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Les Last Minute Resistances et le viol

 

Les Last Minute Resistances et le violPartie 1 : Les résistances de dernière minute

 

A/ Définition

La RDM ou LMR est quelque chose d’assez difficile à définir dans l’absolu.

C’est par exemple, lorsque vous êtes en boxer et que la fille est en string sur le lit, que vous vous embrassez pépères… mais qu’elle ne veut subitement plus faire l’amour.

En gros, c’est quand tout semble bien se passer pour vous deux… mais qu’au moment de passer à la vitesse supérieure : la fille ne voulait finalement plus. Comme si elle avait soudainement changé d’avis. Mais est-ce vraiment le cas ? A part si vous embrassez terriblement mal, il n’y a pas de raisons. Si vous soupçonnez que ça peut être le cas pour vous, n’hésitez pas à lire Le guide du bon coup ou à regarder mon chapitre sur le sexe dans la conférence Les rois du field.

Je pense qu’il s’agit le plus souvent d’une angoisse que peut d’ailleurs ressentir tout être humain au moment de coucher… surtout quand c’est avec une nouvelle personne. Les filles y sont plus sujettes et on le comprend aisément quand on sait à quel point elles sont fortes pour se prendre la tête et se gâcher la vie à cause de détails sans importance (comme le fait que leur pubis ne soit pas rasé de près pour l’occasion).

La différence entre une  fille qui fait une résistance et une fille qui n’a réellement pas envie de nous c’est que : la fille qui fait « juste » une résistance est chaude comme la braise mais ne peut s’empêcher de la jouer « farouche ». Elle est trempée mais ne veut pas coucher. Tandis que celle qui n’a vraiment pas envie se braque, nous dit « non » plusieurs fois, etc.

B/ Comment réagir

Si vous en êtes arrivés à ce stade : déjà, bravo pour le chemin parcouru ! Car n’oublions pas que vous avez quand même rencontré une inconnue, que vous êtes allé lui parler, et que vous avez réussi à lui donner envie d’être dans le même lit que vous. Mais comment faire pour aller jusqu’au bout lorsqu’elle nous fait un LMR ?

En premier lieu, on n’a pas le choix. Et même si c’est frustrant, il faut arrêter nos assauts pour ouvrir un dialogue. Il faut voir où ça bloque et pourquoi. Dans tous les cas, nous devons rester dans le cadre d’une relation consentie, pas question de violer qui que ce soit ! Les PUA sont des gentlemen modernes !!!

J’ai quelques fois rencontré ce genre de blocage, mais heureusement ça n’arrive pas à chaque fois. Alors, parfois c’est surmontable mais parfois non. Cependant, il faut savoir que si vous arrivez au stade des préliminaires, mais que cette angoisse se déclenche et qu’il ne se passe rien après avec la femme, elle risque de rester sur cette image négative associée à vous : ce qui lui coupera toute envie de vous revoir. Une fois, je me suis amusé à faire une LMR à une fille, comme ça, juste pour rigoler. Mais elle l’a très mal pris, ça l’a vexée et elle ne m’a plus jamais répondu au téléphone après.

Le plus souvent, les justifications que les nous servent sont en général :
« Je trouve qu’on va trop vite. »
« Je n’ai pas beaucoup de temps devant moi aujourd’hui. »
« Je ne suis pas une fille comme ça. »
« Je ne te connais pas assez. »
« Pas le premier soir. »
« J’ai mes règles. » (parfois c’est vrai mais c’est souvent une connerie… ceci dit, parfois elles sont d’accord pour le faire quand même sous la douche ou avec une serviette sous les fesses)
« Je ne suis pas épilée. »
« Chez moi c’est le bordel alors je ne veux pas que tu montes. »
« Je ne peux pas, c’est compliqué, je ne peux pas t’expliquer mais c’est pas toi c’est moi. »
« Je pense encore à mon ex, je ne suis pas dedans. »
« Je veux rester vierge jusqu’au mariage. » (ça se respecte)
« Pourquoi moi et pas une autre fille ? »
« Qu’est-ce qui me dit que tu vas me rappeler après ? »

Au début, j’essayais d’argumenter, de leur démontrer calmement et de manière réfléchie combien ce type de réaction est absurde. Mais elles l’ont très rarement admis.

En fait, il faut savoir qu’elles ne donnent pas toujours les vraies raisons de leur blocage. Parce que c’est une réaction en partie inconsciente : elles ne comprennent même pas toujours ce qu’il se passe en elles. La psychologie évolutionniste entre également en jeu : leur instinct les met en garde contre les risques de MST, d’enfantement, etc.

Le blocage peut parfois céder si on l’excite à fond, si la logique cède face à l’émotion. Pour cela, dès qu’elle vous tape sur les doigts : prenez une minute de repos, argumentez et travaillez-la au corps à nouveau. Ca peut marcher si vraiment elle a envie et que vraiment c’est par principe qu’elle ne couche pas le premier soir. Cependant, chez certaines personnes, l’esprit rationnel est plus fort que l’esprit émotionnel et c’est donc très difficile pour elles de se lâcher… surtout avec un inconnu.

Une autre bonne solution consiste à la rassurer et à réessayer plus tard. Si vraiment c’est parce qu’elle n’est pas épilée qu’elle ne veut pas baiser, on peut lui dire qu’on s’en fout de ce détail et qu’on la désire toute entière. Ca pourrait la débloquer ! Attention : les femmes peuvent se braquer et se déchauffer pendant le dialogue.

La troisième bonne idée est ma préférée, c’est un mixe des deux premières. C’est celle dont je parle dans La vérité (qui dérange) sur les relations hommes/femmes : la rassurer verbalement pour l’aider à dominer ses blocages mais la chauffer avec nos mains, pour voir comment elle réagit.

Certains coachs conseillent de tenter un « naked man » en cas de LRM, mais je n’ai jamais essayé dans une telle situation (eux non plus je parie). La situation s’en rapprochant le plus qui me soit arrivée : j’étais sur mon lit en train d’embrasser les seins d’une américaine qui ne voulait pas coucher avec moi sous prétexte qu’elle avait un copain aux states. On avait tout les deux plus que le bas. J’ai enlevé mon caleçon et dès que j’ai pris sa main pour la poser sur ma queue : elle m’a branlé. Ensuite, il a fallu la convaincre de me laisser la lécher (« ça n’engage à rien, si ça ne te plaît pas tu me dis stop et j’arrête » pour qu’elle me supplie « j’ai trop envie de ta queue » avec son accent très mignon.

Y’a enfin la solution qui consiste à ignorer la fille quand elle est trop indécise qui peut fonctionner. On l’appelle « le coup du frigo ». Donc si ce qu’elle fait ressemble plus à un caprice qu’autre chose, qu’elle joue simplement à vous rendre fou, jouez au con vous aussi. Elle pourrait réfléchir au fait qu’elle est en train de déconner et de vous perdre puis changer d’avis. Ou alors, elle peut partir de chez vous… elle est libre ! J’attire votre attention sur l’importance de décrypter avec discernement ce que la fille communique. Si elle vous dit non, mais qu’elle reste à moitié nue devant vous, c’est un jeu pour elle. Si elle vous repousse clairement, c’est pas un code pour dire « essaye encore j’adore qu’on me force ».

Ceci dit, j’en ai rencontré une comme ça. Je suis allé chez elle, on s’embrassés et tout mais je ne l’ai pas niquée. Elle n’a pas voulu. Par SMS une fois que je suis parti, elle m’a dit, « dommage j’aurais adoré que tu me forces ». Ben ouais, mais bon…

Dernier paragraphe : comment réagir si rien n’y fait et que « non c’est non » ? Faire la gueule ou vous énerver sur elle : mauvaises idées ! Ca vous empêcherait définitivement de la revoir plus tard. Il vaut mieux la jouer gentleman et lui dire la vérité : que vous êtes déçu mais que bon, c’est la vie, et que si elle change d’avis plus tard, vous serez très heureux car vous pensez avoir raté quelque chose. Il faut savoir qu’il y a des filles qui font exprès de nous pousser à bout pour voir notre vraie nature : ça peut être un test !

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C/ Prendre des précautions

Pour éviter ce genre de problèmes, je vous suggère de parler en amont du fait que vous allez baiser si vous allez chez vous. Ne dissimulez pas vos intentions ! Dites-lui à quel point elle vous excite, qu’elle est sexy. Une fois chez vous, si elle est hésitante, demandez-lui si l’envie est réciproque. Ca peut n’être que de la timidité, sa petite hésitation…

Créer aussi du comfort pendant le date et déculpabilisez-la. Explicitez le fait que vous ne la jugerez pas comme une « fille facile » si elle couche avec vous. Mettez-la à l’aise avec ça ! C’est à vous de faire ce taf car elles ont un masque social à protéger, ce qui n’est pas vraiment notre cas.

Pour finir, ça peut aider de faire de son appart un endroit pas dégueulasse, un endroit où l’on se sent à l’aise…

Je pense que j’ai soulevé un lièvre : si une femme ressent une angoisse ou un doute à l’idée de faire l’amour, en quoi faire l’amour dans un tel contexte peut-il être une bonne chose, et non une incitation à l’abus ? Tout simplement parce que, dans une telle situation, cette femme a vraiment envie de faire l’amour avec vous. A ce stade, elle ressent qu’elle veut faire l’amour avec vous, mais elle se demande si elle doit le faire. Elle se torture, elle a peur de le regretter ou de se sentir « sale » après. Beaucoup d’hommes n’ont pas compris, qu’aujourd’hui, les filles disposent de leurs corps et ont autant le droit de s’amuser que les hommes. Beaucoup de femmes ne l’ont pas bien intégré non plus, d’ailleurs.

Partie 2 : Le viol

En droit français, le viol est une agression sexuelle impliquant, selon l’article 222-23 du Code pénal, « tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise ».

Du coup : affichez clairement vos intentions (mais pas de harcèlement sexuel ni de needysme non plus : il faut travailler un peu son game et acquérir du tact). Ne la forcez en aucune façon et soyez très prudent : le but n’est pas d’insister jusqu’à ce qu’elle cède, mais  plutôt de ne pas bêtement abandonner avant qu’elle ait donné une réponse claire.

Pour illustrer la merde que c’est de gérer une LMR, je vais vous raconter une autre histoire. Une fille que j’avais draguée dans la rue m’avait rejoint pour un rencard. Je lui avais parlé de cul pendant un moment et, malgré ça, elle était « OK » pour venir manger chez moi. On avait parlé et joué aux cartes pendant plusieurs heures avant que je ne l’embrasse dans le cou. Elle me disait « arrête » lorsque ma main commençait à descendre sur son entrejambe. Donc : j’ai arrêté. Et c’est là qu’elle a dit « putain arrête tu me donnes trop envie mais je ne suis pas épilée et je ne suis pas une fille comme ça donc on se reverra la semaine prochaine et on fera ça ». Avouez que le concept est débile : elle en mourrait d’envie mais se sentait obligée de nous frustrer tous les deux… Et personne ne l’a forcée à dire ça. Donc : j’ai insisté, prêt à arrêter si elle me le redemandait… mais elle a finalement accepté que je lui caresse les seins et que la doigte. A partir de là, on a baisé plusieurs fois d’affilée. En partant, elle m’a remercié d’avoir insisté (son blocage était une stratégie d’évitement car elle avait peu d’expérience au lit), m’a félicité pour la bonne baise et on s’est revus la semaine d’après avec grand plaisir.

La confusion entre le viol et les LMR vient du fait que les femmes envoient énormément de messages mélangés. Désolé les bienpensants, mais un « non » ne veut pas toujours dire « non ». Ca dépend de comment c’est dit. Si on ne parlait pas le langage « filles » et qu’on n’avait jamais eu de « feedbacks » après coups : effectivement, on pourrait croire qu’elles n’avaient pas envie en fait et qu’on leur a un peu forcé la main. Mais la vérité c’est que si, elles avaient envie, et qu’elles sont la plupart du temps reconnaissantes du fait qu’on ait insisté car on les a soulagées d’un poids.

Autre exemple : certaines meufs quand je les lèche et qu’elles approchent l’orgasme, me disent « arrête »… mais elle ne le pense pas une seconde et m’en voudraient en fait d’arrêter à ce moment-là. Je le sais avec certitude parce que c’est un cas assez répandu et qu’elles me disent « merci » après. Elles m’avouent sur l’oreiller qu’elles ont eu peur de lâcher prise, sur le coup, c’est tout. Quand elles sont dans une situation qui les soumet à de fortes émotions, les femmes ne disent pas toujours ce qu’elles pensent. Nous non plus, d’ailleurs. Mais quand même plus !

Cependant, il faut savoir qu’en France, le viol est un phénomène de société assez répandu : 75 000 cas par an, soit 1 pour 1000 habitants. C’est triste mais, rien que dans mon entourage, j’en connais 4 ou 5. Certaines ont été violées par des membres de leur familles, d’autres sous GHB dans des tournantes. Et ça leur a laissé des gros traumatismes. Certaines font maintenant des crises d’angoisses, d’autres sont dégoûtées du sexe, d’autres aiment toujours le sexe mais s’en sentent coupables, j’en connais aussi qui ont maintenant énormément de mal à faire confiance, pour certaines chanceuses cela n’a heureusement rien changé…

Il est inadmissible de dire qu’elle l’a inconsciemment cherché parce qu’elles s’étaient habillées sexy, ou parce qu’elles se baladaient seules la nuit. Putain, on n’est pas des sauvages !!! Ces violeurs de merde devraient lire davantage mon blog, ils seraient moins frustrés car auraient plus de succès et tout le monde aurait moins de problèmes.

Certains violeurs prétendent que ça ne compte pas parce qu’ « elle a aimé » : mais il est faux de croire :
– qu’une femme qui dit « non » pense « oui » (ça dépend de comment c’est dit) ;
– que la violence est sexuellement excitante pour les femmes (une petite fessée en levrette pourquoi pas mais pour le reste il faut demander l’autorisation pour que ça soit respectueux) ; – que la victime aurait pu résister si vraiment elle n’était pas consentante (c’est de la mauvaise foi).

C’est donc là que s’arrête le concept de LRM : si la fille dit fermement « non », on arrête. Et on discute avec elle calmement. On ne la pénètre pas tant qu’elle n’a pas finalement dit « oui » ou qu’elle n’est pas monté sur nous pour s’empaler sur notre queue d’elle-même (en gros il faut qu’elle ne soit revenue vers nous d’elle-même pour nous montrer qu’elle a quand même du désir pour nous même si ça peut sembler évident : c’est tellement délicat comme situation qu’il faut faire attention).

Par contre, attention, il arrive que des femmes accusent à tort des hommes de viol. Je ne dis pas que c’est souvent, mais ça peut arriver. Certaines se sont fait pas mal de fric comme ça grâce à des procès frauduleux. C’est dégueulasse de parler de ça mais il faut savoir que ça existe. Du coup, mieux vaut prévenir que guérir et éviter ce genre de situations !

En résumé, pour bien faire, il faut qu’elle sente bien qu’elle peut partir à tout moment : ne la mettez pas trop sous pression. La frame doit être claire : elle est libre, on ne la force pas et on ne soutire pas « du sexe » à une femme, ça se fait à deux !!

 

Ma conclusion

Il vaut mieux rater un coup que d’être accusé de viol, soyons réalistes. Mais il faut aussi que les femmes le comprennent et qu’elles ne nous traitent pas de petite bite si on n’insiste pas toujours quand elles nous déballent leur torture interne « j’ai envie mais je ne suis pas comme ça » ou « j’aime qu’on me force mais je ne dis que quand tu es parti ».

À ne pas rater !
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1 commentaire pour “Les Last Minute Resistances et le viol”

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