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Le syndrome (scandaleux) de la connasse

Le syndrome (scandaleux) de la connasse

Nous allons aujourd’hui parler du syndrome (répandu) de la connasse, que beaucoup de mecs subissent quotidiennement sans pour autant le nommer.

 

Comment ça se manifeste, cette merde ?

Si vous êtes actif sur le field, vous avez sûrement déjà eu affaire à des filles souffrant de ce syndrome : une 5/10 qui vous met un râteau méchamment, une 6/10 qui se fout de votre gueule et vous mène en bateau ou une 7/10 qui vous ordonne de lui foutre la paix avant même que vous n’ayez ouvert la bouche pour lui parler. Dans les connasses, je mets aussi les 4/10 qui empêchent leurs jolies copines de baiser… par jalousie !

Beaucoup de femmes sont hautaines, prétentieuses et impolies en France. Je ne sais pas si elles s’en rendent compte mais elles nous parlent le plus souvent comme à des merdes jusqu’à ce que l’on démontre le contraire. C’est un vrai problème de société à force. Parce que ça va en empirant. Si bien que, maintenant, lorsqu’une femme répond poliment qu’elle n’est pas intéressée, c’est hyper surprenant. On est presque content de ne pas se faire aboyer dessus ou ignorer royalement. Dans le fond, ne pas être intéressée ne devrait pas empêcher une femme de rester courtoise. Tout comme prendre un râteau ne devrait empêcher un homme de rester correct et poli. On ne vit pas dans la jungle… mais le monde ne tourne pas rond pour autant.

Normalement, le bitch shield, est un mécanisme de défense que les bombes sexuelles utilisent pour ne pas être sollicitées tout le temps par des mauviettes. C’est comme le bouclier du Protoss qui le protège des premières attaques ennemies : elles adoptent un comportement de biatches pour éloigner ceux qui n’ont pas de couilles. Mais alors, que viennent faire des comportements bitchy chez des 5/10 qui veulent des bites? Les pauvres moches ont déjà bien de la chance que vous les draguiez (même si vous ne le faites qu’en phase d’échauffement). Et pourtant… au lieu d’être contentes et de saisir leur chance, elles se comportent comme des connasses. C’est ça le syndrome de la connasse. Sachant que, bien souvent, ces filles ne sont pas des vraies connasses au fond.

Les 5/10 ne supportent pas bien les negs, qui passent mieux sur une bombasse ayant un bitch shield. Ce qui m’amène à la conclusion que ces filles n’ont pas vraiment un bitch shield. C’est autre chose, qui y ressemble… comme si elles voulaient faire comme les belles ou celles qu’elles voient à la télé, sans réfléchir.

Les hargneuses devraient comprendre que ça ne les rend pas plus sexy de jouer les connasses (je ne baiserais pas Camille Cottin). Au pire, ça donne envie de se défouler en leur défonçant le cul en levrette mais sans les respecter, ce qui n’est pas ce qu’elles veulent, je crois. Au pire, on se dit elle est moche, con et froide, la totale, next ! Toutes les femmes ne sont pas Blair Waldorf…

Le problème, c’est que si vous n’acceptez pas qu’elles vous parlent comme ça dans un endroit branché et que vous les recadrez comme elles le méritent : vous risquez de vous faire mettre dehors par les vigiles si elles font une scène. En effet, les gens auront toujours tendance à donner raison aux femmes dans ce genre de situation. Vous n’êtes qu’un connard car vous êtes un mec parlant sèchement à une pauvre femme sans défense.

Attention à ne pas  confondre le syndrome de la connasse avec le fait que peut-être vous abordez comme une racaille du 93, que vous n’ayez pas de confiance en vous, ou que vous êtes habillé comme un comptable des années 70. Si le rejet est ce que vous inspirez à quasiment toutes les filles (les moches comme les belles), alors vous avez un problème, pas elles. Si vous êtes un boulet, prenez des cours sur le blog. TOUTES les filles ne souffrent pas de ce syndrome non plus… faut pas être parano !

 

D’où vient le syndrome de la connasse ? De Mars ou de Vénus ?

Nous ne vivons pas dans un film hollywoodien. Les filles qui valent 9/10 physiquement parlant, je n’en croise même pas une par mois et pourtant je suis à l’affût. Pourtant, des nanas qui pètent plus haut que leur cul et qui sont prêtes à me prendre de haut, par contre, j’en vois tous les jours. Je me demande si ce n’est pas un effet de mode, un jeu ou une conséquence des campagnes de féministes acharnées contre ces connards de pick-up artists.

En fait, il n’y a pas que la beauté qui soit rare. Les gens qui ont une bonne estime d’eux-mêmes et les individus bien calibrés socialement sont encore plus rares en France qu’ailleurs. C’est dû à notre culture qui est basée sur la peur et l’assistanat. Or, les mauvaises croyances des Average Frustrated Chump et la lourdeur des types genre « racailles des cités » font que les femmes sont abordées aussi régulièrement dans notre pays qu’ailleurs. Voire même plus. Et d’une façon qui est souvent loin d’être agréable pour elles. Ce qui ne fait qu’entrer en contradiction avec le fait qu’elles n’ont pas confiance en elles et renforcer le fait qu’elles ne s’aiment pas.

Le stress permanent et le mode de vie en général dans les grandes villes font que les françaises ont, en moyenne, naturellement moins tendance à faire des rencontres que les filles d’autres pays.

Enfin, la frame sociale qui fait que les femmes sont considérées comme des déesses qui seraient le « Super Prize » est très bien implantée.

Bien sûr, d’autres choses beaucoup plus simples peuvent avoir pour conséquence qu’une fille qui ne peut se le permettre se comporte comme une connasse : elle a été trompée et larguée récemment, elle a passé une mauvaise journée, elle est dans une mauvaise passe, etc.

Le syndrome se manifeste surtout chez les jeunes, les étudiantes, les nanas de faible niveau social, qui n’ont pas beaucoup d’argent, les parisiennes, les aixoises et les connes…

 

Quelles sont les causes profondes du mal ?

Les deux principales racines profondes du syndrome sont :
– la faible ou fausse estime de soi ;
– la réaction négative face à votre approche.

L’estime de soi est composée de trois choses :
– le niveau de bonheur ;
– la confiance en soi ;
– le bien-être.

Ce qui suit est la description de mécanismes psychologiques complexes et variés qui expliquent que le syndrome de la connasse se répand dans notre population féminine.

Si la fille est mal dans sa peau, elle peut vouloir projeter son mal-être et donc empêcher les autres d’être bien (ses copines comme les mecs qui l’abordent).

Si la fille n’a pas confiance en elle, elle peut narcissiquement préférer vous faire échouer. En effet, la protection d’ego, c’est plus sécurisant et plus facile. Si le dragueur communique une forte Valeur de Survie et de Réplication : la fille qui n’a pas confiance en elle ne voudra pas prendre le risque de se prendre un râteau ou de se faire larguer. Elle va donc prendre sa dose d’ego et mettre le râteau elle-même de manière préventive.

Bien sûr, il est possible que les filles fassent semblant d’avoir une énorme confiance en elles ou une très haute estime d’elles-mêmes alors que ce n’est pas vrai. Ou qu’elles soient dans une période où elles ne se sentent plus péter mais que ce ne soit que temporaire. Mais de manière générale, derrière une attitude de connasse injustifiée et à répétition, se cache du mal-être et un manque de confiance en soi. Ou du moins quelque chose qui sonne faux à ce niveau-là. Comme de la maniaco-depression.

Les filles peuvent également critiquer votre pick-up alors qu’il n’est pas si mauvais. Elles peuvent être très créatives quand il s’agit de trouver des moyens de vous faire vous sentir nul. Elles vont essayer de niquer votre élan de drague, votre motivation, votre moral… Il y a de degrés de gradation très divers : ça peut aller de fille qui refuse le contact et croise les bras, à celle qui attaque directement notre physique ou notre façon d’aborder. L’élément de diagnostic est l’aspect disproportionné et injuste de sa réaction.

Le syndrome de la connasse peut se manifester même face à une approche indirecte. Même si vous ne montrez pas votre intérêt. Il est fréquent qu’une approche indirecte sur une Low Self-Esteem déclenche un raisonnement de ce type « il n’est pas en train de m’aborder pas parce que je lui plais => c’est encore un connard => je me sens mal => je fais la connasse pour sauver la face ». Pour minimiser les probabilités de faire face à ces réactions d’ego, préférez un opener intriguant ou un semi-direct (manifestez votre envie de faire connaissance sans montrer d’intérêt sexuel dans un premier temps mais sans le nier non plus).

Un syndrome de connasse peut se manifester après un long moment sympa. Par exemple, chez la copine moche, ça peut arriver une fois qu’elle a compris que vous vouliez pécho sa jolie copine et non pas elle depuis le début.

On peut en fait même être confronté à un syndrome de la connasse chez une 9 (mais c’est rare au-dessus de 8 c’est plutôt du bitch shied). Il ne faut pas se fier au physique de la fille. Ce qui se passe dans leur tête est parfois surprenant. Certaines filles sont très belles mais n’ont pas confiance en elle. Une 9 a même pleuré après que je l’ai un peu trop taquinée. La pauvre n’avait pas de bitch shield et se voyait comme une 6…

 

Quelles solutions a-t-on pour survivre et se reproduire dans un monde si dur ?

Théoriquement, nous avons 3 causes possibles au syndrome de la connasse, donc autant de moyens d’action :
– Faible confiance en soi ;
– Faible niveau de bien-être ;
Boost temporaire et/ou superficiel de l’ego.

Avant tout, n’oubliez pas que le fait de jouer la connasse est une forme de test. Vous serez tout de même jugé sur la façon dont vous le gérez. Par la fille et par les gens autour…

Le syndrome est lié à une émotion négative : que vous l’ayez provoquée ou que ça vienne d’un disfonctionnement dans sa tête. Il faut donc essayer de modifier le ressenti ou la façon de voir les choses de la fille.

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N’hésitez pas à lui poser la question directement, à verbaliser le malaise que vous ressentez. Pourquoi réagit-elle comme ça alors que de votre point de vue vous avez été courtois ? Elle va soit se calmer et comprendre qu’elle a affaire à quelqu’un d’intelligent soit exploser (next dans ce cas).

Essayez de reframer sa réaction négative pour amener la communication vers des choses plus positives.

Mettez-la plus à l’aise. Avec des banalités, votre langage corporel ou du mirroring. Le but est de créer de la complicité avec la fille.

 

*Faible niveau de confiance en elle :

Pour diagnostiquer ça, regardez si elle arrive à vous regarder dans les yeux. Si elle regarde beaucoup ses pieds. Si elle parle beaucoup nerveusement (ou si elle est nerveusement muette). Si elle vous fait des reproches bizarres. Si elle protège son ego. Essayez de détecter toute forme de narcissisme. Analysez si la notion de perte apparaît dans son discours. A-t-elle une tendance à la fuite ou au comportement pulsionnel ?

Si oui, essayez de vous mettre à sa portée.

Vous pouvez tenter de l’étiqueter : « Hey, tu n’as pas l’air dans ton assiette. Je suis sûr que tu es une fille bien et que tu ne traites pas mal les gens qui ne l’ont pas mérité normalement… »

Eventuellement, essayez de lui faire verbaliser sur quel point elle a besoin d’être rassurée (mais sans dire que c’est sur un manque de confiance que l’on enquête). Il faut voir si c’est au niveau physique ou intellectuel, par exemple…

« Hey, si je viens te parler c’est parce que tu me plais alors ne me dis pas ça… » (Un indicateur d’intérêt change souvent l’état d’esprit de la fille et donc les enjeux de l’interaction).

Attention cependant aux meufs psychologiquement ravagées, qui sont des LSE pathologiques. Si vous allez à l’encontre de leur certitude d’être des merdes, vous n’allez pas marquer de points, au contraire. L’incohérence dans leur esprit risque de les faire disjoncter. Préférez une écoute attentive pour la diriger vers le fait qu’elle a le droit de profiter de la vie elle aussi.

 

*Faible niveau de bien-être :

Pour diagnostiquer ça, regardez si la fille projette son mal être, se plaint, manifeste de la colère ou de la tristesse, de la dépression.

Si oui, écoutez ses problèmes et compatissez un peu (pas non plus pendant des heures). Puis, proposez une autre dynamique, une succession d’émotions rapides, pour la mener dans un univers plus propices aux orgasmes.

« Hey, ton poisson rouge s’est noyé ou quoi ? » (une dose de fun taquin c’est toujours bien)

« Tous tes plans cul t’ont larguée le même jour, c’est pour ça que tu tires cette tronche ? Ne t’inquiète pas, on va t’en trouver des nouveaux, et des meilleurs ! 😉 »

 

*Les filles qui viennent de booster leur ego grâce à l’environnement :

Pour diagnostiquer ça, regardez si la fille est dans un environnement concurrentiel, avec toute une cour de prétendants. Enormément de maquillage. Si en plus, vos wings vous disent qu’ils ne l’auraient pas abordée dans la rue, vous êtes face à un cas de fille qui joue au-dessus de ses moyens…

C’est, hélas, très commun en boîte. Je pense qu’il faut prendre le contrepied des autres mecs dans ces situations : communiquer qu’on n’est pas comme les morts de faim. Essayer de créer un peu de complicité ou de rapport. Pourquoi ne pas lui donner une petite validation, ou au contraire une légère disqualification qui serait en fait un appât pour la faire réagir et essayer de se revalider ?

« Mmm j’ai l’impression que ce mec là-bas te kiffe. Petite veinarde… Il va t’offrir plein de fleurs et des chocolats… »

« Toi t’es une petite futée, tu vas boire gratuitement ce soir grâce à tous les pigeons qui t’abordent… ».

Dans le cas d’une confiance « spontanée » sans raison particulière ni concurrence due à n’importe quoi, vous pouvez attaquer en lui demandant directement de se qualifier (vous la challengez). Ça marche même si elle vient de vous mettre un vent…

« Euh… Tu as l’air vraiment super sûre de toi. Il y a une raison particulière à ça? » Vous verrez ainsi ce qui boue dans sa marmite (sans mauvais jeu de mot).

*Les filles qui viennent de booster leur ego grâce à la situation :

Si c’est son anniversaire, si elle est bourrée, si elle vient de décrocher une promotion… Plus généralement, ce sont filles qui nous crachent leur (pseudo) bien-être à la figure. Elles croient peut-être même qu’elles peuvent se taper qui elles veulent.

Dans ce cas précis, ignorer le syndrome de la connasse est une tactique très efficace. Jouez avec elle (puisqu’elle recherche dans le fond le bien-être dont elle ne jouit pas vraiment dans sa vie quotidienne).

La plupart du temps, écouter et dérouter l’interaction, ça suffit. Sauf si elles sont vraiment high.

« Wow t’as l’air de bien t’éclater… Tu fêtes la sortie de la nouvelle saison de Girls en DVD ? »

Ensuite, cherchez le rapport selon sa réponse, pour conforter son besoin de booste d’ego, avant d’enchaîner sur un délire commun pour créer de la complicité. On en revient toujours là, en fait.

Le but est de la ramener à un niveau suffisant de confiance et d’estime de soi pour qu’elle se lâche. Vous devez aussi démontrer que vous êtes à sa portée en termes de valeur (ni trop haut ni inférieur à elle). En gros, qu’elle se croie vraiment trop bien pour vous ou qu’elle ne se croie pas assez bien pour vous au fond, vous devez de toute façon la ramener à un niveau gamable grâce à votre communication.

Mon dernier conseil : ne mettez jamais du comfort sans attraction (c’est ce qu’on appelle le piège du nice guy).

J’espère que tout ceci était compréhensible car ce sont des notions difficiles à expliquer, mes chéri(e)s. Big up ! <3

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3 commentaires sur “Le syndrome (scandaleux) de la connasse”

  1. Toujours aussi bon tes articles.
    Ta façon d’écrire est mythique : touche d’ironie , de sérieux et de fun ^^
    Merci pour ses précieuses informations!

    Continue ça fait plaisir voir des gens aussi proche de la réalité !!

    Peace and coconuts 🙂

  2. Le Marginal Magnifique

    Intéressant mais on reste en surface. Je m’attendais à ce que tu abordes la connasse de façon plus profonde (!), pas seulement dans la phase d’abordage. Car c’est surtout après, en relation, qu’elle se manifeste et se révèle particulièrement nuisible.

  3. Je crois pas avoir rencontré le « syndrome » bcp de fois alors j’ai lu en diagonal. Mais la fin de l’article avec du pratique, ben c’est pratique. :3

    « Mon dernier conseil : ne mettez jamais du comfort sans attraction (c’est ce qu’on appelle le piège du nice guy). »
    Bon rappel 😉 Faudrait pas qu’on se ramollisse !

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