Vidéo gratuite "Les 3 secrets pour réussir avec les femmes"
Aller au contenu
Accueil » Blog » J’ai eu du mal à faire comprendre aux poulets que j’étais victime d’un viol

J’ai eu du mal à faire comprendre aux poulets que j’étais victime d’un viol

J'ai eu du mal à faire comprendre aux poulets que j'étais victime d'un viol

Image : ALF

Un homme ne peut se faire violer ?

 

Le 1er avril 2014,

 

C’est le cul posé entre Hafid et 100g de farine que j’écris ce texte (farine qui se retrouve étrangement assez souvent sur le bout de notre nez quand on sort des toilettes). Je l’avoue, on a sniffé toute la nuit une coke suffisamment pure pour être encore éveillés à midi, après avoir passé une nuit comme passionnés par le visionnage en boucle d’une vidéo cochonne de Paris Hilton. Une odeur de shisha utile à notre bonne humeur plane maintenant dans cet appartement qui n’a pas été aéré depuis qu’Hafid y a emménagé. C’est à dire il y a 3 ans.

 

Dans cette ville où je ne croise que des pétasses superficielles, j’ai décidé que mes textes le seraient dorénavant aussi. Je vais donc faire bref pour plaire à cette salope de ménagère de moins de 50 ans qui n’aime pas lire quand c’est écrit trop petit ou qui s’arrête en plein milieu quand c’est trop long… mais qui paradoxalement regarde des conneries présentées par Benjamin Castaldi jusqu’à 1h du matin.

 

Ce matin, dans un lit inconnu, une jeune eurasienne assez canon s’appuyait sur mon torse. Après avoir ouvert les yeux en lui faisant mon petit sourire ensommeillé, j’admirais son tatouage qui lui recouvrait entièrement le dos. De l’autre côté, une black dormait paisiblement sous mon bras droit. Ses mains de panthère noire aux griffes acérées avaient tout la nuit caressé mon petit ventre fragile d’ours polaire en y laissant des marques rouge vif.

Putain ça aurait pu être un rêve mais c’est un cauchemar. « Je suis où là ? Auriez-vous l’amabilité de me rappeler vos prénoms, vos âges et les circonstances de notre rencontre ? » Je ne reçus comme réponse qu’un dialogue entre les deux complices « Tais-toi le babtou et lèche nos chattes puis tu nous introduiras un concombre à chacune. M’ordonna la black en me menaçant maintenant avec un révolver sexy.
– Euh, je crois qu’il n’y a plus que des carottes dans le frigo. La corrigea sa copine.
– Ca fera l’affaire. »

 

Au risque de froisser mes lecteurs appartenant aux Triades, j’ai décidé de m’enfuir en courant, en boxer (mais je trouve leurs filles/femmes/mères très belles et respectables c’est juste que je ne suis pas sitophile ni végétophile). C’est donc à moitié nu, perdu dans les rues d’Aix-en-Provence avec une demi-gaule que je décidais de rentrer chez moi. Je pense bien que j’ai été drogué la veille dans mon bar préféré, elles avaient dû glisser une connerie dans mon verre : c’est la seule explication plausible à mon état et au fait que ma réaction me paraissait sur le moment tout à fait pertinente, adéquate et logique.

 

Soudain, une voiture me klaxonna et s’arrêta à mon niveau. « Monte, beau gosse » m’a dit une voix à peu près féminine. « C’est quoi ça encore ?! » me suis-je exclamé en voyant la conductrice moche et grosse. Mais comprenant que traverser la ville dans cette tenue qui n’en est pas une n’était pas forcément la meilleure idée que j’ai eue durant ce dernier quart de siècle, je me suis exécuté sans trop chercher à comprendre. « On se connait ? On s’est déjà embrassés ? » ai-je demandé à ma sauveuse en priant pour qu’elle réponde que non. « T’inquiète ». Comment a-t-elle deviné que je m’inquiétais un peu, là, bordel ?! Enfin, ça ne pouvait pas être pire que ma situation de ce matin avec les deux mafieuses. Pensais-je…

 

Elle me tendis, au bout de quelques minutes, deux pilules. Putain, je ne m’appelle pas Néo. Elle exigea que je les avale mais comme elles étaient louches, j’ai dit non. Elle a donc menacé de nous tuer tous les deux et s’est mise à rouler à 150 sur une route bien moins large que les fesses de Kim Kardashian. Bon, foutu pour foutu, j’ai cédé. Elle s’arrêta ensuite dans une rue peu fréquentée et ses yeux de saule meunière se sont mis à me regarder avec appétit. « Agueh agueuh » ai-je dit pour me défendre. La merde qu’elle m’avait refilé me faisait planer, dire oui à tout et avoir une érection du tonnerre bien que le contexte ne s’y prêtait pas. Elle s’est donc mise à profiter de moi. C’est alors que nous fûmes interrompus par deux policiers en service, qui ont tapé à notre vitre pleine de buée. Pile au moment où je simulais l’éjaculation d’un ours enragé, en plus. Bon, je n’ai rien contre l’idée de me faire violer par des meufs, mais encore faudrait-il qu’elles soient correctement refaites.

 

J’ai eu du mal à faire comprendre aux poulets que j’étais victime d’un viol… alors ils m’ont foutus en cellule de dégrisement. Ce qui ne leur a pas plu, c’est surtout le moment où ils m’ont demandé mes papiers et que je leur ai tendu l’emballage de la capote. La grosse vache, elle, a été libérée sur parole. Eh oui, les femmes sont toujours innocentes et victimes des mecs, ces petits être fragiles, c’est bien connu. Le moment le plus douloureux a été la fouille, ou plutôt le toucher rectal : je me sentais au fond du trou tandis qu’ils farfouillaient dans le mien. Le jugement fut sans appel : 48h de garde-à-vue.

 

OCCASION !
Abonnez-vous à la newsletter

Recevez une formation gratuitement !

Adresse e-mail non valide
Essayez. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

Au bout d’une heure ou deux, une fliquette assez mignonne est venue me voir pour me dire qu’elle lisait mon blog et me demander de lui faire un de ces cunnis assez géniaux dont j’ai le secret discrètement dans ma cage. En échange, elle me ferait évader en laissant « malencontreusement » la porte de ma cellule ouverte. J’ai donc déposé une main et une langue courantes. Comme elle est bonne en négociation, elle a voulu garder mon boxer en souvenir. Un slip bourré de testo, faut-il le préciser.

 

C’est donc sans mon slip que je me suis évadé du commissariat, le regard sans doute aussi vif que le cocaïnomane pervers qui était dans la cellule d’à côté (il a dû penser que c’était une hallu quand elle a joui). J’ai croisé une énième nana qui m’a arrêté. Elle m’a dit qu’elle était heureuse de rencontrer Cyprineman en chair, en os et en saucisse parce qu’elle n’avait encore jamais atteint l’orgasme à l’âge de 25 ans. Elle m’a supplié de la faire enfin goûter aux plaisirs charnels et de lui signer un autographe… tout ça avec un regard de roumaine qui mendie dans le métro. Je n’ai pas pu résister. Je lui ai dit que c’est ma spécialité et lui ai promis que j’allais mettre mon talent à son profit pour la modique somme de 100€ ou contre des vêtements virils. Elle a accepté la seconde condition et m’a mené chez elle : ouf, c’était juste à côté. Elle a jouit comme la folle qu’elle est puis m’a invité à une soirée le soir même. Entretemps, elle m’a enfermé dans sa cave tout nu… pour moi qui n’ai pas l’habitude de dévoiler si facilement mon corps, ce fut un moment difficile. Moi, je n’ai aucun esclave sexuel qui m’attend dans ma cave : j’ai raté ma vie.

 

Vêtu d’un costard hors de prix qui m’allait trop grand, je me retrouvé dans une espèce de partouze avec DSK (aka le taureau de Washington). Deux pervers de si haut niveau dans une même pièce, ça ne pouvait que déraper. Il m’a proposé 1000€ pour me sodomiser tout en me faisant picoler un vieux Bordeaux tout bouchonné. Je suis un garçon facile qui ne tient pas l’alcool. Il a quand même mis une capote Yves Saint Laurent. Il m’a ensuite proposé 10 000€ pour que je lui apprenne mes secrets pour baiser des meufs sans avoir à les payer. Il a pris des notes sur le dos d’une jeune réceptionniste Slovaque, se revendiquant frivole droguée et gouine, pourtant occupée à nous pomper à tour de rôle.

 

Une ex première dame de France (un peu ieuv mais bonnasse), surnommée « Gare TGV » par des poètes qui ont des dents en or (mais dont l’identité doit ici rester aussi secrète que la recette du Coca-Cola), était également présente à la soirée. Après m’être laissé saouler au champagne-rosé comme une tapette, elle m’a proposé une partie de jeux en mode sado-maso (me domestiquer avec sa cravache) que je n’ai pu refuser. Elle m’a demandé si elle pouvait filmer la scène pour l’envoyer à son mari, un homme très haut placé qui aime les Flamby, afin de le faire maronner. Pensant qu’avec un peu de chance, je finirais en couverture de Voici et pourrai ensuite écrire un best-seller plein de fautes d’orthographe, j’ai dit OK. Steevy Bouley tenait la caméra. Nabilla suçait le micro. Certains sont moins cons qu’on le dit. D’autres plus cons qu’ils pensent l’être. D’autres enfin nous prennent pour des cons en nous faisant croire qu’ils le sont. C’est leur cas.

 

Ce qui a suivi est assez comique : Alain Delon m’a traité de mégalo et un ancien dirigeant de l’UMP m’a offert un pain au chocolat.

 

En rentrant chez moi au petit matin, j’ai fait un détour par chez Hafid pour lui raconter ces aventures avant que j’aie un trou de mémoire (le calvaire d’Ingrid dans la forêt colombienne c’était Jet Tours par comparaison). Je l’ai trouvé endormi au pied de sa porte d’entrée, la clé enfoncée dans la serrure. Le bougre était sans doute ivre de vodka pomme. Il marmonnait dans son sommeil qu’il imaginait sa jeune nièce trisomique nue. C’est stupéfiant comme les stupéfiants peuvent nous rendre tordus.

 

Vous avez bien lu la date, bande de tocards ? J’ai écrit ça un 1er avril ! Poisson d’avril !!!

 

Fabrice J.

Scénariste pour Canal –

On n’a pas fini de vous raconter des histoires

Que le Dieu du Game vous enseigne les bienfaits du sperme sur la santé !

À ne pas rater !
Abonnez-vous à la newsletter
Recevez ce guide, des conseils par email et plus encore !
Adresse e-mail non valide
Essayez. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

1 commentaire pour “J’ai eu du mal à faire comprendre aux poulets que j’étais victime d’un viol”

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *