Je donne des cours de sexe
Le 1er décembre 2012,
J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne c’est que j’me suis fait sucer. La mauvaise c’est que c’est par la fille de la semaine dernière, celle avec qui j’m’étais dit que j’irais doucement. Elle m’avait vraiment plu alors on est restés en contact durant toute la semaine et j’ai fait un effort considérable pour traîner mon cul dehors ce soir. Pourquoi un effort considérable ? Parce que je me suis tapé une sale angine toute la semaine et j’viens à peine de redescendre à 37°C (j’étais chauuuuuuuuud) ! Vous me connaissez, je pars du principe qu’on a rien sans rien et que les efforts sont récompensés…
Sauf qu’en arrivant au RDV… ben, elle me plaisait moins. Pas le caractère hein (elle me faisait toujours autant rire), mais j’sais pas si c’est parce qu’elle était habillée différemment ou quoi mais physiquement elle m’a moins plu. J’suis moins sûr de mon coup de coeur, déjà. Enfin j’me dis que peut-être c’est parce que je l’ai idéalisée depuis samedi dernier et que, forcément, le retour à la réalité, ça fait mal… Entendons-nous bien, elle est jolie quand même mais j’sais pas… l’euphorie de la rencontre a dû se dissiper.
Bref, on a mangé une crêpe et j’me suis renversé du sucre sur la veste. Alors on est allés chez moi pour que je passe un coup d’éponge puis comme elle trimballait un gros sac, j’lui ai dit qu’elle pouvait le poser dans un coin et le récupérer en partant. Sauf qu’une fois mouillé mon manteau, il a fallu attendre que ça sèche. Alors on s’est chauffés contre le mur de la cuisine. Au bout d’un moment, j’lui ai retiré son pull, pour voir. Je l’ai ensuite téléguidée jusqu’au couloir, y ai enlevé son t-shirt. « Mais qu’est-ce que tu fais ?
– J’enlève ton t-shirt. »
Petit à petit, on a déambulé jusqu’à ma chambre alors elle a fait une petite résistance en s’accrochant à la porte. J’lui ai demandé si elle avait un problème, elle a répondu « ça dépend ce que tu comptes faire ». J’ai expliqué que j’voulais prendre mon temps avec elle, que rien ne pressait mais que je voulais profiter du temps qu’elle était là parce qu’après j’allais plus la voir pendant 3 semaines à cause de son concours de médecine. J’étais sincère. Sauf que ça a eu pour effet d’accélérer les choses, à mon avis : c’est ça, la fameuse logique des princesses…
On s’est bécotés sur mon lit (qui dit encore « bécotés » ? Moi !), j’ai enlevé son soutien-gorge et elle m’a averti « il y a une chose que je veux bien faire, mais je veux qu’on ferme la porte. » Je lui avais déjà dit que mon coloc’ était à Amsterdam mais c’était pas le moment de discuter « Oui, oui, si tu veux ». Elle a tant bien que mal fermé la porte parce qu’elle était troublée puis a ouvert mon pantalon et s’est mise au travail.
J’ai eu droit à une pipe originale : j’sais pas bien ce qu’elle faisait avec sa main, certains doigts me caressaient les couilles tandis qu’un autre tournait autour de mon anus. Quel crétin a pu lui dire que c’était bien de faire ça ? J’avais qu’une peur c’était qu’elle me l’enfonce dans le rectum. Heureusement, elle a juste caressé. Sinon, c’était bien… J’ai quelques autres anecdotes à raconter à propos de cette pipe : j’ai éjaculé environ un litre mais elle ne s’est pas aperçue que j’avais fini. Puis, elle m’a demandé plein de conseils. C’est là que ça a fait TILT dans ma tête : cette meuf cherche un mentor. Un mec qui va lui apprendre plein de trucs et lui fera prendre son pied en toute simplicité. Elle fait d’une pierre deux coups. J’crois que j’viens de signer un contrat de « Sex instructor » : la première leçon était gratuite ma puce, mais la prochaine fois tu vas prendre tarif ! Sinon, j’la kiffe la petite, j’viens de la raccompagner au taxi.
J’crois que j’vais jouer à Starcraft maintenant. Que le Dieu du Game soit avec vous.