’a inondé de SMS. Je pense que quand tu baises bien une meuf t’as pas besoin de lui courir après derrière.
Quarto, avec mon psy, ça avance. Voilà de quoi je suis atteint selon lui :
– Attaque de Panique : Terreur soudaine ou malaise intense survenant en dehors des circonstances impliquant un risque vital. Elle se manifeste par des symptômes tels que : la peur de mourir – la peur de devenir fou – la peur de perdre le contrôle se soi – un sentiment d’irréalité ou de dépersonnalisation – l’impression de s’évanouir – des sensations d’évanouissement – des étourdissements – des vertiges – des palpitations – des tremblements, des secousses musculaires – des sensations d’étranglement – des bourdonnements d’oreilles – de la transpiration – un voile blanc devant les yeux – des frissons ou bouffées de chaleur. Au moins 2% de la population générale souffre de ce trouble.
– Agoraphobie : Anxiété de se retrouver dans des endroits ou des situations d’où il pourrait être difficile (ou gênant) de s’échapper ou dans lesquels on pourrait ne pas trouver de secours en cas d’attaque de panique. Situations caractéristiques : se trouver seul en dehors de son domicile; être dans une foule ou une file d’attente; sur un pont ou dans un métro. Ces situations sont soit évitées soit subies avec une souffrance intense ou bien avec la crainte d’avoir une attaque de panique ou bien nécessitant la présence d’un accompagnant. Perso, c’est plutôt les files d’attente.
– Anxiété généralisée : Anxiété chronique qui se manifeste par une inquiétude continue et excessive dans toutes les activités courantes de la vie. Le quotidien (travail, famille, santé, finance, etc.) est à l’origine de tourments intenses, de tensions permanentes, d’angoisses insurmontables. La personne anxieuse se sent constamment débordée par les événements. Elle imagine des scénarios catastrophes qui pourraient survenir à elle ou à ses proches. L’anxiété généralisé va souvent de pair avec l’intolérance à l’incertitude, l’émotivité, l’irritabilité, le besoin constant de bien faire et d’être rassuré. Les symptômes les plus souvent éprouvés sont la fatigue (parfois jusqu’à l’épuisement), des difficultés de concentration, des tensions musculaires, maux de tête, migraines, troubles du sommeil ou de la digestion… Au moins 10% de la population générale souffrirait de ce trouble.
– État de stress post-traumatique : Le sujet a été exposé à un événement traumatique dans lequel les deux éléments suivants étaient présents : 1) le sujet a vécu, a été témoin de, a été confronté à, un événement durant lequel son intégrité physique ou celle d’autrui a pu être menacée 2) la réaction du sujet à l’événement s’est traduite par une peur intense, un sentiment d’impuissance ou d’horreur.
Ce trouble constitue une réponse différée à une situation ou à un événement stressant exceptionnellement menaçant.
Autre chose : l’espèce de psychanalyste à la con que j’avais vu avant sous-entendait que j’étais heureux d’être malheureux et que je me complaisais dans cette situation (c’est facile de dire ça et super culpabilisant sérieux… on se demande vraiment pourquoi on paye ces gens qui sont des sortes de connards diplômés). Et en plus, il disait que je faisais inconsciemment exprès de faire des attaques de panique pour attirer l’attention de ma mère et pour ne pas avoir à aller travailler maintenant que je suis diplômé. Non mais quel ramassis de conneries ! Bref, j’ai donc commencé à chercher un TAF sur Lyon ou Paris (avec une préférence pour Lyon car ville moins stressante je pense). Et j’ai beaucoup moins d’attaques de paniques et elles sont moins puissantes, j’arrive à les gérer par la respiration.
Quinto, je sais bien que ces deux dernières aventures que j’ai racontées ne sont pas trop liées à Internet (à part que pour la première on a réservé l’hôtel sur le net et que là avec ma pote on se parlait beaucoup sur FB) mais bon elles sont tellement exceptionnelles qu’il me tardait les raconter (trop peur de ne pas vivre assez longtemps pour les partager avec vous). Puis pour la narration de l’histoire, en général, elles sont importantes quand même. Enfin tout ça pour dire qu’un truc m’est revenu en mémoire : un jour, mon grand-père m’a raconté comment il a rencontré ma grand-mère. Il avait un collègue de son boulot et ami proche qui s’était marié et il lui avait dit « moi aussi je veux me marier maintenant »… alors l’ami en question a répondu que sa femme avait une copine dans un village d’Ardèche qui cherchait à se marier également. Il lui a donné son adresse et ils ont commencé à s’écrire. Puis se sont rencontrés et ça a marché. Ce que je veux dire par là c’est que c’est assez proche des rencontres sur Internet contemporaines et c’est peut-être pour ça que j’aime autant ça ! Moi j’ai rencontré ma petite Virginie sur Adopte et on est très heureux. En plus elle est la seule que je baise sans capote ! C’est une relation très intime et privilégiée.
Enfin, voilà, je vous ai encore parlé de mon grand-père : il faut vraiment que je le laisse partir, sinon c’est pas étonnant que j’ai la mort en moi.
Que le Dieu du Game soit avec nous !
Salut Fabrice, comment geres tu l’apres avoir couche avec une amie? Est elle toujours ton amie? Tu la revois comme si de rien n’etait?
J’ai l’impression que quand t’es un mec decent et que tu donnes du plaisir a une amie, elle va toujours en vouloir plus.