La montre
Le plus gros obstacle, en séduction, ce ne sont pas ses amies ni les AMOG, mais bien le temps itself.
La plupart des mecs sortent de 22h à 2h. En gros, ils ont 240 minutes devant eux. Mais en vrai, vous avez toujours moins de temps que vous ne pensez avoir. Quand vous réalisez que ça vous prend déjà 30 minutes de vous chauffer, vous captez que « le temps c’est de la levrette ». Le mec moyen ne rencontre que deux groupes réceptifs par nuit, alors ne perdez pas votre précieux temps avec des filles sans intérêt.
Travaillez rapidement. Progressez rapidement. Faites-la investir en vous avant d’investir en elle. Par exemple, parfois je demande à une nana d’échanger nos numéros avant même d’envisager de lui dire ce que je fais dans la vie. RENTABILITE !
Tic tac
La perte de temps la plus courante, c’est la première fille réceptive de la soirée. En effet, après quelques réactions à la con, les premières femmes ouvertes sont comme du pain béni. Vous pouvez donc facilement perdre 2h avec elles.
Si vous commencez à peine à vous échauffer socialement, ce groupe en particulier tombera vraiment bien. Le problème c’est que vous n’êtes pas encore suffisamment chaud pour oser progresser physiquement (pas assez de pratique) alors vous n’agissez pas assez rapidement et laissez la fenêtre de tir se refermer.
Elles pensent que vous êtes fun mais ne sont pas sexuellement attirées.
Le prix à payer
Vous ne pouvez plus ni progresser ni partir. C’est donc une perte de temps ; et plus vous resterez plus partir deviendra délicat. Ayant investi du temps, vous espérez vraiment quelque chose en retour… alors vous restez planté là comme un loser ! Pour vous rassurer, vous vous dites qu’il y a toujours une chance qu’elle soit un peu attirée.
Puis, vous vous dites aussi que c’est quand même sympa de rester avec deux filles mignonnes même si on ne les baise pas, plus facile en tout cas que de partir à la recherche d’une nouvelle coquine à qui donner une série de 6 orgasmes d’affilée. Mais, en réalité, c’est toujours le même problème : vous ne portez pas vos couilles ! Pour votre bien, comme pour celui des femmes qui auront une histoire avec vous : faites-le ! VOUS écrivez l’histoire.
Rencontrer de nouvelles personnes
La seule façon de se sortir de ce piège, c’est de se présenter à toutes les filles qui s’approchent de nous PENDANT qu’on est encore avec les mignonnes. C’est une bonne opportunité pour rencontrer de nouvelles femmes parce qu’elles vous voient avec deux beautés (principe de pré-sélection).
Ou alors vous pouvez utiliser les deux potiches comme une base où vous vous ravitaillez et partir à la recherche d’une meilleure option. Le but ici n’est pas de rendre les autres jalouses, mais si elles le deviennent alors tant mieux. Il est important de s’afficher avec ces filles mais gardons en tête qu’on ne leur doit rien : vous êtes un mec fun et intéressant qui peut parler à n’importe qui !
Si elles disent « tu es un dragueur », ça ne veut pas dire qu’elles sont soudainement intéressées. Vous n’avez pas stimulé leur intérêt mais simplement titillé leur ego en leur retirant votre attention.
Si vous ne pouvez pas partir alors essayez au moins de rencontrer de nouvelles personnes. La pire chose dans la vie c’est de s’emmerder et de perdre son temps. Et ne vous inquiétez pas si elles trouvent ça impoli de disparaître comme un voleur.
On s’en branle après tout, souvenez-vous simplement qu’elles vous faisaient perdre votre temps. Et puis, si pour elles c’était mieux de rentrer chez elles toutes seules plutôt que de ramener un étalon qui les aurait faites monter aux rideaux. C’est tant pis pour elles ! Vous ne pouvez pas leur faire entendre raison mais vous pouvez savoir en votre fort intérieur que ce sont elles qui y perdent le plus.
Ce n’est pas leur faute, c’est la vôtre
Ce n’est pas la faute des filles si vous perdez votre temps. C’est votre faute si vous n’avez ni progressé physiquement ni n’êtes parti. Vous les avez lâchement utilisées comme des excuses pour ne pas avoir à vous bouger le cul, des excuses pour rester dans votre petit confort et ne pas aborder de nouvelles filles tandis qu’elles se servaient de vous pour se protéger des autres lourdauds du bar.
Le pire sentiment c’est quand, deux heures plus tard, le groupe de filles vous laisse en plan « bon on change de bar, salut ». Duuuh !
Extrait de : La vérité (qui dérange) sur les relations hommes/femmes