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Le lien entre Comfort & Sexualisation

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Dans cet article, je vais vous parler de la relation qu’il existe entre le comfort et la sexualisation. Ce sont un peu les deux faces d’une même pièces…

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Sexualisation et comfort en séduction

J’ai une réputation de player agressif qui me suit comme un chien suivrait une meuf pour lui renifler le cul. Je veux dire par là que je suis un de ceux qui sexualise le plus… et le plus rapidement. Disons que mon message global est que je conseille d’essayer d’être « offensif » avec les meufs afin de se rendre rapidement compte s’il y a moyen de la baiser ou pas. Je n’aime pas les relations qui traînent en mode incertitude.. ni la friendzone. J’ai également le next facile.

 

La fast seduction

La base de ma technique c’est sexualisation en mode fast seduction, on améliore son % de réussite en faisant du développement personnel. Ensuite quand on baise la meuf, on utilise les skills de sexe pour la baiser super bien qu’elle ait envie de nous revoir et qu’elle devienne accroc ou alors on enchaîne simplement les FuckCloses.

Ca marche bien sur certaines meufs, d’aller droit au but. Mais la sexualisation fonctionne mieux avec des filles quand il y a quand même un peu de comfort construit avant… plutôt qu’avec des inconnues attrapées à la volée et cold-sexualisée. Par exemple, quand je suis avec mes potes et qu’une amie d’ami que je ne connais pas est là : je discute d’abord normalement, puis sans transition, j’envoie une grosse pique (avec le sourire). Si elle réagit avec un sourire en retour, et me sort un truc genre « t’es un connard » tout en me donnant un petit coup de poing sur l’épaule, je continue mon manège. J’ai déjà niqué des meufs sans vraiment de comfort (comme dans ce FR) mais ce n’était pas les meilleures baises de ma vie (ni les leurs j’imagine).

Je kiffe faire genre que je manque de tact. Mais en fait, je me sers de cette technique pour tâter le terrain. Je balance un truc et j’observe les réactions. En cas de bonne réaction, je sexualise, et en cas de mauvaise, je next. Et la plupart du temps, je me tape des bons délires… que ça soit avec la meuf ou à ses dépends. Si ma sexualisation prend, je passe une vitesse (et ensuite elle jouera avec mon levier de vitesse). Ainsi, je ne prends même pas de « râteaux », au sens strict du terme.

 

Fille choquée

Quand la fille est choquée, ou indigné ou quoi, c’est là que ça se gâte. Dans ce cas de figure : soit ça vient de ma pique qui a été un peu trop forte ou de mauvais goût, soit c’est la meuf qui a un problème dans sa tête (manque de confiance, hyper-susceptibilité, mœurs hyper-coincée, etc.)

Si ma pique a été mal choisie, je dirais que sa réaction compréhensible. Faut se mettre un peu à leur place. Si une meuf que je ne connais pas me balance en soirée « putain, mais qu’est-ce que tu es moche toi », je ne pense pas que ça me ferait bander des masses ni que ça me donnerait envie de la connaître mieux ou de jouer avec elle. Il faut vraiment faire attention avec les negs. Je préfère les blagues légères et à double-sens.

Titiller une meuf, ça fonctionne bien, en général (mais y’en a pas mal qui ont aucun humour quand même). Peu importe à qui on a affaire, si on veut conclure, il faut que l’interaction reste « saine »… ça doit être fait comme dans un match de tennis ou chacun se renvoie la balle dans une ambiance cool. Cette dynamique même si elle est basé sur des piques et de la provocation est souvent propice à une levrette dans les toilettes. Mais, être « trop agressif » et « choquer une fille », si c’est mal fait… ça revient à être un gros con. La limite, c’est de se poser la question : si on se comportait de la même manière avec un mec, est-ce qu’il nous mettrait une droite dans la tronche ?

Idées qui fonctionnent :

– Faire un peu « le mec » et voir si elle rentre dans notre jeu ;
– L’ignorez un peu par moment, s’intéresser un peu moins à elle, pour la rendre folle. Un mec qui ignore une fille, ça peut faire un effet de ouf. Si elle revient vers nous, la pécho.
– Souffler le chaud et le froid, ça peut marcher aussi. Mais il faut d’abord commencer par intéresser un minimum la fille. Sinon on serait juste un mec chelou qui lui pose des questions puis qui l’ignore.

Fille qui a peur

ATTENTION ! Si une fille a peur de nous, c’est qu’on lui a renvoyé une image étrange (weirdo). Certaines filles sont nerveuses lorsqu’elles sont attirées, mais c’est une vérité absolument pas absolue. Je n’aime pas ces généralisations ! Certaines filles, surtout lorsqu’elles ne sont plus au lycée et s’affirment, cessent d’être des pucelles nerveuses lorsqu’elles sont attirées par un mec (tout comme vous ne sautillez plus sur place quand vous parlez à une meuf qui vous plait, enfin je l’espère pour vous).

L’ambiguïté, la confrontation, les sous-entendus, les allusions, le jeu, c’est fun tout ça… et ça amuse souvent les filles. Mais l’honnêteté, la rationalité, ça n’ennuie pas forcément. Une fille qui s’ennuie : c’est le pire truc qui puisse arriver, certes, mais ce n’est pas pour ça qu’il ne faut pas être honnête et sincère. Evitons les raisonnements trop binaires ! Tout n’est pas noir ou blanc dans la vie, c’est plus souvent une affaire de nuances de gris (y’en a 50 il paraît).

Les rapports humains sont bien trop complexes pour que l’on puisse affirmer que la rationalité et l’honnêteté créent l’ennuie. Ils sont bien trop complexes pour que l’on puisse affirmer quoi que ce soit, de toute façon. Oui, une punchline attire l’attention. Oui, c’est mieux d’être ambigu et de jouer… mais pour créer une connexion profonde on devra sans doute passer par une phase d’ouverture spirituelle/personnelle/psychologique. En somme, parler un peu de nos vies, de nos passions, de ce qui nous fait lever le matin. Et ça n’a rien de forcément chiant. Ca fait aussi parti du game.

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Un schéma tactique (une stratégie comme une autre mais qui illustre le propos) :

1) Pour ne pas passer pour un pervers en faisant de la sexualisation, c’est bien de montrer d’abord qu’on est accepté socialement. Quand on l’aborde dans une soirée privée par exemple, que ça soit avec une punchline ou pas, c’est bien de parler de nos amis en commun pour qu’elle soit rassurée.

2) Ensuite, on peut la titiller sur son rouge à lèvre, si on sent que le courant passe bien : « C’est le rouge à lèvre que tu mets quand tu veux pécho un mec c’est ça ? » Si elle rigole, c’est bon.

3) C’est après qu’on crée du comfort : On peut se moquer avec complicité d’un mec trop bourré qui danse comme un ver de terre épileptique. La discussion dévie sur les gens bourrés, puis sur les soirées. Elle parle d’une soirée à Amsterdam ou elle a vu un mec se vomir dessus avant de glisser sur son propre vomi. « Ah, tu es allée à Amsterdam ?
– Oui j’y ai vécu un an blablabla…
– Moi aussi j’adore voyager blablabla (connexion). »

4) Ensuite, on l’isole et on peut la retaquiner « Je te sers un autre verre ?
– Oui.
– Merde, ton rouge à lèvre laisse des traces sur le verre. C’est dégueulasse ! Viens on va en chercher un autre dans la cuisine ! »

5) On continue de la titiller un peu de temps en temps comme ça pour raviver la flamme ou pour susciter une autre petite tape de sa part sur notre épaule. Les filles me frappent souvent l’épaule en me traitant de connard. C’est cool, j’trouve. Faut dire que j’adore faire bordel (sur facebook ou dans les bars) puis pécho les meufs qui sont « bon délire ». Bon, et une fois qu’elles ont passé tous ces tests, on peut tenter de pécho sans grand risque de râteau.

 

La morale de l’histoire

La morale c’est qu’on peut emmerder un peu pour rigoler ET partager des trucs plus sincères et profonds. C’est parfaitement compatible (c’est pas du tout chiant au contraire, c’est à vous de bien raconter votre histoire et de la faire parler de trucs intéressants) mais c’est surtout SOUHAITABLE.

Il y a une théorie qui dit qu’on ne doit pas trop faire le con parce que plus une fille nous perçoit comme au-dessus d’elle en valeur, plus on peut la chopper sans game.

Je suis en partie d’accord avec ça. C’est même pour ça qu’on a inventé les DHV (démonstrations de haute valeur), le storytelling, etc. Mais je ne suis pas fan de ces techniques, je préfère le game naturel, empathique et sincère.

Comme je le dis souvent, Ian Somerhalder n’a probablement pas besoin de faire beaucoup d’efforts pour baiser. Par contre, j’suis pas sur qu’être Ian Somerhalder mais ne JAMAIS faire d’effort ou de blagues lui permette de garder une super fille très longtemps. J’ajoute une dernière réserve : ce que le field m’a appris c’est que si on est trop au-dessus ou en dessous de la valeur de la fille, on aura du mal à conclure.

 

La notion de valeur en séduction

En effet, encore une fois, mettons nous dans la peau de l’autre pour raisonner : si on voyait une célébrité comme Mélanie Laurent, on serait stressé car sa valeur serait très supérieure à la nôtre. Ca ne nous mettrait pas très à l’aise, or, comme on le sait : être à l’aise est la base de la séduction. On peut donc penser que c’est pareil pour ces dames. Une valeur trop haute, c’est pas forcément mouillant ailleurs qu’au cinéma. Comment réagiraient-elles en face de l’acteur sur qui elles fantasment ? Elles se chieraient probablement dessus.

L’idéal de valeur est donc un peu au-dessus de sa valeur à elle. Du moins, je parle votre valeur perçue, votre valeur projetée par rapport à la valeur qu’elle se donne dans sa tête. Car le but du game, c’est quand même de se taper des meufs mieux que nous. De réaliser des plus-values. En tout cas, c’est ma vision du truc. Faut toujours jouer la league supérieure. Si on est déjà super beau, super riche, super tout, désolé mais on n’a aucun mérite à se taper des mannequins. Ca aussi, c’est ma vision du truc. Le game est fait pour que des mecs pas exceptionnels se tapent dans des circonstances exceptionnelles des filles super !

Après c’est sûr que, Mélanie Laurent, j’irais sans hésiter. Mais parce que j’ai travaillé sur moi-même pour avoir plus de culot !!!

A + les playboys !

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