Que disent les policiers lorsqu’ils surprennent quelqu’un en train de forniquer dans sa voiture ?
Le 4 juin 2014,
J’ai reçu ce texto de la part de la fille rencontrée au gala des arts et métiers.
« Demain ça me va. » (qu’on se voie et qu’on baise)
« Okay je suis libre à partir de 19h, tu me diras quelle heure t’arrange. Tu viens boire un verre chez moi ? »
« Vers 20h du coup ? Tu veux pas qu’on aille dans un bar plutôt ? »
« Heu ouais pour l’heure ça me va. Tu veux que je te fasse l’amour dans un bar ??? »
« Non mais en fait laisse tomber. Je me dégonfle. »
« Mdr. OK c’est brillant. Tu m’as déjà vu, tu m’as embrassé samedi dernier et tout et faut repasser par la case lieu public ? Quel intérêt ? » Pas de réponse.
C’est souvent pareil avec les meufs : c’est foireux, faible, sans volonté. Ca préfère rester dans sa zone de confort plutôt que de vivre une aventure sympa… Je trouve ça affligeant mais c’est un choix de vie après tout ! Choix de vie que je ne comprends pas car je préfère toujours tenter le coup quitte à me tromper plus souvent qu’à mon tour. Mais ainsi, la seule personne qui méritera une baffe c’est celle en face qui se dégonflera et non pas mon reflet dans la glace de ma salle de bain Castorama. N’oublions pas que les miroirs nous font trop souvent la gueule le matin.
Finalement, ce que pas mal de gens ont du mal à comprendre c’est que le tri se fait de lui-même, entre celles qui méritent ma langue magique et celles qui ne la connaîtront jamais. Ce n’est pas parce que je propose ma divine semence que c’est gagné d’avance pour elles, c’est plutôt un bon test pour départager celles qui ont un peu de cran et celles qui feront jamais rien de « fou » de leur vie. Pardonnez ce ton péremptoire mais c’est vrai !
Personnellement, je suis constamment animé par le désir de découverte d’un corps nouveau (c’est une véritable drogue je prends mon pied) et la frayeur d’une peur de perdre cette gaule surpuissante (John-David c’est le prénom de ma bite – 5kg sans les couilles – 1300 méga watts – quand j’entre en érection c’est le haricot magique).
Heureusement, en me connectant sur le réseau social maudit mondialement connu, j’ai reçu un message de Misty (un pote de Paris) qui m’a remonté le moral. Je le partage avec vous parce que je trouve la chute archi-culte. Ca m’a un peu redonné foi en l’humanité.
Si vous n’êtes pas contents parce que vous souhaitiez lire une aventure de moi, je vous mets au défi de zapper. Y’a des photos de Laurence Ferrari nue qui baise avec un cheval sur ADS donc allez-y, bande de voyeurs. Ouais ouais je m’adresse, toi le roux qui se gratte les couilles sors ta main tout de suite de ton calbar c’est dégueulasse! Et à toi la nymphomane qui téléphone à ta copine la mytho pour raconter avec qui t’as baisé ce WE. Allez donc sucer la teub de Sélim si vous êtes pas contents.
« Ca fait deux-trois fois que je revois Marie, cette jeune blonde au corps mince et avec une fougue sexuelle que je n’avais encore jamais connue auparavant. Vous comprenez donc aisément pourquoi je l’aime bien cette petite. A chaque fois que ses petites fesses rebondies passaient le seuil de mon chez moi, je savais que la partie fine allait être vraiment sympa.
Pour rappel, on s’était embrassés pendant une soirée chez un pote. Après deux-trois bisous, la température est rapidement montée (l’alcool nous avait déjà bien chauffés, il n’a pas fallu grand chose de plus pour qu’on aie envie de se toucher mutuellement), et du coup, on s’est retrouvés dans la chambre de mon pote. Après un rapide passage de mes mains sur son legging, je passais à l’intérieur, empoignant à pleines mains ses fesses et tirant légèrement sur son string. Elle n’en pouvait plus, alors elle a décidé de descendre me faire plaisir, toute seule, comme une grande. Plaqué contre la porte en train de me faire sucer, mes potes ont commencé à se poser des questions et ont essayé d’ouvrir. J’ai eu la présence d’esprit de fermer à clé pour éviter qu’un importun vienne nous voler ce moment précieux entre deux êtres en pleine connexion sexuelle. Sauf que mes potes, ces bourrins, ont commencé à taper sur la porte, jusqu’à ce qu’un de mes potes qui connaît le Game les vire. Manque de bol, ça nous a refroidis. On a donc décidé de se revoir, et la fois d’après, c’était torride !
Pour cette soirée du vendredi, j’étais en rade de sortie. Aucun plan de prévu, j’ai donc dégainé mon smartphone pour voir Marie. Rien que l’idée de la revoir me donnait un début d’érection. Par chance, elle n’avait rien à faire non plus ce soir là. Le problème, c’était que ni sa maison, ni la mienne n’étaient libres. Du coup, je lui ai dit qu’on improviserait. Après avoir fait le chemin jusqu’à chez moi en voiture (une bonne dizaine de kilomètres quand même), je suis monté dans sa voiture et on s’est retrouvés dans le petit renfoncement où on s’était arrêtés la première fois où on avait baisé dans sa voiture. Entre une zone de travaux pour une nationale et un complexe sportif, juste derrière un petit muret, elle s’est garée, et on a basculé sur la banquette arrière. On a commencé soft : petits baisers, pelotage, effleurement du bout des doigts… Non je déconne, c’était sauvage.
A peine passés derrière, elle m’a sauté dessus (prouesse technique vu la place disponible), a retiré son haut et j’ai commencé à lui toucher les seins en l’embrassant. En passant une main dans son dos, et l’autre sur ses jolies fesses cambrées, je la sentais chaude comme la braise. Elle m’a enlevé mon pantalon avec tellement d’envie que rien que ça c’était bandant. Cette fille est tellement douée pour les préliminaires que je me devais de l’exciter autant qu’elle l’avait fait pour moi. Je l’ai donc allongée sur la banquette et je l’ai léchée jusqu’à ce que je la sente quitter son corps. Puis, toujours chaude, elle a commencé à me chevaucher, tout en appuyant mes mains tantôt contre ses seins, tantôt sur ses fesses. Le désir de la prendre en levrette est naturellement apparu en moi : je la retournais, attrapais ses fesses et la pénétrais assez fort. Les vitres étaient devenues opaques à cause de la buée provoquée par nos ébats. On a continué pendant une bonne dizaines de minutes jusqu’à ce que l’on aperçoive des lumières venant de l’extérieur…
J’ai débandé direct. Elle a eu peur, et une voix d’homme est venue de l’extérieur de la voiture : « Police, sortez du véhicule »
Elle flippait sa race, et j’étais pas très rassuré non plus. Tremblant encore d’excitation sexuelle (ou de stress), j’enfilais tant bien que mal mon jean, mes chaussures sans chaussettes et je sortais en remettant mon t shirt, suivi par Marie. « Cartes d’identité s’il vous plaît. »
On leur donna chacun la nôtre. Et alors là :
Policier : « Hmm ok. Bon, on sait ce que vous étiez en train de faire, mais ici c’est un endroit privé, ce n’est pas public. Il y a des caméras ici, faites attention. La prochaine fois, prenez un hôtel, ou allez chez vous.
Marie : « Oui, d’accord »
Policier (se tourne vers moi) « Vous aviez fini votre affaire ? »
Moi : « Pas vraiment »
Policier : « Bon, finissez rapidement et ne revenez plus dans cet endroit par la suite. Ok ? »
Moi : « Ouais ok »
Ils sont partis, et on est restés là, dehors dans le froid. Putain de merde ! J’en tremblais encore ! Et je portais encore la capote ! C’était vraiment drôle comme situation quand j’y repense. Marie me dit qu’on a eu chaud et je rigolais. Elle me sort qu’elle n’a pas bien remis son string et qu’il est à l’envers, haha.
Malgré ça, l’excitation sexuelle était totalement retombée, et impossible de rebander correctement après la baise sauvage et l’événement comique du week-end.
Elle m’a raccompagné chez moi, et est repartie chez elle après deux-trois clopes et un peu de discussion.
Des aventures comme ça, j’en veux plus souvent ! »
J’applaudis mon pote avec les pieds et je retourne essayer de faire fortune en écrivant un scénario pour Canal+. Une sombre histoire de boîtes à partouzes et de putes sénégalaises qui serait encore plus drôle que le rire de Dominique Farrugia.
Que le Dieu du Game nous épargne à tous de finir en garde à vue.