Faire l’amour pour mon anniversaire
Le 28 février 2013,
Il a neigé sur Sexe-en-Provence, ce 23 février. Des gros flocons de cyprine. Il en est même tellement tombé que j’ai commencé à recevoir masse d’annulations pour ma soirée. Y a eu celles dues au mauvais temps (« je suis coincé dans mon village pourri je pourrai pas venir »), y a eu celles dues au fait que c’est des filles donc on ne peut jamais compter dessus (« j’sais que j’avais dit oui et même confirmé la veille mais finalement désolée on est fatiguées alors on va regarder un film à la place c’est tellement mieux…
– C’est moi qui suis désolé pour vous, après tout, vous allez rater une méchante soirée ») et j’ai également subi des annulations parce que la plupart des mecs sont nazes avec les filles (« ouais j’avais invité des nanas et tout mais au dernier moment elles ne viennent pas parce que [insérer ici diverses explications à la con] alors je te ramène des potes instead »). Sérieux, les gars, même Le Grec qui est un des pires gars de la Terre dans ses rapports avec le sexe opposé (il n’a même pas de téléphone) a réussi à me ramener une poulette pour le ratio, et vous quedal… Vous me faites honte !
NB : J’ai même eu droit à un « ma mère m’a pas donné de sous pour que je vienne… » mdr
J’me suis pas découragé pour autant… parce que mes deux cibles étaient très motivées : Charlotte et Marie. Deux nanas fraîchement pokées et facebookement travaillées afin qu’elles me sucent dans la black room (la salle de bain). Mea culpa : dans ma précipitation, j’avais oublié d’enlever l’ampoule alors ce n’était pas vraiment une black-room mais plutôt une baise-room (mon nouveau coloc avait généreusement prêté un matelas d’ailleurs faudra que je vous parle de lui un de ces 4 c’est un sacré phénomène). N’empêche, j’avais bien fait de draguer ces deux meufs : l’une m’a ramené 3 bonnasses pour le ratio et l’autre qui travaille à Monoprix m’a fait passer plein de bouteilles d’alcool gratuitement. Sérieux, au niveau des courses pour la soirée, j’m’en suis sorti pour 30€.
J’avais convoqué les gens à 18h (et leur avais promis une pâte à crêpes pour les motiver à venir tôt), mais j’suis un gros con alors j’suis moi-même rentré des commissions vers 18h30 (procrastination quand tu nous tiens). Y’avait déjà Hafid qui nous a ramené plein d’accessoires de fêtes, et Le Gothique mon pote-photographe-officiel-de-la-soirée qui attendaient en bas. Les invités ont commencé à débarquer vers 19h : juste le temps pour nous de préparer l’appart et pour moi d’enfiler mon plus beau costume. Hafid, quant à lui, s’est habillé en Gros Minet géant. Les crêpes étaient bonnes, et certaines filles aussi.
Du coup, on a commencé à manger (j’ai même pas fait tremper ma cravate dedans), je faisais des signes obscènes, tirais avec mon pistolet à billes sur la première qui mouftait et ai lancé une playlist de films motivants sur mon ordi. En fait, j’l’avais calé en hauteur afin qu’il diffuse la bonne parole :
1) Young People Fucking (19h-20h30)
2) Projet X (20h30-22h)
3) Des Daredorm
4) Des College Fuck Fest
5) Des College Rules
Les trois derniers sont des pornos amateurs et étudiants un peu funs qui se passent dans des apparts. J’espérais sincèrement que ça donnerait des idées à certaines et ça a été le cas (j’y reviendrai plus tard).
Enfin voilà, de 19h à 20h30 c’était un peu « soirée calée », rien de bien méchant, environ 20 personnes, puis tout s’est soudainement accéléré… un groupe de bonnasses a franchi mon seuil : Charlotte et ses copines. Puis d’autres meufs, et des gars (mon ratio était foutu mais y avait des sexy bitches quand même). La température est montée en flèche avec les jeux d’alcool (y avait notamment un panier de basket miniature et quand tu sais pas envoyer le petit ballon dedans, tu prends une tequila paf (bim bam boum)).
Premier truc GNQ : vers 21h, on a sonné à la porte, tout le monde me disait « Viens voir, y a une vieille.
– Putain déjà les voisins qui vont me faire chier ?! » Et non, c’était mémé Lucienne. J’avais posé un mot dans les boîtes aux lettres de l’immeuble en invitant les résidents par politesse et une espèce de soixante-huitarde super cool dans sa tête s’est ramenée. Extraordinaire. C’était ELLE, la mascotte de la soirée : pas de nain dans le four mais une mamie adorable qui revivait sa jeunesse. Malheureusement, mes voisins ne sont pas tous aussi coolos : vers 22h j’ai reçu un appel « espèce de petit con c’est quoi ce bordel, on en reparlera, ça ne se passera pas comme ça ». C’était le premier d’une longue série d’emmerdes, même qu’à un moment… le chat a disparu et on l’a cherché partout (il était terrorisé sous un lit). A ce moment-là, le coach m’a demandé « ça va Cyprine? » ; le capitaine : « putain y en a vraiment qui t appellent Cyprine? ».
J’commençais donc à ne pas trop être à mon aise (je transpirais de trop gras), alors quand le Coach m’a annoncé « Y a le DJ des NRJ Music Awards qui vient » j’me suis intérieurement dit « noooooooooon je suis mort, j’ai plus qu’à me chercher un autre appart » mais, finalement, c’était super fun de l’avoir à la maison. C’était vraiment GNQ qu’il vienne mixer chez moi, j’y croyais pas quand on en avait parlé vite fait la veille mais voilà.
Sur le coup de 23h, Marie et le DJ sont arrivés, on a éteint les lumières et la soirée a vraiment démarré. C’est à ce moment-là (bien sûr) que Le Gothique le photographe a rangé son appareil, mauvais timing, dommage !!! Mais j’le comprends : il ne voulait pas risquer de le casser et puis de toute façon c’est pas si grave. L’essentiel restera dans nos mémoires et dans ce texte.
Minuit : les coquines se déhanchaient, les mecs bavaient. J’me souviens m’être posé sur le canap avec le rhum au miel de mon coloc, tout seul. Ca c’est la technique du canapé : tu t’assois et t’attends de voir qui fera l’effort de te brancher. Marie la caissière est venue me parler, alors j’l’ai menottée et on a dansé collé-serré. Face à face, elle descend super bas la petite, et j’avais les mains baladeuses. Ensuite j’l’ai tournée et attrapée comme quand on étrangle quelqu’un par derrière. Ca m’a excité de sentir ses fesses contre mes hanches et ses cheveux parfumer mon nez… J’étais le roi du monde jusqu’à ce qu’une connasse lui vomisse dessus. La pouf en question est une nana qu’un pote (on l’appellera le Mytho) est immédiatement allé (essayer de) niquer dans la B-Room. Baise d’alcoolique puis comas éthylique, je suppute, parce qu’ils y sont resté 2h (même moi je ne tiens pas aussi longtemps). Mise à jour : en fait il n’est pas arrivé à bander. Marie est allé se nettoyer tout en me chauffant du regard… j’sentais qu’elle voulait jouer, alors j’ai rien tenté histoire de faire monter la pression. Puis, à un moment, on m’a appelé dans une chambre et je suis parti. Par la suite, Marie se faisait tout le temps brancher sauf que quand je passais devant elle, elle quittait ses prétendants et revenait vers oim (C’EST QUI LE PATRON ?!). A un moment, son ex essayait de l’embrasser alors elle lui présentait sa joue à l’aide d’une esquive de grande classe puis m’aperçut et vint vers votre serviteur « Alors, tu retombes dans tes anciens travers ?
– Je veux pas sortir avec un mec, par contre je dis pas non à un bon coup.
– C’est une avance ou une proposition ?
– Qui a dit que je parlais de toi ?
– Touché. »
J’suis parti parce que des meufs m’ont offert des cadeaux : boîtes de capotes, sextoys, chemises, thé, une patate sculptée, un mégaphone et autres. J’ai décidé de me changer, ai enlevé mon costume et enfilé mon t-shirt « I <3 Cyprine ». La fille du Street-Fucking a commencé à m’embrasser dans le couloir devant Marie et la Bretonne. La Bretonne, c’est la meuf de notre groupe d’amis à qui je mets tout le temps des petites fessées et qui me répète inlassablement « t’es qu’un connard, jamais je coucherai avec toi » mais qui m’avait promis « à ton anniversaire, tu pourras boire du champagne sur mes seins ». J’l’ai avisée et lui ai demandé si ça tenait toujours cette histoire, elle m’a répondu « oui ». J’étais surpris mais j’aime quand on tient parole. Le Mytho occupait toujours la salle de bain alors j’ai demandé à des potes costauds de le dégager.
J’suis allé chercher la bouteille de champ’ que le Coach m’avait amoureusement offerte et que j’avais cachée, puis suis allé retrouver la Bretonne. Elle a enlevé son haut, j’ai enlevé le mien. « T’es pas obligé de te déshabiller, tu sais…
– Je sais mais c’est pour que tu sois plus à l’aise.
– Mais tu sais qu’il ne se passera rien de plus, tu vas juste boire du champagne et je sors » Elle n’a pas spontanément retiré son soutien-gorge, du coup je le lui ai dégrafé. J’ai pas directement versé sur ses eins, tout d’abord sur le bas de son cou et j’ai léché en remontant jusqu’à ses oreilles. J’ai versé encore et suis recommencé jusqu’à ce que je sente sa respiration s’accélérer. On a foutu le matelas dans la baignoire et elle s’est allongée… J’me suis mis sur elle pour lécher ses seins et j’ai commencé à faire des va-et-vient contre ses reins « Arrête, c’est bon ». J’ai dit « ok » j’ai remis mon t-shirt et ai fait mine de me barrer… elle m’a dit « attends ». Là, je l’ai embrassée, je l’ai caressé contre le mur et ai rentré ma main dans son jean. Je lui ai mis un doigt puis ai caressé son clito. Elle était bouillante. J’ai ouvert son pantalon afin de le baisser pour mieux la doigter avant de tenter « Tu veux pas qu’on tire un coup ?
– Ouais aller vas-y, t’as des capotes ?
– Toujours. » Tu parles, on venait de m’en offrir trois boîtes entières. Du coup, on a juste coïté en missionnaire dans ma baignoire bicause la lécher ou me sucer « c’est trop intime » qu’elle a dit. Charlotte est entrée dans la salle de bain pendant que j’me préparais à sortir « t’as pas un sèche-cheveux ?
– Si attends, c’est pour quoi ?
– Un connard m’a tiré de la vodka dessus avec un pistolet à eau ». Ah OK. Alors voilà, elle se séchait les veuch et moi je les lui tripotais (devant la Bretonne, balek). « Bon ben je vais vous laisser.
– Tu ne nous gênes pas.
– Je vais vous laisser quand même. » Alors voilà, j’étais avec Chacha à lui caresser les cheveux : on parlait pour ne rien dire et même si elle ne se retirait pas quand je m’approchais, elle n’envoyait aucun IDI actif. Du coup j’l’ai pas embrassée et me suis barré. Faut pas déconner, ça suffit pas d’être bonne, faut aussi y mettre du sien.
Marie était assise sur un pote à moi : j’peux pas lui en vouloir, je ne sais absolument pas combien de temps j’ai été absent. J’étais dég, mais j’me suis assis en face d’eux et elle a évité de l’embrasser quand j’étais là. Quelle politesse de sa part… De même, tout le monde me demandait ce qu’il s’était passé et je n’avouais rien. Tout le monde se doutait : eux, elle, moi. Mais j’me disais qu’en n’avouant pas mon crime, je jouais la carte du mec discret, et que ça pouvait faire pencher la balance en ma faveur pour un éventuel rapport hétérosexuel. Alors on était là, elle sur les genoux de Vincent et moi avec la fille du Street-Fucking sur les genoux à se chercher du regard. On est ensuite allés parler dans la chambre et dès que Vincent ne regardait pas je lui mettais une petite fessée : elle ne mouftait pas et jouait le jeu, soumission parfaite…
J’ai croisé une meuf qui portait un masque de Nicolas Sarkozy, je l’ai embrassée sans réfléchir. Je sais pas qui c’est alors ça compte pas (et ça risque de rester un mystère). Eloïse a fait tomber son téléphone dans les chiottes en allant aux toilettes et j’ai perdu le mien en voulant l’aider. Elle a essayé de m’embrasser, je l’ai esquivée (trop bourrée elle sentait pas bon) et elle m’a sorti « on est amis pas vrai ? » T’es trop intoxiquée, meuf. A un moment, j’crois qu’un space-cake a circulé mais j’en ai même pas eu.
Vers 2h, j’ai dit à tout le monde de sortir, qu’on se retrouvait en boîte. La Bretonne est allée dans la salle de bain et m’a fait signe de venir. J’l’ai levrettée debout contre le mur et ce fut la première fois de ma vie que j’entendis (j’ai même cru rêver) « arrête, arrête, je vais jouir.
– Et alors ?
– Je veux pas jouir avec toi, c’est trop intime ». Puis, la capote est tombée « c’est pas grave continue sans.
– Ah non non non, je sais pas où t’as traîné, moi. » J’ai fait un truc immonde, j’ai repris la capote et l’ai ré-enfilée puis ai continué en missionnaire dans la baignoire (c’est pas un truc que j’ferais en étant sobre). Soudainement, la porte a valsé, le Capitaine est entré et m’a pris en photo en pleine action. J’l’a publierai sûrement sur mon FB (un peu floutée quand même) quand j’aurai fini mon TAF avec Pauline (la fille qui me prend pour un ange avec qui j’ai décidé d’attendre 10 RDV) et que le soufflet sera un peu retombé. Elle est tarpin GNQ cette photo.
Du coup voilà, j’ai constaté avec effroi le bordel que c’était dans l’escalier. La fille du street fucking, le coach et le capitaine s’évertuaient à faire partir les gens mais mon voisin en pyjama empêchait tout le monde de sortir parce qu’il avait appelé les flics. Ma fête avait tourné au tapage nocturne… et cette bande de moutons attendait sagement le châtiment… il fallait les recadrer « Oh, sérieux, ne lui manquez pas de respect mais dégagez. Et vous, vous avez pas été jeune que vous nous faites chier ? Ca va, c’est une fois par ans alors rentrez chez vous ». Du coup, les flics n’ont plus rien eu à constater parce que mon coloc et moi avions préparé notre défense « Ouais, ça fait trois jours qu’on n’est pas sortis et qu’on picole, on était que tous les deux. »
Bref, en boîte, c’est la fille du street-fucking qui m’a mis le grappin dessus (j’ai déjà baisé avec donc ça compte pas). Mais bon Morgane est venue me parler « tu danses avec moi ?
– J’ai plus de carburant » (en lui montrant mon verre). J’avais pas envie de me prendre la tête à gamer là, il était que 3h mais j’avais l’impression qu’il était 5h. Morgane, elle, arrêtait pas de m’effleurer, de venir me parler, et là elle m’a ajouté sur Fb et m’a donné son numéro direct « j’aime pas FB, envoie moi un petit SMS ». Trop d’IDI tuent les IDI (j’vous passe les détails).
J’suis resté avec la fille du street fucking et on a parlé, j’ai regardé le capitaine emballer une femme de 35 ans en la branchant comme suit « tu aimes les moustachus ? ». Belle. Elle est vraiment top la fille du street fucking, parce que pendant qu’on mangeait des frites devant la boîte, Pauline la working girl est passé alors je lui ai demandé « hey y a une fille avec qui je couche, ça te gêne si je vais la voir ?
– Non vas-y » Du coup j’ai embrassé Pauline devant elle et tout et elle n’a pas moufté. Pour la récompenser, on est rentrés chez moi et on a niqué. Puis, le lendemain, elle a quasiment fait tout le ménage (enfin on l’a aidée mais ça a bien duré 5h). On a balancé près de 200 ballons par la fenêtre, c’était magnifique. On a effacé des tags dans l’appart, ça craint. On a constaté des vols. Bref, chacun a vécu cette soirée à sa façon, je pense. C’était ma version… mais j’ai sûrement oublié plein de trucs GNQ. Ceci dit, j’en arrive tous les ans à la même conclusion : pour apprécier pleinement une fête, faut pas être trop impliqué (responsabilité, organisation, etc.) – là, j’étais carrément trop tendu. Alors, quand on m’a coloré les cheveux en jaune, c’était le pompon et j’ai pété un câble. Btw, faut vraiment que je vous raconte mon anniv de l’an dernier et de l’année d’avant aussi.
Pour conclure : c’était une soirée réussie même si ça aurait pu être 10 fois mieux : je sais que le coach a baisé, je sais que Yannick a baisé, je sais que Valentine et Marina ont baisé (avec eux alors forcément), je sais que j’ai baisé la Bretonne et la fille du street-fucking, je sais que le mytho a (presque) baisé, je sais l’autre nana a (presque) baisé, je sais que Eloïse a baisé avec un BG pote du coach et j’en oublie sûrement. Marie et Charlotte n’ont rien fait par contre, Marie est rentrée direct après la soirée (fatigue) et Charlotte était en boîte avec nous. Ce n’est que partie remise, je suppute. J’suis déjà en pleine négociation avec Marie pour aller faire un tour dans sa voiture (qui n’a pas été baptisée) s’arrêter dans un coin sombre et… boire un verre 🙂
Que le Dieu du Game soit avec vous !
BONUS
Le 23, super soirée, merci à tous. De belles surprises comme le show du DJ des NRJ Music Awards et la visite de mémé Lucienne… mais j’y reviendrai un autre jour parce que…
Néanmoins, cet événement signe la fin des soirées et des skins parties secrètes chez moi (à moins que je retrouve l’intégralité de ce qui a été dérobé). Un enculé a tiré : 2 appareils photos, une manette de jeu et une souris d’ordi + la paire de gants hors de prix du DJ. Les trucs étaient planqués dans nos tiroirs mais apparemment cette salope a fouillé. Les chambres donnant sur le balcon, quelqu’un a forcément vu quelque chose donc au moindre doute si vous avez vu une pute fouiller => BALANCEZ CETTE GROSSE MERDE. On se chargera de la suite.
Vous vous en foutez sûrement mais du coup je dois dans les 600€ à mon coloc : c’est pas qu’il me les réclame, il s’en fout (il se fout de tout) mais je me sens mal pour lui. J’avais dit pas d’incruste et vous m’avez ramené des putains de voleurs. Je suis sûr que vous pensez tous que vos amis sont fiables et tout mais vous allez me faire le plaisir de questionner TOUT LE MONDE que vous avez amenés (ET SURTOUT CEUX QUE EUX ONT RAMENES) parce qu’il y en a forcément au moins UN qui a foutu la merde. Faites votre TAF de votre côté. Les pièces rapportées, je les emmerde, vous avez lâchement profité du fait que je sois surbooké et légèrement déchiré pour introduire des fils de putes chez oim.
Les gens qui n’ont pas respecté la consigne et qui m’ont ramené des gars que je ne connaissais pas et qui ont fait chier, sachez que je ne vous fais plus du tout confiance, je vous en veux beaucoup et je ne souhaite plus avoir de contact avec vous. Sérieux, on vous invite à un truc, on se casse le cul pendant un mois pour organiser et encore c’est pas assez bien pour vous, que vous vous sentez obligé de voler et/ou de couvrir le coupable (c’est le pompon)? Non mais vous vous rendez pas compte. Dorénavant, ma porte restera close A TOUT LE MONDE. Ceci dit, quand je dis « des gars », vous êtes également priés de questionner aussi vos copines … de toute façon quand quelqu’un a de telles pratiques, on le sait, donc vous savez forcément quelque chose so FUCK YOU BANDE DE TRAITRES SI VOUS NE DITES RIEN. De toutes façons, apparemment avec les photos on a une piste mais voilà.
Bon. Autre chose : j’ai retrouvé une écharpe, un pull et un bonnet. (Et des accessoires en pagaille).
Petit message à tous ceux qui ne vont pas interroger leur amis parce qu’ils en ont rien à foutre apparemment : je le saurai un jour et je vous enculerai. Ca pourra tomber n’importe quand.
Gros message maintenant au voleur : Je te nique ta race en 3D sale merde, ta mère j’lui enfile un tutu et je la levrette à la patinoire en gardant mes patins. De toute façon j’le fais pour le sport parce que ta génitrice c’est un phacochère pour avoir enfanté un déchet comme toi. Alors mange tes morts parce que même ta grand-mère je compte la déterrer pour lui introduire un gode dans la bouche. Sa race la chienne. De toutes façons, je peux manquer de respect à toute ta famille vu que t’as pas d’honneur. Batard. J’espère que t’auras un cancer et que tu crèveras avant tes parents tellement tu dois leur faire pitié. T’es honteux alors pourquoi il n’y en aurait que pour ta mère ? J’encule ton père du coup : je suis pas gay mais je vais faire une exception. De toute manière, il s’en fout, il suce des bites à tout va (mais moi j’lui fais une faciale quand même, pour le sport toujours). La chatte à ta gueule sale pute je ne rigole pas. Nique tes morts qui baisent dans les catacombes, je leur lance une malédiction. Et ton animal de compagnie ? Baltringue paysanne, je le dégomme dans un caniveau (ou je l’empoisonne). Sac à foutre de père en fils, espèce de gratin de couilles de tortue farcie à la fiente de castor. Je pose mes couilles sur ton nez, ça fait un dindon (à moins que t’aies un vagin de sauterelle). Chiure de mouche. Espèce de chiasse, tu sens plus fort que la merde qui sortait du cul d’un mammouth… Tiens, ta face de rat me fait penser que j’ai oublié de changer la litière du chat. Va jouer le rôle du tampon hygiénique dans un club de lutteuses sumo amateurs parce que t’es une fillette. Ta mère a le cul large comme un autobus (je le sais : quand elle chie, les archéologues pensent alors que c’est la crotte d’un dino).
Donc voilà ce que je te propose, mets tout dans un sac et ramène-le. Ou ramène-le à la personne qui t’a invité et qu’elle me le fasse passer (je ne demanderai même pas qui c’est). Par contre, si tu persistes à me faire chier et qu’un jour je l’apprends, tu ne sais pas qui va te tomber dessus. Parce que le DJ a pas mal de relations (dans la mafia et autres, tu connais le milieu), j’ai un coloc à moitié dingue qui se trimballe avec toutes sortes de couteaux bizarres et des vieilles grenades (il me fait peur certains jours) et une team sécurité qui ne demande qu’à te faire la peau. Petite merde. Manifeste toi si t’as pas peur de ton ombre. Ou ne te manifeste pas, j’en ai rien à branler.
Bisou sale con.
excellent !