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Le dolorisme

Le dolorismeLe dolorisme, la passion de la souffrance morale et physique, l’incapacité à remettre en question les cartes qui ont été distribuées, sont des choses absolument détestables.

Aspirer à vivre le plus heureux possible et s’en donner les moyens devrait être le but ultime. Mais le bonheur a un prix. Etes-vous prêt à quitter votre vie inconfortable mais rassurante pour le payer ?

Nombre d’entre nous sont prêts à affronter des souffrances inimaginables pour éviter un effort un peu piquant mais apte à donner joie, confiance en soi et vie sexuelle épanouie. C’est de la démence !

Personne ne meurt de se faire jeter par une nana. Ni même par 20. Par contre, on peut crever de solitude.

« Je préfère crever que de m’apercevoir que la vie n’est pas conforme à mes rêves et espoirs… » ce genre de phrase mérite un grand coup de pied au cul!

La vie peut être plus terrible que le pire de vos cauchemars et plus merveilleuse que le plus fabuleux de vos rêves. Tout dépend ce que vous en faites.

La séduction n’est pas une compétence purement intellectuelle parce qu’elle vous oblige à sortir de votre petit monde intérieur. La séduction vous met au pied du mur. Elle vous oblige à vous coltiner la réalité. L’autre.

Et c’est un défi vraiment exaltant. Surtout si, jusque-là, la vie ne vous a pas fait de cadeaux.

Qu’apprenez-vous en abordant des inconnues sous des prétextes les plus divers? Que l’on se fasse jeter ou bien accueillir, on n’en meurt pas. On se tape parfois la honte. On fait parfois de merveilleuses rencontres qui nous font oublier les mauvais jours. C’est le jeu. On s’amuse. On ne maîtrise pas tout.

Puis, on apprend finalement à être à l’aise. Ou à faire semblant de l’être jusqu’à ce qu’on le soit vraiment. « Fake it until you make it », conseillent les anglo-saxons…

Un vrai plaisir de séducteur, c’est de faire naître un sourire chez une femme que l’on ne connaît pas encore. Puis, tout l’art de la séduction consiste à amplifier la réaction positive que l’on suscite. Le tout, sans insister comme un gros blaireau.

L’homme et la femme sont, sur ce point, assez différents. En général, le désir masculin peut s’enflammer très rapidement, comme un bouton que l’on perce. Le désir féminin peut être tout aussi intense, mais monte en général plus doucement (pensez à  la molette qui règle le volume d’une télé).

On tourne les premiers crans en montrant de l’attention et de l’intérêt à l’autre (et en « émettant du bien-être »). C’est la base de tout. La  suite est tout aussi simple mais comporte un éventail de possibilités que vous n’apprendrez à maîtriser que petit à petit. De la plus directe à la plus raffinée façon de procéder.

La plus simple est la franchise. C’est tout bête, mais un mec cool qui vient dire à une fille qu’elle lui plaît et qu’il aimerait la revoir dans un autre contexte, ça a l’avantage du courage, de la franchise… bref, c’est à mille lieues des gros lourds qui font des propositions plus ou moins salaces et des baveux qui tournent habituellement autour du pot.

Note : Vous n’êtes peut être pas au courant, mais les nanas se font beaucoup plus aborder que nous, et les trois quart du temps par des nazes. Un type cool et franc, ça plaît, en général. Ce n’est pas la victoire assurée à tous les coups, mais pour une jeune fille avec laquelle le courant passe, c’est amplement suffisant. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?…

« Moi, je n’oserai jamais » rétorqueront certains, comme un bouclier de défense les empêchant de se bouger le cul. Si votre idéal dans la vie est de crever en ayant aimé en secret, libre à vous… Personnellement, effectuer ce genre d’aveu m’a libéré. Quand j’ai pris conscience de ça, j’ai arrêté de laisser passer les opportunités en ne tentant rien…

 

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 OBJECTION !

« Tout ce faux-semblant juste pour amener une pauvre femme dans son pieu…! »

Oui, c’est naze de devoir travailler si dur sur soi-même pour plaire aux femmes qui sont par nature si généreuses, si pures, si solidaires et si franches…

Les femmes sont tellement meilleures que les hommes… tellement plus compréhensives… Putain, que de conneries !!! Encore une pensée de niais bienpensant qui doit mettre les femmes sur un piédestal et croire que les mecs de la communauté de la séduction sont de vilains manipulateurs.

Les femmes ne sont strictement pas meilleures que les hommes. Elles peuvent même être encore plus cruelles. Le pire ennemi d’une fille est d’ailleurs en général une autre fille, plus jeune, plus intelligente, différente…

Ne vous en déplaise, les femmes ne sont même pas moins cruelles que les hommes. Elles sont, pour la plupart, moins violentes directement mais sont les premières en ce qui concerne, par exemple, la violence psychologique, la violence sur enfants ou sur personnes âgées…

Pour preuve, une étude canadienne, menée en 2001 par le Ministère de la santé du gouvernement du Canada, utilisant la définition de l’OMS, donne les résultats suivants concernant les cas de maltraitances d’enfants en milieu familial :

– Violence physique 31 %
– Abus sexuel 10 %
– Négligences 40 %
– Violence psychologique 19 %

Les auteurs de l’ensemble de ces violences sont :

– Mère biologique 61 %
– Père biologique 38 %
– Beau-père 9 %
– Belle-mère 3 %
– Famille d’accueil 1 %
– Autre membre de la famille 7 %

En France, le Service national d’accueil téléphonique pour l’enfance maltraitée publie des statistiques très fiables aussi. En effet, cet organisme, qui reçoit chaque année 700 000 appels lui signalant des maltraitances, procède à des vérifications, et ne procède à des « transmissions » aux Conseils généraux que pour les cas les plus crédibles, exigeant un suivi social et judiciaire : environ 9 000 par an. Dans son rapport 2006, les statistiques, qui confirment celles des années précédentes, établissent que les auteurs des mauvais traitements signalés sont, en pourcentage : la mère (52,3 %), le père (29,6 %), le beau-père (7,8 %), les autres catégories étant toutes à moins de 2 %. Et par sexe : des femmes (56,3 %), des hommes (43,2 %), les autres cas n’étant pas définis.

Pour information, voici mon avis sur ce qu’est un Pick-Up Artist (et je suis bien placé pour en parler je pense) : il y aura toujours des gens pour dire que les PUA ne sont pas, au fond, des gens équilibrés et qu’ils cherchent à fuir un malaise profond. C’est vrai et faux selon les cas. Certains PUA ne sont pas des modèles de paix intérieure, d’autres le sont plus que la majorité des gens. L’idéal d’un vrai PUA est cependant de s’améliorer sans cesse, de trouver une voie d’équilibre et de respect dans ses relations sexuelles et sociales. La séduction va plus loin que le simple fait d’ajouter des femmes à son tableau de chasse : c’est une manière de trouver sa propre identité, de se situer dans les rapports à l’autre et de gagner en maturité. Pour beaucoup, c’est un moyen quasi thérapeutique de vaincre la timidité et de parvenir à s’affirmer en société. Être un pick-up artist, selon moi, c’est enfin respecter un code éthique : nous ne sommes pas des connards sans cœur… et ceux qui se comportent de la sorte sont encore loin d’avoir fini leur apprentissage.

Je le répète : la séduction est une école de développement personnel. Cela consiste à prendre du pouvoir sur sa propre vie, et à utiliser la drague comme un outil de réflexion.

A la lumière de ces éléments, je ne comprends vraiment pas pourquoi tant de gens critiquent la communauté de la séduction. Ou plutôt, je le comprends trop bien… la jalousie !

Extrait de : Les bases de la séduction

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