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L’alimentation

L'alimentation

Image : Malia kelly (pornpros.com)

Comment bien manger pour être en forme ?

 

Je ne suis pas médecin mais je m’intéresse depuis assez longtemps à l’alimentation pour avoir compris son importance. Si à travers ce texte, je réussis à vous donner envie de faire des recherches approfondies et d’améliorer votre mode de vie, je serais ravi. D’ailleurs, si vous souhaitez creuser la question, ces deux docteurs me paraissent particulièrement intéressants : Kousmine et Seignalet. J’insiste sur un point : on parle de mode de vie ici, pas de régime pour perdre du poids. « Tu feras de ton alimentation ta première médecine » Hippocrate

Il est curieux de constater que le monde médical occidental s’est vu confronté aux cours des derniers siècles à des maladies nouvelles, variées dans leurs formes et leurs aspects, mais ayant toutes en commun un rapport direct avec une baisse générale et progressive de l’immunité de l’homme. Comme une conséquence de l’évolution de la civilisation, le cancer et les maladies psychiques se sont plus largement développés. En cette fin de siècle apparaissent de nouvelles maladies liées aux virus et, se développant parallèlement, des maladies dites « de système » : les maladies auto-immunes. En gros, notre corps s’intoxique et ne fonctionne plus correctement : il faut donc le purger. On va vraiment aller plus loin qu’une simple soustraction APPORTS – BESOINS = PERTE OU GAIN DE GRAS. On ira aussi plus loin que la logique habituelle « SI JE VEUX FAIRE UN REGIME C’EST POUR ETRE MINCE ».

 

Comprendre le problème

 

Les enzymes de l’organisme humain ne peuvent pas digérer de nombreux aliments issus de l’agriculture qui ne date que de 10 000 ans. L’agriculture moderne perturbe encore plus le processus naturel de croissance des végétaux par des apports d’éléments artificiels, comme les engrais chimiques. Il est évident que plus notre corps est intoxiqué (même s’il a une capacité naturelle à se nettoyer) moins il fonctionne bien (car souvent on l’encrasse plus qu’il ne peut se décrasser)… mais il est parfois difficile de faire un discernement entre les addictions induites par notre société, ce qui semble bénéfique et le nécessaire vital. Pourtant, un retour à l’alimentation saine et simple que nous avons perdue est donc bénéfique contre trois catégories de maladies :
– les maladies auto-immunes (polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, rhumatisme psoriasique, lupus érythémateux disséminé, sclérodermie, sclérose en plaques, maladie coeliaque, etc.);
– les maladies liées à un « encrassage cellulaire » (cancer, acné, fibromyalgie, arthrose, migraine, psychose maniacodépressive, dépression nerveuse, diabète de type 2, spasmophilie, etc.);
– les maladies d’élimination (psoriasis, urticaire, bronchite chronique, asthme, colite, fatigue, etc.).

 

Arrêter de s’intoxiquer

 

Je commence par parler de ce qu’il faudrait éviter de manger. Parce que c’est ce qui nous affaiblit, nous fatigue pour rien, et nous détraque à terme.

Exclure les laits d’origine animale (vache, chèvre, brebis) et leurs dérivés (beurre, fromage, crème, yogourt, crème glacée), ainsi que tous les produits contenant entre autres ingrédients de la poudre de lait. Le lait ne convient pas aux adultes pour plusieurs raisons : sa fonction première est de faire engraisser un bébé animal en quelques mois, ses protéines sont allergènes et sa teneur en calcium est trop élevée. Il contient en outre beaucoup d’hormones. Aussi, plusieurs adultes ne produisent plus de lactase, l’enzyme qui décompose le lactose (glucide du lait). Donc : soit une difficulté inflammatoire de digestion, soit une intolérance totale. Au niveau des laits végétaux, le lait d’amandes c’est bien (sans saloperies ajoutées) mais méfiez-vous du soja.

Exclure les céréales modernes : blé, maïs, seigle, orge, avoine, kamut et épeautre. Il s’agit de céréales contenant du gluten (sauf le maïs) et dont les formes actuelles ont été obtenues par sélection, transplantation, hybridation ou modification génétique. Eviter ces céréales ainsi que tous les aliments qui en sont dérivés (pain, pâtes alimentaires, pizza, gâteaux) parce qu’ils sont difficiles à digérer. Les céréales contenant du gluten pourraient entraîner chez certaines personnes des intolérances (ou inflammations) et des réactions auto-immunes. D’ailleurs, d’un point de vue strictement scientifique, les céréales sont pauvres en nutriments, comparées à d’autres aliments comme les légumes.​ Elles sont aussi riches en une substance appelée acide phytique, qui empêche l’assimilation de minéraux essentiels dans la paroi intestinale. De nos jours beaucoup de personnes sont sûrement intolérantes aux céréales sans même le savoir. Il serait préférable d’utiliser des céréales qui n’ont pas été altérées au fil du temps en terme d’hybridation : riz complet, sarrasin, millet, et éventuellement le grand épeautre (qui remplace le blé traditionnel).

Exclure les produits cuits à une température supérieure à 110 °C. Consommer surtout les aliments crus ou, au besoin, les cuire à une température inférieure à 110 °C afin de limiter la dénaturation des nutriments entraînée par la chaleur (dont les vitamines, les oméga-3 et la plupart des antioxydants). À une température plus élevée, des composés chimiques qui ne sont pas nécessairement assimilables par l’organisme peuvent apparaître. Éviter surtout la cuisson au four micro-ondes qui produit une agitation thermique extrême.

Exclure les huiles extraites à chaud ou cuites. Les procédés industriels de fabrication des huiles et des margarines sont susceptibles de les dénaturer. Les matières grasses raffinées et modifiées le sont industriellement pour une longue conservation. Ce procédé rend toxiques ces matières grasses car l’intestin et le corps en général ne sait pas les gérer et les stocke. Pas de beurre même bio dans cette logique qui exclut les produits laitiers…Il faudrait remplacer le beurre, la margarine et les huiles raffinées par de l’huile d’olive vierge, de l’huile de colza, de l’huile de noix et de l’huile de noisette issues de l’agriculture biologique. Manger régulièrement des poissons des mers froides pour leur apport en acides gras oméga-3 (si d’élevage : éviter).

Consommer des aliments biologiques. Privilégier les aliments certifiés biologiques pour tirer avantage de leur qualité nutritionnelle, pour limiter les risques potentiels associés aux pesticides et pour éviter la pollution de l’agriculture conventionnelle avec ses additifs chimiques, ses antibiotiques vétérinaires et l’alimentation très douteuse des animaux. Eviter aussi les procédés de l’agriculture conventionnelle et du conditionnement industriel, extrêmement toxiques pour notre corps qui le soumettent à une agression qui finit par le dépasser. Les aliments biologiques éliminent en grande partie, la composante pollution de notre alimentation moderne et c’est toujours ça de gagné sur les terrains pathologiques potentiels de notre corps. Pour moins de risques, choisir des aliments de saisons produits si possible le plus proche de notre lieu de vie.

Se déshabituer du goût sucré. Il n’est pas naturel pour l’homme : ce qui est agréable à nos sens n’est pas pour autant adapté à nos enzymes. Notre alimentation trop riche en sucre et en protéines a modifié la flore normale de l’intestin et favorisé le développement d’une flore de putréfaction pathogène, agressive pour l’organisme à cause des toxines qu’elle contient. Cet état a des répercussions sur l’état général et aggrave les maladies de système en favorisant l’emballement du système immunitaire. Enfin, le manque chronique de certaines vitamines et de certains oligo-éléments a, à la longue, provoqué une acidification de l’organisme (par blocage des chaînes du catabolisme au niveau de certains acides, ne pouvant aboutir aux produits terminaux par manque de catalyseurs) fragilisant l’organisme et provoquant une fatigue chronique, une plus grande sensibilité aux infections et exacerbant les phénomènes douloureux. En plus, le sucre est une drogue. Évitez donc les aliments qui ont un faible rapport volume/calories comme les glaces ou les bonbons. Éliminez aussi les calories liquides comme les sodas sucrés ou les jus de fruits (ou faites-les vous-même). Buvez plutôt de l’eau de qualité (si possible filtrée : osmose inverse…). Évitez également l’alcool qui contient encore plus de calories que les graisses. En outre, pour les sportifs, il a été prouvé que l’alcool ralentit la croissance musculaire.

Evitez les drogues. Je ne parle pas forcément des drogues dures (c’est une évidence qu’il faut les éviter) mais même le café, l’alcool, les médicaments et compléments alimentaires chimiques et la putain de cigarette.

Diminuer la consommation de produits animaux : Privilégier une alimentation vivante (noix et graines crues ou germées, fruits crus ou séchés, légumes crus ou lacto-fermentés,…) Les produits animaux quant à eux, consommés trop souvent, peuvent selon l’Ayurveda drainer les oligo-éléments des os et muscles à long terme chez certaines personnes et dans certaines conditions.

Mangez pour vivre, ne vivez pas pour manger. Vous pourriez être surpris de découvrir que vous mangez beaucoup ou très peu sans vous en rendre compte (force de l’habitude).

 

Quoi d’autre ?

 

Vos variations d’humeur et votre plastique dépendent de ce que vous mettez dans votre corps. On est ce que l’on mange puisque notre corps ne cesse de mourir et de renaître grâce aux nouveaux apports. Alors, essayez de vous nourrir comme il faut 80-90% du temps même si vous êtes occupé. Par exemple, 30/35 repas par semaine. La volonté est la clé.

« Faites attention à la façon dont vous vous sentez plus qu’à ce que votre physique et vous trouverez encore plus de raisons de suivre ces règles diététiques sur le long terme » (Taylor Kitsch).

Le corps est un tout. Hormis la spécificité que représente le système nerveux, avec son omniprésence de lipides et donc la protection nécessaire qu’il faut y apporter, les bons aliments pour nos cellules restent les mêmes, qu’elles se trouvent dans notre cortex ou ailleurs. Nos mauvaises habitudes ont donc des répercussions à tous les niveaux… HEUREUSEMENT, nos bonnes aussi.

Les résultats de nombreuses études montrent qu’en prenant soin de son corps, on peut :
– diminuer la mauvaise agressivité, les coups de fatigue, les trous de mémoire, le stress ;
– améliorer ses capacités de socialisation ;
– améliorer ses résultats scolaires, ses idées, son inspiration, sa concentration ;
– améliorer la qualité de son sommeil.
On peut imaginer les bonnes conséquences que ces améliorations auront sur votre capacité à séduire. Cependant, il faut compter plusieurs semaines de modification de votre mode de vie pour obtenir des résultats stables sur le long terme.

« La structure et le fonctionnement du cerveau, comme ceux de notre cœur, changent, s’améliorent ou se détériorent selon l’alimentation de la personne, les médicaments qu’elle prend et l’exercice qu’elle fait. C’est un organe d’une plasticité étonnante qui croît, rétrécit et change de forme en fonction des circonstances. » Jean Carter, spécialiste américaine de nutrition.

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C’est donc un choix : celui de considérer que notre corps peut très bien se débrouiller tout seul avec ce qu’on lui donne et… advienne que pourra (il a d’énormes capacité d’adaptation). Ou on peut faire le choix, plus rationnel à mon sens, de lui apporter un petit coup de pouce au quotidien grâce à l’alimentation qui joue un rôle primordial à tous les niveaux.

Première chose à savoir : il existe les bonnes et les mauvaises graisses. Les mauvaises, les graisses saturées, détériorent l’état du corps et notamment du cerveau. Il faut donc éviter la junk food. Il faut aussi virer de ses placards tout ce qui contient des acides gras trans, des acides gras saturés et des matières grasses hydrogénées. Si on mange de la viande, plutôt blanche… et pas souvent (1 fois par semaine). La question « mais où c’est qu’on trouve des protéines alors ?! et je vais avoir des carences » est un non-sens.

Les antioxydants nous protègent des radicaux libres qui attaquent le cerveau, ils forment une sorte d’armure biologique sous nos cieux pollués. On en trouve dans la vitamine C (persil, poivron, kiwi), la vitamine E (poissons, crustacés, œufs), le carotène (carottes, tomates), les polyphénols (raisin, vin rouge, thé)… Il est donc conseillé de manger : des fruits et des légumes (surtout des épinards frais et bios), oignons, ciboulette, persil et thym crus, curry et curcuma avec du poivre, cannelle, gingembre, artichauts, famille du chou, mâche, avocats, concentré de tomates, haricots rouges, tomate surtout cuite, ail, aubergine, des fruits rouges (fraises, framboises) et violets (myrtille, mûres, raisin, prunes, pruneaux, airelles, raisins secs, baies de Goji), le pamplemousse rose. Il a été prouvé qu’une demi-tasse de myrtilles chaque jour augmente l’équilibre, la mémoire à court terme et les capacités de coordination. Le chocolat, pour être bon, doit être noir, riche en cacao, et pauvre en graisse ajoutée. Truc : manger un carré de chocolat avant un RDV permet d’être de meilleure humeur. Le thé doit être choisi de qualité, et infusé au moins 5 minutes pour jouir de 85% de ses capacités antioxydantes, 10 minutes pour 100%. 10 portions de fruits et légumes par jour est un minimum.

Pour bien se porter, on a besoin de sucres. Mais le glucose en excès est aussi mauvais que si on en est carencé. On se méfiera donc des hydrates de carbone : sucreries, féculents, barres chocolatées.

La réaction de yoyo causée par les apports en sucre à indice glycémique élevé endommage le cerveau. Il faut donc éviter : le sucre et les farines raffinés, le pain blanc, purée pomme de terre, sucreries, alcool, tabac, café, certains médicaments comme l’aspirine et le paracétamol, les bêta bloquants et certains antibios, les métaux lourds dans les vaccins, les produits précuits, les céréales du petit déj, purée en flocons, biscottes, yaourts, boissons gazeuses, confiture, carrés de sucre blanc qui encrassent l’organisme. Eviter absolument le grignotage. On mangera plutôt du miel, du riz Basmati car l’indice glycémique est le plus faible. Si on est obligé de manger des trucs à indice glycémique élevé, on le mélange à des indices glycémiques faibles pour équilibrer, salade et jus de citron peuvent également aider.

Les études ont montré que moins on brûle de calories dans sa vie, moins nos cellules sont endommagées. En gros plus on mange, et surtout plus on mange mal, et plus on vieillit vite. Une restriction calorique d’environ 30% par rapport aux besoins que les gens croient en général avoir est donc bénéfique.

Eviter les colorants et conservateurs (ça paraît évident mais il faut privilégier des produits frais et de qualité).

Saviez-vous que…
– vos goûts et vos dégoûts son « acquis » et non « innés » ? En gros, vous êtes conditionné par votre expérience de la vie. Ceux qui croient que ce qui est bon pour la santé est forcément mauvais au goût et inversement sont en fait dénaturés.
– quand on a trop de choix pour se nourrir, comme dans notre société actuelle, on a du mal à voir ce qui est bon pour nous.
– même si on n’a pas de déficiences à proprement parler, si on augmente les taux de vitamines et d’antioxydants dans le sang, on augmente ses facultés intellectuelles, on diminue les risques de déprimes et de maladies, on limite la dégénérescence due au vieillissement, on est de meilleure humeur, on augmente ses capacités d’apprentissage, sa mémoire, son attention, ses temps de réaction.
– il serait très bon pour la santé de faire un décrassage (diète, cure d’argile et/ou jeûne) au moins une fois par an (les religions en parlent et c’est pas pour rien).

Il est primordial de ne pas attendre d’avoir soif. Boire plutôt de l’eau plate à température ambiante. Plutôt en dehors des repas (sinon ça complique la digestion) et sans nitrates (qui diminuent l’oxygénation du sang – voir l’étiquette).

Le thé est un très bon antioxydant à condition de vérifier qu’il ne contient pas d’aluminium. Le thé vert en particulier, à condition de le laisser infuser dix minutes. On peut mettre du citron dedans mais surtout pas de lait ni de sucre. Ne pas boire de thé en fin de repas si on est carencé en fer sinon c’est bien de le faire.

Le vin : plutôt rouge, un verre le midi mais si on peut éviter c’est mieux. Sans sulfites.

A jeter : les boissons sucrées, pétillantes ou pas, cannettes, sodas… En plus d’être mauvaises, le cerveau a du mal à comptabiliser les calories absorbées sous forme liquide.

Le cas du café : son effet dépend des personnes mais il rend addict et fragilise les os. 1 tasse par jour si vraiment on aime ça, c’est tolérable. Attention de ne pas en prendre en cas d’angoisses, de problèmes de sommeil, d’ostéoporose.

Eviter à tout prix :
– les matières grasses hydrogénées, l’huile de palme,
– les friandises, sodas, sirops de maïs, le carré de sucre blanc,
– les sucres à indice glycémique élevé,
– l’alcool qui détruit les cellules cérébrales,
– le glutamate (restaus chinois) : risque neurotoxique,
– les pesticides, fongicides, additifs, colorants et conservateurs qui donnent des tumeurs au cerveau « E-qqchose sur l ‘étiquette » (on privilégiera donc les produits frais et de qualité),
– les addictions qui favorisent le vieillissement de l ‘organisme.

L’oxygénation est primordiale : prendre l’air, promener calmement, faire du sport dehors, attention quand même aux endroits trop pollués.

J’entends déjà les bienpensants dire : « ouais mais y a des pays où que ce sont les gens gros qui sont considérés comme attirants car ça évoque la richesse et tout ». Je leur répondrai : dans les pays dont vous parlez, le peuple est pauvre et crève de faim, c’est ça leur plus gros danger. Dans nos pays, les gens riches et intelligents mangent bien et ont les moyens de prendre soin d’eux. Ils sont attirants car sont en forme, en bonne santé. Je ne pense pas que l’homme préhistorique était obèse : il n’était pas confronté à la malbouffe et devait faire des efforts pour se procurer de la nourriture. Chez nous, ce sont les moutons, ceux qui ne sont pas doués d’esprit critique, les victimes de la pub, et les pauvres qui se rabattent sur la malbouffe et ont du bide. En deux mots: ce qui est attirant, c’est la possibilité d’être un bon géniteur. Un homme en forme est un potentiellement meilleur géniteur qu’un pauvre homme souffrant de malnutrition ou qu’au contraire un gros lard plein d’acides gras saturés.

 

La dentition

 

Nos dents ont un grand impact sur notre physiologie. Il est donc primordial d’avoir une hygiène buccale correcte et d’aller voir son dentiste de manière régulière. On en aura d’ailleurs de moins en moins besoin si on mange mieux.

 

Les critiques

 

« Son régime ne l’a pas empêché d’avoir un cancer du pancréas, le docteur Seignalet ». C’est certainement la critique la plus juste, mais elle s’explique facilement pour qui connaît le fonctionnement de cette glande que nous ne respectons pas suffisamment car elle est fragile. Le fait de consommer presque exclusivement des aliments crus pouvait forcer son pancréas. C’est pourquoi il faisait venir de l’étranger des comprimés chargés d’enzymes qui devaient le soulager et aider à la digestion tant de la partie protéique des viandes que des graisses plus ou moins cachées qu’elles contiennent. En réalité, il s’est certainement intoxiqué de pré-enzymes qui ont fatigué son pancréas au point de stimuler des cellules dormantes qui se sont multipliées à l’excès, jusqu’à diffuser vers le foie et les ganglions de la zone autour du pancréas. On évitera…

« C’est trop prise de tête ». C’est vrai que c’est compliqué de ne pas se laisser bouffer par la société. Mais ça en vaut le coup non ? Faites gaffe quand même à ne pas tomber dans l’excès inverse : les frugivores et les crudivores. Je respecte Thierry Casasnova et ses adeptes mais j’ai bien peur que, comme tous les excès, ce soit ingérable. Surtout en société et pour un homme qui veut séduire. Il y a déjà des dérives : y’a des gens qui croient que si t’es malade c’est parce que t’as mangé deux aliments qui ne se mélangent pas normalement comme du pamplemousse et des tomates (c’est vrai que mélanger certains types d’aliments peut perturber la digestion mais faut rester raisonnable… tout le monde fait ça). Bref, ils expliquent tout par la bouffe. C’est une dérive parce que c’est des gens qui se croient supérieurs (tant qu’ils sont en bonne santé), qui donnent des leçons (parce qu’ils sont en bonne santé et pensent qu’ils le seront toujours) et croient qu’ils ne risquent rien (alors que c’est FAUX). Ne tombez pas là-dedans pour vous donner bonne conscience ou pour appartenir à un groupe. Comme toujours : pensez par vous-même. Par exemple, vous devriez manger des saloperies à l’occasion, parce que sinon votre corps s’en déshabituerait et vous deviendriez malade si vous étiez obligé d’en manger un jour ou l’autre pour une raison ou une autre.

Il est illusoire de vouloir changer le monde et les autres. Comprendre qu’il faut d’abord se changer est faire preuve de sagesse. Or commencer à mettre de la conscience dans son alimentation est le début d’un changement. C’est se responsabiliser au niveau de sa santé.
Conscience et responsabilité doivent devenir les deux mots d’ordre de notre époque en ce qui concerne notre santé. Cette responsabilité d’abord individuelle par une alimentation saine, une vie saine, la prise de vitamines et d’oligo-éléments aux changements de saisons pour faire contrepoids aux pressions de la vie moderne. Enseigner une alimentation saine à ses enfants, qui préservera leur santé dans le présent et l’avenir. Et comprenez bien que sans la santé, même en séduction, vous ne feriez pas grand chose.

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1 commentaire pour “L’alimentation”

  1. Il est dommage de se priver des graisses animales.
    Nos ancêtres en mangeaint rarement car ils devaient tuer la bête eux-mêmes.

    Aujourd’hui nous pouvons en manger plus qu’eux et on ne doit pas s’en priver, eux ne l’auraient pas fait 😉

    Seul bémol : choisir dans la mesure du possible des viandes d’animaux élevés à l’herbe et non aux grains.

    En effet grains => inflammations => baisse de l’immunité et inflammation systémique chez la bête => antibiotiques + anti-inflammatoires qui se retrouvent dans la viande.

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