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Lexique de la séduction

Lexique de la séduction

Lexique de la séduction

Lexique des termes de la communauté de la séduction

Alpha male : Un homme viril et attirant.

Alphaness : Attitude de mâle alpha.

AMOG (Alpha Male Other Guy) : C’est le rival, celui qui vous concurrence.  Il est par définition dangereux pour votre game. Par extension, le verbe « AMOGER » signifie disqualifier ou contrer un rival potentiel.

AFC  (Average Frustrated Chump) : Garçon qui n’a aucune idée du fonctionnement des relations hommes/femmes. Timide et souvent borné dans sa connerie. Il est persuadé qu’il suffit simplement d’attendre et « d’être soi-même » pour tomber sur la fille de ses rêves et réaliser ses fantasmes les plus fous.

AI (Approach Invitation) : Invitation non-formalisée qui indique un signe d’intérêt ou de curiosité. Par exemple, en boîte de nuit, c’est une fille qui vous lance des regards de loin pour vous dire qu’elle vous trouve attirant ou bien qui vient danser juste à côté de vous avec sa copine pour que vous l’abordiez.

ASD (Anti Slut Defence) : Il s’agit d’un mécanisme de protection pour l’ego féminin qui se déclenche suite à une erreur du player : il a trop cru que c’était gagné et son excès de confiance a déclenché la méfiance de la cible (« Quoi? Moi, une fille facile ? Je vais lui faire voir… »).

Attraction : Attirance. Créer de l’attraction, c’est attirer une femme. C’est aussi créer de la tension sexuelle.

Bob l’AFC : Un Bob est un gentil garçon qui s’y prend comme un manche pour séduire une fille.

Buyer’s remorse : Le regret de l’acheteur. C’est quand la fille regrette d’avoir couché avec vous ou de vous avoir embrassé… Parfois à cause de la culpabilité qu’elle ressent (par exemple si elle se sent fille facile), parfois parce que vous avez été mauvais au lit, etc. Au fait, si ça vous arrive régulièrement, lisez mon « Guide du bon coup » ! 😉

BT (Buying Temperature) : C’est le niveau d’attraction de la fille, son désir de « vous acheter ». L’image vient du milieu du marketing (comme beaucoup d’autres choses dans la communauté de la séduction) : en drague, vous êtes à la fois le vendeur et le produit… et pour que la fille ait envie de vous « buying », il faut autant travailler sur le produit (votre lifestyle grâce au développement personnel) que sur votre stratégie de vente (vos tactiques d’approche). Il y a différents niveaux de BT. Imaginez la BT comme une température affichée sur un thermomètre. Quand la BT de la fille est basse, elle ne vous laisse presque pas lui parler. Quand sa BT est un peu plus haute, elle vous envoie des IOI. Plus haute encore, elle vous embrasse à pleine bouche, etc. La BT est un phénomène purement émotionnel: il arrive que certaines filles aient atteint un niveau de BT suffisant pour coucher avec vous, mais ne se laissent pas aller à suivre leur désir pour diverses raisons : elles veulent rester fidèles, par principe ou à cause de la pression sociale, etc.

BL (Body Language) : C’est le langage corporel… c’est à dire l’ensemble des attitudes, postures et gestes d’une personne. D’une part, il faut soigner votre BL pour attirer. D’autre part, apprendre à décrypter le BL des autres personnes permet de mieux cerner ce qu’ils ressentent et ont en tête, et donc de calibrer.

Bootcamp : Un bootcamp est une série d’exercices à faire sur plusieurs jours ou semaines pour améliorer votre capacité de séduction. Pour un timide, le premier exercice d’un bootcamp peut être de demander l’heure dans la rue à 10 personnes.

BST (Boyfriend Smashing Techniques) : Technique dont le but est de dévaloriser le petit copain d’une cible visée afin qu’elle le trompe.

Bitch shield : Ensemble de techniques qu’utilisent les femmes afin d’éviter de passer pour des filles faciles et donc pour tenir les hommes à distance. On dit qu’une fille est bitchschieldée lorsqu’elle rejette en bloc toutes les avances qui lui sont faites.

Canned stuff : Ça signifie « trucs préparés ». Pour parer aux peurs du moment ou aux imprévus, le séducteur peut préparer du matériel à l’avance (histoires, réponses originales à placer dans des situations courantes, manière de présenter sa personnalité). Le matériel « canned » est réfléchi et appris seul, assimilé, comme le texte d’un comédien. Cette technique est utile pour débuter : à partir de votre expérience passée, des témoignages d’autres players, il est possible de rassembler les comportements les plus susceptibles d’être séduisants, et de les intégrer systématiquement à votre mode de vie. La conscientisation que cette méthode entraîne est une des voies utilisées dans la communauté de la séduction pour effectuer une évolution de la personnalité: on part des comportements les plus superficiels comme la parole, certains gestes et attitudes, pour aller progressivement vers les choses les plus profondes (le langage corporel, les croyances, la confiance, le charisme, etc.)

Chick Logic (logique féminine) : Terme un peu péjoratif qui signifie que les femmes n’ont pas de logique hormis suivre l’envie du moment et ensuite arriver à rationaliser (ou bien une logique très spéciale qu’un homme trouve illogique). Du style, « j’ai couché avec ce type parce que Chuck est mort dans Gossip Girl ».

Comfort : Désigne une étape dans le processus de séduction (les trois principales sont « approche, confort et séduction »). Elle consiste à faire connaissance, à faire en sorte que la fille se sente à l’aise et en confiance avec vous.

Close : Terme soft pour dire que vous êtes arrivé à votre but. Il y existe plusieurs closes : le num-close (prise du numéro), le kiss-close (vous avez embrassé votre cible), le fuck-close (vous avez couché avec votre cible). Après, il y a d’innombrables autres variantes (email-close, blowjob-close)…

Cockblock : Personne qui, par son intervention, bloque votre interaction avec la cible et vous empêche d’avancer vers vos objectifs en termes de drague.  Il peut s’agir d’une copine de la fille, d’un membre de sa famille, d’un ex qui serait jaloux, d’un rival (ou AMOG), etc.

Crash & Burn : C’est foncer dans le tas et être très direct avec une femme puis passer à la suivante en s’en battant les couilles si elle n’est pas réceptive.

Calibrer : S’adapter.

Comfort Zone : C’est la zone de confort. Cela désigne la zone imaginaire dans laquelle vous évitez de vous mettre dans des situations qui vous stresseraient. Celle-ci varie d’un individu à l’autre. Beaucoup de gens passent une vie morne, englués dans leur CZ, leur routine. Quand vous affrontez votre angoisse, vous sortez de votre CZ. Sortir de sa CZ signifie repousser ses limites. Dans votre cas, il s’agira peut-être d’aller dans un bar d’aborder une fille. Une part importante du travail est de prendre conscience de sa limit zone (l’opposé de la CZ), de sa comfort zone et de l’équilibre qu’il faut respecter pour avancer : si vous prenez trop peu de risques, l’ennui et le manque de progrès seront vos ennemis et vous démotiveront… mais si vous êtes tout le temps hors de votre zone de confort, vous vous épuiserez. Il faut trouver un équilibre entre les deux : considérez votre comfort zone comme votre capital, et votre limit zone comme un investissement… pour une économie saine et prospère, il vous faut investir et prendre des risques, mais pas trop, car vous risquez de perdre tout votre capital. Mieux vous savez vous gérer et faire d’efforts, plus votre zone de confort s’agrandit, plus vous progresserez.

Cocky and Funny : Terme popularisé par le coach américain David DeAngelo. C’est un type de comportement basé sur la taquinerie et les allusions sexuelles tout en restant léger.  L’objectif est évidemment de passer pour un mec cool qui a confiance en lui, mais également d’exciter la fille.

Date : Désigne un rencard avec une fille.

Disqualifier : C’est le contraire de qualifier. En séduction, disqualifier veut dire « montrer clairement à la cible qu’on ne cherche pas à la séduire ». On peut disqualifier une cible ou se disqualifier soi-même. Par exemple, si vous dites « ah tu es blonde, dommage je préfère les brunes », vous la disqualifiez. Par contre, si vous dites « je suis un mauvais amant, en plus je ne sais pas cuisiner, tu ferais mieux d’essayer avec le type là-bas », vous vous disqualifiez. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, se disqualifier sous-communique parfois de pertinentes informations (que vous ne cherchez pas à la séduire ni l’impressionner et que vous avez de l’autodérision : être indifférent signifie que vous ne tenez pas absolument à elle, donc que vous avez d’autres options, donc que vous êtes présélectionné et aussi que vous avez de l’humour).

Dead Man Walking : Se dit d’un mec dont la relation avec sa copine est finie même s’il ne le sait pas encore.

DHV (Demonstration Higher Value) : Technique pour se valoriser auprès d’une femme et éveiller son intérêt. Attention à ne pas en faire trop (pas de vantardise). DHVer c’est parler de son voyage en Australie, de sa rencontre avec telle ou telle vedette très sympa, etc.

DLV (Demonstration Lower Value) : c’est le contraire de la DHV. C’est se tirer une balle dans le pied en évoquant ses problèmes (fins de mois difficiles, problèmes pour séduire les filles, dépression, etc.) avec une fille que l’on drague. Cela donne envie de fuir. Il faut éviter à tout prix !

Eye Contact : Un EC est un regard échangé entre deux individus. Il peut être furtif ou appuyé. Nous pouvons parfois l’interpréter comme un signe d’intérêt ou une invitation à aborder.

Eliciting Values : se dit des valeurs importantes que recherche une femme chez un homme. Par exemple si elle aime les hommes grands, c’est qu’elle a besoin de se sentir protégée.

Escalation : Signifie « passer à l’étape suivante ». On parle par exemple de « kino escalation » pour parler de l’évolution du contact physique depuis la première fois que vous touchez quelqu’un (sa main ou le haut de son bras) jusqu’au moment où vous l’embrassez ou couchez avec.

Flake : c’est le petit nom donné à l’annulation d’un rendez-vous pour de fausses raisons et à la dernière minute. La métaphore correspond à un flocon de neige qui nous fondrait entre les mains alors que nous penserions naïvement pouvoir l’attraper.  Notons que si le RDV est annulé pour de bonnes raisons et que la fille compense avec une contre-proposition, on ne peut pas considérer qu’elle nous ait vraiment filé entre les doigts.

Fluff : Discussion badine, sans intérêt ni but précis (parler du temps qu’il fait, de votre rendez-vous chez le dentiste, etc.) Plus généralement, c’est toute discussion qui n’est pas structurée selon un game plan (donc avec un but, une fonction pour séduire). Sachez que tout sujet de conversation peut être bon pour la séduction, que c’est la force ou direction émotionnelle qui est vraiment importante (oui, vous pouvez parler du dentiste et être séduisant, aussi étonnant que cela puisse paraître).

Frame : C’est notre état d’esprit, notre manière de voir le monde. C’est un concept de Programmation Neuro-Linguistique (PNL). Les stimuli que notre cerveau reçoit en permanence sont bien trop nombreux pour que nous les prenions tous en compte : la limitation qui en découle définit la réalité dans laquelle nous vivons. Trois images permettent de cerner rapidement ce concept.

1/ Le verre à moitié plein ou à moitié vide : banale, cette image n’en est pas moins extrêmement utile. Il est possible, dans toutes les situations, de se focaliser sur les éléments positifs, les apports pour nous-même et les autres, ou sur la perte et les éléments négatifs. Il est capital de saisir que c’est uniquement un choix à faire.

2/ La caméra vidéo : nos perceptions sont limitées, et nous ne sommes capables d’appréhender la réalité qu’à travers un « cadre » (traduction de frame) réduit, semblable à une caméra vidéo. La vie est alors comme une fête chez un ami : vous avez le choix entre passer votre temps à filmer la dispute entre Jeannot et Marie-Claire ou la rencontre romantique et joueuse de David avec Sophie. Vous pouvez appliquer cela à n’importe quel type de situations et réflexions. Nous n’avons pas de contrôle sur ce qui nous arrive, mais rien ni personne ne peut nous enlever le choix de prendre les choses positivement ou négativement.

3/ Les lunettes de soleil : lorsque vous en portez, vous voyez le même monde que les autres, mais en même temps un monde plus sombre, dans lequel tout est différent. Avoir une frame du succès, ou une frame du bonheur, c’est être capable de voir du succès et du bonheur dans tout ce qu’on fait et dans tout ce qui nous arrive. Tout le monde en est capable. La frame est comme un muscle, si vous vous entraînez chaque jour à modeler votre frame comme vous la souhaitez, vous deviendrez de plus en plus habile à diriger vos propres pensées et à vous rendre heureux.

Environnement ouvert : c’est la rue, les boîtes, les sites de rencontre. Là où vous n’êtes pas obligé de revoir une femme après avoir essayé de la séduire.

Environnement fermé : c’est votre entreprise, votre bahut. Là où vous risquez de recroiser les femmes et où votre réputation vous précède.

Freeze out : Technique qui permet de surmonter une Last Minute Resistance, à savoir la peur que peut ressentir une femme juste avant un acte sexuel, et qui est souvent le dernier obstacle dans le pick-up. A la place d’un comportement needy comme s’énerver, supplier, argumenter ou tenter d’exciter physiquement encore un peu (ce qui est néanmoins la solution la plus efficace après le FO) mieux vaut feindre le désintérêt pour le sexe en considérant que si la femme ne veut pas, ça n’est pas grave. Il faut donc passer à une autre activité : le fait de rompre le charme de l’intimité (caresses, baisers) et de passer à une activité sans tension sexuelle, comme regarder la télé, jouer aux cartes ou quoi, produit plusieurs effets positifs : vous démontrez que vous restez même sans sexe, comme si vous étiez déjà dans une relation à long terme, vous démontrez que l’absence de sexe ne vous affecte pas, ce qui signifie indirectement que vous en avez en abondance (présélection par d’autres femmes) et que vous contrôlez vos émotions. Vous démontrez enfin que vous êtes un être sexué qui respecte sa propre sensualité: vous n’allez pas faire joujou éternellement, et la femme doit choisir entre de l’intimité avec sexe ou rien d’intime (car de toute façon vous vivez dans l’abondance et d’autres femmes vous désirent donc tant pis pour elle).

Friend Zone (FZ – la Zone Amicale) : La fille qui met un gars dans la FZ ne voit en lui qu’un ami avec lequel elle ne couchera jamais. Il est très difficile de sortir de cette zone qui est un véritable marécage de sables mouvants. A éviter à tout prix.

Field : C’est un lieu de drague (ça peut être un bar, une rue, un site Internet, etc.) Un  field report c’est le récit d’une drague sur le terrain.

Field Tested (testé sur le terrain) : De trop nombreux débutants spéculent sur des techniques hypothétiques. Faire valoir qu’une technique est Field Tested permet de s’assurer de son efficacité.

Game : Terme qui désigne le jeu de la séduction dans son ensemble. Il a été popularisé par le livre de Neil Strauss.

Guy Thinking Too Much : La séduction scientifique a été introduite par des geeks très doués en logique mais qui n’avaient aucune intuition sociale. Beaucoup de ces hommes ont des personnalités analytiques, sont incapables d’être naturels et ont toujours besoin de se référer à une théorie au lieu d’écouter leurs intuitions. Sur le terrain, ils passent leur temps à réfléchir sur des détails qui ne servent à rien au lieu d’agir, c’est dommage !

H2G (Hard to Get – Dur à Avoir) : Technique DHV pour ne pas passer pour un mort de faim. Un homme H2G ne sort pas avec n’importe quelle fille et ne fait pas n’importe quoi pour une fille. Se comporter de cette façon permet de gagner en confiance en soi. Mais, attention, être trop H2G peut être une excuse pour justifier sa solitude et son manque de couilles (surtout chez les players désespérés ou de mauvaise foi).

HB (Hot Babe) : Classement subjectif de la beauté d’une fille. La note d’une même meuf peut varier entre deux players. En général, une HB est une bonnasse, notée entre 6 et 10.

HSE (High Self Esteem) : Estime de soi élevée. Une fille HSE accepterait sans broncher quelques piques rigolotes, contrairement à une LSE.

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Instant date : Avoir un rencard instantanément avec une fille qu’on vient de rencontrer. Typiquement : un café après avoir abordé dans la rue.

IOI (Indicator of Interest – IDI en français) : Tous les signes verbaux ou non-verbaux qui montrent qu’une femme s’intéresse à vous : elle vous demande votre prénom, demande si vous ne vous êtes pas déjà croisés quelque part, quel est votre parfum, vous regarde de manière insistante en souriant, etc. Le contraire, ce sont les signes de désintérêt (IOD).

Kino : Action de toucher sa cible pour la troubler. Toucher quelqu’un créé une connexion et permet de savoir si la séduction commence à porter ses fruits ou non.

Kino Girl : Fille tactile, aimant être touchée et toucher sans pour autant que ça veuille forcément dire qu’elle est intéressée… c’est juste sa nature.

Inner game : Améliorer son inner game c’est devenir plus authentiquement attirant. C’est prendre confiance en vous et dépasser vos limites pour séduire les femmes qui vous plaisent.

Outer game : Ce sont les techniques proprement dites de séduction, les routines, phrases d’approches, transitions, et tous les détails qui permettent d’agir concrètement.

IRL (In Real Life) : Signifie dans la vraie vie, dans la vie réelle, par opposition au virtuel.

Try too hard : En faire trop pour essayer d’impressionner, de compenser un complexe. Agir de la sorte communique en général de mauvaises choses.

LJBF : Let’s just be friend. « Soyons juste amis » : la phrase typique que beaucoup de femmes utilisent pour signifier à un homme qu’elles ne le considèrent pas comme un partenaire sexuel potentiel. C’est la phrase qui accompagne souvent une relégation en Friendzone. La phrase en elle-même n’étant pas aussi dramatique que le cadre relationnel qu’elle introduit…

LMR : Last Minute Resistance ou résistance de dernière minute. C’est la peur que certaines femmes ressentent juste avant l’acte sexuel, dont l’intensité varie suivant les femmes, et qui est liée à la peur de voir l’homme disparaître juste après. Typiquement, la fille est dans votre chambre mais ne veut plus faire l’amour pour une raison idiote ou pense que vous la prenez pour une fille facile. L’arme principale contre la LMR est le Freeze Out, mais il est recommandé, pour éviter ce blocage, d’afficher son intérêt pour elle (et un intérêt légitime, autrement dit une bonne qualification) avec suffisamment de conviction et de congruence et de ne pas montrer non plus de signes de neediness.

LSE : Low Self Esteem: personne dont l’estime de soi est basse ou mauvaise. Une personne LSE a tendance à ne pas savoir recevoir de compliments, car ceux-ci ne correspondront pas à l’image qu’elle se fait d’elle-même, et a tendance à rechercher des relations dans lesquelles elle est traitée en accord avec cette image (donc maltraitée). En terme de frame, on peut dire que la personne filtre toutes les situations pour n’en retenir que les interprétations et éléments négatifs. Un tel comportement est souvent ancré de façon si profonde que la personne croit profondément que sa « mauvaise » situation n’est pas un état d’esprit, mais une réalité impossible à changer, une fatalité. Une personne LSE souffre et a besoin d’aide, d’un travail approfondi sur elle-même, et il peut être délicat ou difficile d’entretenir une relation saine et harmonieuse avec.

LTR : Long term relationship. Relation (intime, affective) à long terme. On considère souvent qu’une relation sérieuse de longue durée démarre après 3 mois de relation suivie et exclusive.

Mister Nice Guy : Véritable AFC, Mister Nice Guy a beaucoup d’amies femmes qui ne cessent de crier ses louanges sur tous les toits alors qu’il est célibataire et qu’elles se tapent d’autres hommes.  Mister Nice Guy n’a par conséquent pas ou peu de relations sexuelles, c’est le cousin de Bob l’AFC.

MILF (Mother I would Like to Fuck) : Désigne une femme mûre mais attirante, le plus souvent déjà maman. Pour un jeune homme, il peut s’agir d’une amie de sa maman ou même de la mère de son meilleur ami. Au-delà, de 45 ans, on commence à parler de cougar. Il existe un fétichisme de la femme âgée : c’est un des types de vidéos pornographiques les plus recherchées sur Internet.

Mojo : L’énergie, la motivation psycho-corporelle à un moment donné. On parle aussi de momentum ou de flow pour qualifier cet état positif de créativité et de force intérieure.

Needy : Frustration, besoin sexuel trop visible. Se dit d’un mec qui démontre qu’il recherche désespérément l’attention, les faveurs sexuelles ou émotionnelles d’une autre personne. On parle alors de neediness. Certaines paroles, mais surtout attitudes corporelles sont des signes de neediness: en règle générale, dès qu’il y a déséquilibre entre l’attention que deux personnes se portent, la personne qui donne plus que l’autre a tendance à paraître needy. Une neediness trop grande n’apparaît généralement pas comme attirante pour les personnes qui en sont la cible. C’est pourquoi, il est fondamental de travailler sur les caractéristiques et les attitudes qui démontrent une absence de neediness pour améliorer votre charisme et votre attraction. Cependant, il ne faut pas confondre être needy et affirmer votre désir pour une femme. L’affirmation du désir doit se travailler comme un don à l’autre, sans attente de réciprocité. Il est également important de comprendre le système de représentation dans lequel évolue votre interlocuteur: les critères de ce qui est needy ou non-needy peuvent varier d’une personne à l’autre, et au cours du jeu de séduction. Or, c’est évidemment les critères de votre cible qui sont déterminants. A la limite, une LSE s’entendrait bien avec un needy ! 😉

Neg : Sorte de remarque innocente ou compliment irrecevable adressé à une fille qui se prend un peu trop pour une princesse, qui snobe. Le but est de la faire descendre de son piédestal et qu’elle sente qu’elle ne vous impressionne pas. L’idée c’est qu’une fois que vous êtes sur un pied d’égalité, vous pouvez entreprendre de construire une relation. Un des negs les plus connus: « sympa tes ongles… c’est des vrais ? » Cela joue sur les insécurités des filles, à utiliser donc sur des femmes confiantes et les HSE. Mais attention, on se fait traiter de gros connard si on en abuse ou si on est maladroit. Et si c’est le cas, généralement on brise en plus la tension sexuelle… et c’est game over !

Next : Savoir nexter, c’est savoir quand lâcher l’affaire. C’est économiser temps et énergie pour les consacrer à une femme moins problématique, plus motivée, etc.

One itis (OI) : Obsession amoureuse, image idéalisée et fantasmée d’une femme. On parle d’obsession car l’OI fait perdre tout sens de la réalité et ne doit pas être confondu avec l’amour véritable. Les AFC (et donc parfois les jeunes players avec leurs premiers succès) en sont souvent victimes car ils ne savent pas maîtriser leurs émotions, n’ont pas une haute estime d’eux-mêmes et n’ont généralement pas de relations sexuelles avec d’autres femmes (qui leur permettraient de prendre du recul quant à l’importance de cette nana en particulier). Beaucoup d’hommes sont persuadés d’avoir trouvé la femme de leur vie en ne l’ayant vue que quelques fois ! Le pauvre homme en one-itis va petit à petit se convaincre que cette fille est unique et extraordinaire et que son bonheur dépend d’elle, ce qui fait qu’il ne sera plus vraiment lui-même en sa présence. Dans notre société, il est très bien vu d’être prêt à faire n’importe quoi pour l’élue de son cœur, on y voit là une marque d’amour puissante et sincère… mais en réalité, ce genre de comportements est tout sauf attirant. Le schéma classique d’un OI est le suivant: l’homme rencontre une femme et développe très vite des sentiments pour elle, avant même de bien la connaître. Comme cet homme n’est généralement pas sexué ni séduisant et qu’il n’escalade pas vers l’acte sexuel, il entre sans s’en rendre compte dans la Friendzone. Puis, un jour, souffrant trop de la relation ami-ami qu’il espère voir évoluer, il déclare sa flamme et se prend un râteau dévastateur. Effectivement, elle ne le voyait que comme un ami ! Il y a aussi le cas fréquent de celui qui tombe en OI sur sa meilleure amie ou sur une meuf qu’il a (mal) baisée un fois sur un malentendu. Le problème est que dans la grande majorité des cas, un ami intime ne peut pas être considéré comme un amant dans l’esprit d’une femme. Devenir le meilleur ami est souvent le meilleur moyen que les AFC ont trouvé pour rester proche d’une femme qui les attire. Il est impératif de parvenir à identifier l’OI et de s’en éloigner le plus possible. Si possible, éliminez tout contact avec la personne qui vous fait kiffer dans un premier temps pour retrouver une intégrité personnelle.

ONS : One Night Stand. Coup d’un soir, relation sexuelle sans lendemain.

Open : Aborder.

Opener : Phrase d’accroche permettant de démarrer une conversation.

Pattern : Routine créée dans le but de mettre l’autre dans l’état émotionnel souhaité en utilisant des principes de PNL.

Peacocking : Manière de s’habiller afin d’attirer les regards. Le but est de se différencier des autres, par exemple avec des accessoires, et de donner un prétexte aux filles intéressées pour vous approcher et vous toucher. Vient du mot « paon » (peacock) en anglais.

Pivot : Une sorte de wing féminin. Ce terme vient du fait que votre amie  aborde un groupe ou sympathise avec une femme pour que vous « pivotiez » autour d’elle et qu’elle puisse vous présenter. Comme c’est une femme, vos chances de succès augmenteront considérablement si elle open. En effet, il y aura moins de chance que le groupe la rejette et elle sera un puissant « social proof », surtout si elle est mimi…

Player : La séduction est vue comme un jeu (the game). Le player est donc celui qui le joue, qui se lance pour devenir PUA. Ce terme est aussi utilisé hors-communauté. Et on dit parfois « ne hais pas le joueur, hais le jeu ».

PNL : Programmation Neuro-Linguistique. Branche de la psychologie, fondée par Richard Bandler et John Grinder en analysant les travaux sur la transe hypnotique de Milton Erickson. Les deux fondateurs ont formé un arsenal d’outils qui permet d’influencer ses propres représentations et les représentations des autres au moyen (principalement) du langage. Ce mouvement, dont la popularité aux États-Unis a rapidement traversé l’océan, a été repris par la communauté de la séduction pour comprendre et maîtriser les mécanismes émotionnels dans les interactions.

PUA : Pick Up Artist. Artiste de la drague, séducteur confirmé. Grade le plus élevé au rang de la séduction. Comme il s’agit d’un titre auto-attribué, il y a des fakes. Et beaucoup de critiques : il y aura toujours des gens pour dire que les PUA ne sont pas des gens équilibrés et qu’ils cherchent à fuir un malaise profond. C’est vrai ou faux, selon les cas. Certains PUA ne sont pas des modèles de paix intérieure, d’autres le sont plus que la majorité des gens. Mais l’idéal du vrai PUA est de s’améliorer sans cesse, de trouver une voie d’équilibre et de respect dans ses relations sexuelles et sociales. La séduction va plus loin que le simple fait d’ajouter des femmes à son tableau de chasse : c’est une manière de trouver sa propre identité, de se situer dans les rapports à l’autre et de gagner en maturité. Pour beaucoup, c’est un moyen quasi-thérapeutique de vaincre la timidité et de parvenir à s’affirmer en société.

Qualification : Phase du pick-up dans laquelle l’homme communique à la femme les raisons pour lesquelles il s’intéresse à elle et qui lui permettent de l’envisager comme partenaire. La plupart des très belles femmes ont des possibilités de baiser quasi-infinies, c’est pour cette raison qu’il n’est pas conseillé d’utiliser leur physique comme argument dans la qualification. Le faire signifierait se ranger dans la même catégorie que les centaines d’hommes qui le font quotidiennement. De plus, une grande partie des femmes trouve dans la qualification un élément majeur d’attraction: elles s’autoriseront bien plus facilement à désirer un homme qui les désire de façon légitime, c’est-à-dire qui les désire pour certains traits de leur personnalité, et qui leur donne le sentiment d’être uniques et spéciales.

Routine : Une routine est une histoire ou petite histoire qui a été utilisée plusieurs fois par le passé et que le player ressort à sa cible pour la captiver. Et, plus on l’utilise, plus la routine est maîtrisée. Généralement, les routines servent à retenir l’attention de la cible, à sous-communiquer des caractéristiques attirantes, ou à générer des émotions. Ça peut aller loin : certains ont utilisé des routines des centaines de fois, certaines durant plus de trente minutes.

Set : C’est un terme qu’on utilise en séduction pour désigner un groupe de personnes qui contient des cibles potentielles.

Shit test : Ou « chick test ». Attitudes des femmes dont le but (le plus souvent inconscient) est de tester votre maîtrise de vous, votre persistance ou vos limites. C’est un moyen pour elles de savoir si le garçon a une bonne valeur reproductive et a confiance en lui en posant des questions débiles pour le tester. Elles veulent sélectionner le meilleur parti parmi tous les hommes qui s’offrent à elles (car il faut bien réaliser qu’une belle fille se fait relativement souvent aborder, et encore plus lorsqu’elle sort le soir, elle vit donc constamment avec des milliers d’options). Un shit-test est parfois une question piège qui a pour but d’éliminer les garçons jugés en deçà du niveau d’exigences des femmes. Pour répondre à un shit-test, c’est la manière qui importe. Mieux vaut répondre de manière ironique et décalée pour montrer l’absurdité de la question.

Exemple : « Pourquoi tu ne vas pas draguer cette fille?
– D’accord, tu m’accompagnes? »

Social Proof : Pour définir la valeur sociale d’un homme, une femme se sert d’éléments externes comme la perception de cet homme par les autres (eh oui, la plupart des gens sont des moutons). Une fille aura plus d’intérêt et fera plus confiance à un individu qui a été au préalable sélectionné par d’autres personnes, auxquels elle prête si possible de la valeur. Le social proof est la reconnaissance exprimée par le milieu envers le player. Quand vous êtes quelque part et que vous connaissez tout le monde, on dit que vous êtes « social proofé ». Si vous emmenez une fille dans un club/bar/resto où vous connaissez le patron, les serveurs, et où plein de gens viennent vous saluer, vous ne lui donnez pas la même impression que si tout le monde vous ignore. Ça montre que vous avez une vie sociale assez riche. De plus, si les gens autour de vous ont l’air de vous aimer, elle aura tendance à vous aimer aussi. Par exemple, en soirée, avant même d’aborder une fille, si elle a vu auparavant que vous connaissez beaucoup de gens et qu’ils rigolaient en votre présence, elle sera plus réceptive. Attention, si les gens ont l’air de vous prendre pour un con, le social proof aurait alors l’effet opposé.

Social circle : Cercle social.

Sarger : Sortir draguer et séduire « sur le field » pour mettre en pratique la théorie de la séduction. On peut parler d’une bonne sarge, d’un sargeur sympa ou d’une envie de sarger… le terme vient du nom du chat de Ross Jeffries, le créateur de la communauté de la séduction.

Story Telling : Action de raconter une histoire captivante pleine d’émotions et de rebondissements pour captiver l’attention d’une femme. Peut contenir une morale finale du style « carpe diem, faisons l’amour » pour lui donner envie de se lâcher. Technique qui peut également consister à raconter des histoires et des souvenirs en les enjolivant de manière à faire monter l’intérêt de notre cible pour nous.

SPU (Street Pick Up) : Se traduit littéralement par drague de rue. Il y aussi principalement le « night pickup » qui se déroule par définition la nuit… et « l’online dating », sur les sites et applications de rencontre.

Target, cible : La demoiselle ou la femme à séduire est vue comme un objectif. La déshumaniser quelque peu permet de se donner plus de courage pour se lancer à sa rencontre et de sexualiser plus facilement. Gainsbourg, dans une chanson, disait « je pense à toi en tant que cible » : c’est un peu ça, l’idée !

Time Constraint (souvent False Time Constraint) : Technique consistant à fixer une limite de temps à notre cible afin de la mettre dos au mur et d’accélérer les choses. Utile aussi quand on aborde une femme pressée : on lui donne l’indication que nous ne faisons que passer et qu’on est déjà sur le point de repartir avant de lui poser une question, ce qui montre qu’on ne va pas la harceler pendant une heure. Permet de relaxer la cible et fonctionne comme un pied dans la porte car, parfois, il n’y a aucune réelle intention de partir rapidement.

Wingman (wing) : Ailier. Ami/collègue avec qui vous allez draguer, généralement c’est un mec qui connait les diverses techniques et méthodes de drague.

Warpig : HB notée en dessous de 5, terme signifiant « cochon de guerre », qui désigne les filles peu attirantes physiquement. Souvent, la copine moche de notre cible, la même qui nous met des bâtons dans les roues et qui est jalouse que sa copine puisse s’éclater avec garçons cools comme vous ! 😉

Prize : C’est le prix dans l’interaction.

Fast seduction : C’est la séduction rapide, ça consiste à sexualiser et escalader kinesthésiquement rapidement. Cette méthode apprend à jouer avec la tension sexuelle. Grâce à elle, parfois, on peut coucher avec des filles 10 minutes après les avoir rencontrées. Dans certains cas de LMR, par exemple, intensifier la tension sexuelle pour exciter la femme vous permettra de la baiser, mais pas le fait de la mettre au frigo. C’est ce que cette méthode m’a appris. Eh oui, là encore, encore calibrer et choisir son école…

Speed seduction : C’est l’école de séduction de Ross Jeffries, le créateur de notre communauté. C’est la séduction par la communication (patterns, PNL, hypnose, etc.) On la qualifie parfois de « dark seduction » (la face pas très éthique de la communauté de la séduction).

La Mystery Method : Une des premières méthodes de séduction. Mystery PUA avait organisé la séduction en phases (attraction, comfort et seduction), elles-mêmes contenant plusieurs sous-étapes (opener, DHV, etc.) Mais cette école est aujourd’hui dépassée par des outils bien plus performants : Mystery disait qu’il fallait au moins 8 heures pour coucher avec une fille, ce qui est évidemment faux. Cependant, il y a quand même des bonnes choses dans son travail !

Extrait de : Les bases de la séduction

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3 commentaires sur “Lexique de la séduction”

  1. Dans ton lexique t’a oublié :
    -le push and pull
    -la vibe
    -le hook
    -Minauder (quand la fille te regarde avec des grands yeux, je sais plus c’est quoi le mot anglais)
    -direct opener, indirect opener
    -reframing et outframing
    -bounce (la faire bouger d’endroit)
    -isolation (connait pas le mot anglais)
    -la logistique (concept important end drague)
    -HB je crois pas l’avoir vu ?

  2. … Il faut vraiment être gravos pour appliquer vos techniques de désespérés. Et la femme qui passe au rang d’objets ça ne choque personnes. Clap clap (pouce vers le bas)

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